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À son arrivée au camp, Joseph Le Roux se voit attribuer le matricule 66086. Il est affecté au camp-annexe d'Heinkel qui est une usine-camp. Les déportés y travaillent pour le compte du constructeur d'avions Ernst Heinkel. | À son arrivée au camp, Joseph Le Roux se voit attribuer le matricule 66086. Il est affecté au camp-annexe d'Heinkel qui est une usine-camp. Les déportés y travaillent pour le compte du constructeur d'avions Ernst Heinkel. | ||
Joseph Le Roux | Joseph Le Roux disparaît à une date inconnue. | ||
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* [http://www.bddm.org/liv/index_liv.php Fondation pour la mémoire de la déportation]. | * [http://www.bddm.org/liv/index_liv.php Fondation pour la mémoire de la déportation]. | ||
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Joseph Marie Le Roux, né à Pontorson le 2 mars 1910, disparu au camp de concentration d'Oranienburg-Sachsenhausen (Allemagne), est un déporté de la Manche.
Biographie
Joseph Le Roux est le fils de Louis Marie et de Marie-Isabelle Ledec, époux de Germaine Beugnot, demeurant à la Garenne-en-Pencran (Finistère) [1].
Il est arrêté par les Allemands le 19 février 1943 et interné à la prison de Pontaniou à Brest (Finistère), puis à Compiègne. Il fait partie du convoi qui part de Compiègne-Royallieu (Oise) le 8 mai 1943 à destination du camp de concentration d'Oranienburg-Sachsenhausen. Il emporte dans ses wagons 960 hommes parmi lesquels les Manchois : Leforestier, Mazier et Mesnildrey.
À son arrivée au camp, Joseph Le Roux se voit attribuer le matricule 66086. Il est affecté au camp-annexe d'Heinkel qui est une usine-camp. Les déportés y travaillent pour le compte du constructeur d'avions Ernst Heinkel.
Joseph Le Roux disparaît à une date inconnue.
Les dernières nouvelles qu'il envoie à sa famille remontent au 29 mai 1944. En avril 1947, une requête est présentée au procureur de la République près le tribunal de Brest en vue de faire déclarer judiciairement son absence [1]
Notes et références
- ↑ 1,0 et 1,1 Journal officiel de la République française du 24 avril 1947 (voir en ligne)