« Max Hévin » : différence entre les versions
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Max Hévin est affecté au kommando Melk qui travaille au projet Quartz <ref> Construction d'une usine souterraine de roulements à billes pour la firme Steyr, Daimler et Puch.</ref>. Si l'usine est pratiquement achevée, elle ne produit jamais un seul roulement à billes. | Max Hévin est affecté au kommando Melk qui travaille au projet Quartz <ref> Construction d'une usine souterraine de roulements à billes pour la firme Steyr, Daimler et Puch.</ref>. Si l'usine est pratiquement achevée, elle ne produit jamais un seul roulement à billes. |
Version du 9 août 2020 à 19:02
Max Léon Ernest Hévin, né à Saint-Lô le 11 février 1908 [1] et mort à Compiègne (Oise) le 26 février 1974 [2], est un déporté de la Manche, rentré du camp de concentration d'Ebensee (Autriche).
Biographie
Max Hévin quitte Compiègne-Royallieu (Oise) le 6 avril 1944 à destination de Mathausen (Autriche) à bord d'un convoi de 1 489 hommes. Dans ce train se trouvent les Manchois : Marcel Chuteaux, Étienne Lecarpentier, Gérard Paoli, Jean Surin, Paul Talluau.
À son arrivée au camp, il se voit attribuer le numéro matricule 62549.
Max Hévin est affecté au kommando Melk qui travaille au projet Quartz [3]. Si l'usine est pratiquement achevée, elle ne produit jamais un seul roulement à billes.
Le 15 avril 1944, le kommando est évacué sur Mauthausen et Ebensee, lieu dans lequel Max Hévin recouvre la liberté le 6 mai suivant.