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'''Georges''' Henri ''' Hautot''', né à Colombes (Seine, aujourd'hui Hauts-de-Seine) {{date naissance|2|2|1887}} <ref>AD92, NMD Colombes, an 1887, page 12/114, acte de naissance n° 41 [http://consultation.archives.hauts-de-seine.net/mdr/index.php/docnumViewer/calculHierarchieDocNum/402305/367506:396213:402493:402494:402305/1080/1920 ''(lire en ligne)''].</ref>, mort à La Ferté-Alais (Seine-et-Oise, aujourd'hui Essonne) {{date décès|10|4|1963}}, est une personnalité artistique de la [[Manche]].
'''Georges''' Henri ''' Hautot''', né à Colombes (Seine, aujourd'hui Hauts-de-Seine) {{date naissance|2|2|1887}} <ref>AD92, NMD Colombes, an 1887, page 12/114, acte de naissance n° 41 [http://consultation.archives.hauts-de-seine.net/mdr/index.php/docnumViewer/calculHierarchieDocNum/402305/367506:396213:402493:402494:402305/1080/1920 ''(lire en ligne)''].</ref>, mort à La Ferté-Alais (Seine-et-Oise, aujourd'hui Essonne) {{date décès|10|4|1963}}, est une personnalité artistique de la [[Manche]].


==Biographie==
Georges Hautot est le fils de Jules Hyacinthe Hautot ([[1850]]-[[1920]]), contrôleur des Postes à Paris, né à Fermanville, et de Ludivine Dupuis ([[1857]]-[[1889]]), née à Fermanville. Sa mère décède lorsqu'il a deux ans. Pour suivre la volonté de son père, il commence par suivre les cours de la Faculté de droit de Caen. Jusqu'en 1906, il travaille dans les bureaux de poste parisiens et les télégraphes <ref name=LFA1>« Georges Hautot », ''lafertealais.com'', site internet [http://lafertealais.com/contents/fr/d38_georges_hautot.html ''(lire en ligne)'']. </ref>.
Georges Hautot est le fils de Jules Hyacinthe Hautot ([[1850]]-[[1920]]), contrôleur des Postes à Paris, né à Fermanville, et de Ludivine Dupuis ([[1857]]-[[1889]]), née à Fermanville. Sa mère décède lorsqu'il a deux ans. Pour suivre la volonté de son père, il commence par suivre les cours de la Faculté de droit de Caen. Jusqu'en 1906, il travaille dans les bureaux de poste parisiens et les télégraphes <ref name=LFA1>« Georges Hautot », ''lafertealais.com'', site internet [http://lafertealais.com/contents/fr/d38_georges_hautot.html ''(lire en ligne)'']. </ref>.


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À La Ferté-Alais (Essonne), une rue perpétue sa mémoire.
À La Ferté-Alais (Essonne), une rue perpétue sa mémoire.


== Notes et références ==
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== Liens internes ==
== Liens internes ==

Version du 6 janvier 2020 à 10:57

Autoportrait.

Georges Henri Hautot, né à Colombes (Seine, aujourd'hui Hauts-de-Seine) le 2 février 1887 [1], mort à La Ferté-Alais (Seine-et-Oise, aujourd'hui Essonne) le 10 avril 1963, est une personnalité artistique de la Manche.

Biographie

Georges Hautot est le fils de Jules Hyacinthe Hautot (1850-1920), contrôleur des Postes à Paris, né à Fermanville, et de Ludivine Dupuis (1857-1889), née à Fermanville. Sa mère décède lorsqu'il a deux ans. Pour suivre la volonté de son père, il commence par suivre les cours de la Faculté de droit de Caen. Jusqu'en 1906, il travaille dans les bureaux de poste parisiens et les télégraphes [2].

Il devient dessinateur et illustrateur et participe à de nombreux ouvrages. Ses sujets préférés furent et demeurent parfois les paysans, les uns ruinés, les autres enrichis par les contrecoups de la crise, les scènes de la rue, le peuple des faubourgs, les crainquebilles, les gagne-petit, les clochards, mais plus ou moins frondeurs [2]. Perpétuelles victimes des événements, ils gardent pourtant une énergie, un ressort extraordinaire et possèdent un bon sens aussi robuste qu'ils ont de goût à railler [2].

Il est l'auteur de plusieurs publicités pour la société Michelin [3].

Peintre, il réalise quelques tableaux.

Il est le frère cadet de Rachel Hautot (1882-1935), sculpteur.

Hommages

À La Ferté-Alais (Essonne), une rue perpétue sa mémoire.

Notes et références

  1. AD92, NMD Colombes, an 1887, page 12/114, acte de naissance n° 41 (lire en ligne).
  2. 2,0 2,1 et 2,2 « Georges Hautot », lafertealais.com, site internet (lire en ligne).
  3. Stéphane Richemond, Les Orientalistes: dictionnaire des sculpteurs, XIXe-XXe siècles, Les Éditions de l'Amateur, 2008.

Liens internes

Lien externe