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« Bassin du commerce de Cherbourg » : différence entre les versions

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==Histoire==
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[[Fichier:Chg-bassin-commerce4.jpg|thumb|right||Vue ancienne de l'extrémité sud.]]
L'ingénieur [[Louis Roland Hüe de Caligny]] ([[1677]]-[[1748]]) conçoit l'aménagement de ce bassin, qui est finalement inauguré en [[1775]].
L'ingénieur [[Louis Roland Hüe de Caligny]] ([[1677]]-[[1748]]) conçoit l'aménagement de ce bassin, qui est finalement inauguré en [[1775]].



Version du 11 septembre 2012 à 17:33

Le bassin de commerce, côté est.
A quai, le trois mâts anglais Tenacious (2011).

Le bassin du commerce de Cherbourg est une installation portuaire de la Manche, située à Cherbourg-Octeville.

Le bassin du commerce.

Il constitue le « chœur marin » de Cherbourg [1].

Il mesure 406 mètres de longueur sur 127 mètres de largeur [2]. On y accède par une écluse de 16 mètres de largeur [2], proche du pont tournant qui permet de relier ses deux rives. Il est accessible aux bateaux de 1 500 à 2 000 tonnes de port en lourd [2].

Il est bordé par le quai Alexandre III et le quai de l'Entrepôt. Une voie ferrée court le long de ces deux quais.

Il ouvre sur l'avant-port et, par un chenal, sur la petite rade de Cherbourg.

Au début du 20e siècle, on trouvait tout à proximité du bassin les services maritimes Bretel frères et le service des chalands remorqués de la Société de remorquages et de transport qui assuraient une liaison avec Le Havre [2]. Des importations de houille anglaise et de bois du Nord assuraient alors l'essentiel du trafic [2].

Le 1er janvier 1961, une criée est inaugurée à l'extrémité sud du bassin, pour remplacer la criée de l'Épi devenue trop petite. Elle couvre 2 000 mètres carrés.

Histoire

Vue ancienne de l'extrémité sud.

L'ingénieur Louis Roland Hüe de Caligny (1677-1748) conçoit l'aménagement de ce bassin, qui est finalement inauguré en 1775.

Notes et références

  1. Élie Guéné (dir.), Le Cotentin, éd. Manche-Tourisme, 1977, p. 30.
  2. 2,0 2,1 2,2 2,3 et 2,4 Camille Théodore Quoniam, Pour le port de Cherbourg, Impr. E. Domin, Caen, 1921, pp. 83-84.