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Aujourd’hui les services hospitaliers sont nombreux et variés : l’hôpital, l'établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD), le centre d’accueil et de soins (CAS) ainsi que le service de soins à domicile (SSIAD).
Aujourd’hui les services hospitaliers sont nombreux et variés : l’hôpital, l'établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD), le centre d’accueil et de soins (CAS) ainsi que le service de soins à domicile (SSIAD).


Depuis [[2016]], avec  les centres hospitaliers [[Centre hospitalier d'Avranches-Granville|d'Avranches-Granville]], [[Centre hospitalier de l'Estran|de l'Estran]] à Pontorson,  [[Centre hospitalier de Saint-Hilaire-du-Harcouët|de Saint-Hilaire-du-Harcouët]], de Mortain et [[Hôpital de Villedieu|de Villedieu]], il fait partie du groupe hospitalier Mont Saint-Michel (GHT).<ref>Mauricette Guittard, « Le groupe hospitalier condamné à réussir », ''Ouest-France'', 19 janvier 2017</ref>
En [[2016]], il intègre le [[Groupement hospitalier Mont-Saint-Michel]]<ref name = OF3>« Le groupe hospitalier condamné à réussir », ''Ouest-France'', 19 janvier 2017.</ref>.


==Notes et références==
==Notes et références==

Version du 8 décembre 2019 à 11:25

L'hôpital Saint-Maur à Saint-James est un monument de la Manche.

L’origine de l’hôpital Saint-Maur remonte au 13e siècle.

En 1236, Saint-Louis se rendant au Mont Saint-Michel visite la maison-Dieu établie en dehors des fortifications de Saint-James et desservie par des moines bénédictins qui dédient la chapelle à saint Maur.

En 1244, un abbé du Mont Saint-Michel, par un don, permet l’ouverture d’une léproserie à la sortie de la ville en direction de Pontorson, lieu qui porte à ce jour le nom de La Maladrerie.

En 1699, une charte, redéfinie sous Louis XIV, permet la réorganisation de l’hôpital avec l’aide des sœurs de Saint-Aubin-de-Villeneuve qui assurent l’instruction et les soins aux pauvres.

En 1913, un décret transforme l’hospice en hôpital-hospice pour le canton.

L'année 1951 marque le départ des sœurs de Saint-Aubin-de-Villeneuve, après 250 ans passés au service des hospitalisés.

En 1954, M. Sida arrive à la direction de l'économat de l'hôpital. Il réaménage tout l’hôpital, réorganise les services et remet en état tous les bâtiments. Il envisage la formation d’aides soignantes et d’infirmières.

Centre hospitalier de Saint-James

Aujourd’hui les services hospitaliers sont nombreux et variés : l’hôpital, l'établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD), le centre d’accueil et de soins (CAS) ainsi que le service de soins à domicile (SSIAD).

En 2016, il intègre le Groupement hospitalier Mont-Saint-Michel[1].

Notes et références

  1. « Le groupe hospitalier condamné à réussir », Ouest-France, 19 janvier 2017.

Source