« Rue du Maupas (Cherbourg-Octeville) » : différence entre les versions
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* N° 15 : Maison Saint-Michel (Âmes du Purgatoire) <ref name=LPVR>''La Police cherbourgeoise vus renseigne'', Imprimerie commerciale cherbourgeoise, sd [1953]. </ref> | * N° 15 : Maison Saint-Michel (Âmes du Purgatoire) <ref name=LPVR>''La Police cherbourgeoise vus renseigne'', Imprimerie commerciale cherbourgeoise, sd [1953]. </ref> ou maison Valot : maison du négociant Théodore Fenard, en [[1873]], elle est acquise par Pierre et Jeanne Valot en [[1933]], qui la mettent plus tard à la disposition la congrégation religieuse des Sœurs auxiliatrices des âmes du Purgatoire qui soignent les malades à l’[[hôpital Pasteur]] et dans cette maison. La propriété passe aux mains des Franciscaines en [[1965]] qui hébergent des étudiantes et jeunes travailleuses. En [[2012]], la maison est rachetée par l’association Habitat et humanisme qui ouvre en [[2018]] une résidence de logements sociaux<ref>Xavier Oriot, « A Cherbourg, une résidence refuge pour des écorchés de la vie », ''Ouest-France'', 11 septembre 2018. [https://www.ouest-france.fr/normandie/cherbourg-en-cotentin-50100/cherbourg-la-residence-du-vivre-ensemble-5962579 ''(Lire en ligne)'']</ref>. | ||
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Version du 10 janvier 2019 à 00:53
La rue du Maupas est une voie de Cherbourg-Octeville.
Situation
Elle commence, au nord, au rond-point de Thémis et se termine, au sud, à son croisement avec l'avenue Étienne-Lecarpentier.
Elle reçoit, à sa droite, la rue Lebrun et la rue Ludé et, à sa gauche, la rue Colin et la rue Laurent-Simon.
Histoire
Anciennement chemin du Maupas, nom d'origine latine (mauvais pas) pour qualifier la difficulté de cette route menant à la Montagne du Roule [1].
Bâtiments remarquables
- N° 15 : Maison Saint-Michel (Âmes du Purgatoire) [2] ou maison Valot : maison du négociant Théodore Fenard, en 1873, elle est acquise par Pierre et Jeanne Valot en 1933, qui la mettent plus tard à la disposition la congrégation religieuse des Sœurs auxiliatrices des âmes du Purgatoire qui soignent les malades à l’hôpital Pasteur et dans cette maison. La propriété passe aux mains des Franciscaines en 1965 qui hébergent des étudiantes et jeunes travailleuses. En 2012, la maison est rachetée par l’association Habitat et humanisme qui ouvre en 2018 une résidence de logements sociaux[3].
Commerces et activités diverses
Notes et références
- ↑ Raymond Lefèvre, Histoire anecdotique de Cherbourg à l'intention de nos écoliers, éd. Cherbourg-Éclair, 1941, rééditée en 1973 par La Dépêche.
- ↑ 2,0 et 2,1 La Police cherbourgeoise vus renseigne, Imprimerie commerciale cherbourgeoise, sd [1953].
- ↑ Xavier Oriot, « A Cherbourg, une résidence refuge pour des écorchés de la vie », Ouest-France, 11 septembre 2018. (Lire en ligne)
- ↑ Cherbourg Économique, Impr. Jacqueline, 3e trimestre 1960.