« Roger Agnès » : différence entre les versions
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À son arrivée au camp, il se voit attribuer le numéro matricule 43815. Dépendant du système concentrationnaire de Buchenwald, il transite par les kommandos Wieda <ref>Construction d'une voie ferrée dans le Harz, réparation des voies ferrées et déblaiement des villes bombardées.</ref> et Ellrich <ref>Creusement de galeries souterraines et travaux de génie civil en surface.</ref>. Il connaît en suite l’enfer du terrible camp de Dora duquel il rentrera lors de sa libération le [[11 avril]] [[1945]]. | À son arrivée au camp, il se voit attribuer le numéro matricule 43815. Dépendant du système concentrationnaire de Buchenwald, il transite par les kommandos Wieda <ref>Construction d'une voie ferrée dans le Harz, réparation des voies ferrées et déblaiement des villes bombardées.</ref> et Ellrich <ref>Creusement de galeries souterraines et travaux de génie civil en surface.</ref>. Il connaît en suite l’enfer du terrible camp de Dora duquel il rentrera lors de sa libération le [[11 avril]] [[1945]]. | ||
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Version du 9 novembre 2019 à 07:50
Roger Agnès dit Normand, né à Hyenville le 12 juin 1913 et rentré d'un camp de concentration, est un déporté de la Manche.
Roger Agnès est embarqué à bord d'un convoi qui part de Compiègne-Royallieu (Oise) le 27 janvier 1944. Il emporte 1 584 prisonniers à destination de Buchenwald. Dans les wagons se trouvent également les Manchois : Bourget, Bourgine, Gilbert, Granguillot, Guennec, Hébert, Jaloin, Jousse, Le Notre, Roger, Tesnière et Testard.
À son arrivée au camp, il se voit attribuer le numéro matricule 43815. Dépendant du système concentrationnaire de Buchenwald, il transite par les kommandos Wieda [1] et Ellrich [2]. Il connaît en suite l’enfer du terrible camp de Dora duquel il rentrera lors de sa libération le 11 avril 1945.