Actions

« Reconstruction dans la Manche » : différence entre les versions

De Wikimanche

(ébauche)
 
(ajout)
Ligne 9 : Ligne 9 :
==Bibliographie==
==Bibliographie==
* Archives départementales de la Manche,  Catalogue de l'exposition « Une Renaissance au XX{{e}} siècle : la reconstruction de la Manche, 1944-1964 », éd. Orep, 2011
* Archives départementales de la Manche,  Catalogue de l'exposition « Une Renaissance au XX{{e}} siècle : la reconstruction de la Manche, 1944-1964 », éd. Orep, 2011
* Maurice Lantier (étude collective menée sous la direction de) , ''Du provisoire au définitif : la reconstruction de [[Saint-Lô]]'' , Université inter-âges de Saint-Lô.


==Notes et références==
==Notes et références==

Version du 15 mars 2018 à 19:18

La Reconstruction est la période s'étalant de 1944 à 1964 qui suit la Libération de la Manche .

Après les bombardements de 1944, il faut reloger 200 000 sinistrés, restaurer 13 000 maisons et 250 églises ainsi que de nombreux édifices publics[1].

Une délégation du ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme (MRU) créé en octobre 1944 a pour mission d'approuver et contrôler des plans de reconstruction et d’aménagement (PRA) du bâti détruit par fait de guerre. Elle gère les passations de marchés après les appels d’offre, et les crédits affectés aux réparations d’urgence, ainsi que l'établissement de cités provisoires de baraquements pour loger les populations sinistrées[2].

Architectes, ingénieurs, entrepreneurs et artistes expriment leur créativité qui donnera le « style des années cinquante ».

Bibliographie

  • Archives départementales de la Manche, Catalogue de l'exposition « Une Renaissance au XXe siècle : la reconstruction de la Manche, 1944-1964 », éd. Orep, 2011
  • Maurice Lantier (étude collective menée sous la direction de) , Du provisoire au définitif : la reconstruction de Saint-Lô , Université inter-âges de Saint-Lô.

Notes et références

  1. Invitation de la presse à l'exposition « Une Renaissance au XXe siècle » aux Archives départementales de la Manche, 2011 (lire en ligne)
  2. Wikipedia