« Gilles Bouillie » : différence entre les versions
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'''Gilles''' Louis '''Bouillie''', {{date naissance|10| | '''Gilles''' Louis '''Bouillie''', {{date naissance|10|5|1781|Gouvets}} <ref name=ad50>Naissance : « Acte de baptême » — {{Source AD50 | Commune ou paroisse=Gouvets | BMS ou NMD=BMS |Période=1773-1782 | Cote=E7 | Permalien=https://www.archives-manche.fr/ark:/57115/s005e612c900c2d1/5e612c9175e78 |Vue=95/109 | Quadrant=c }}</ref> et mort à Caen (Calvados) {{date décès|22|6|1883}} <ref name=ad14>{{Source AD|1=14|2=Caen |3=décès |4=d |5=1883 |6=4E 9090 |7=182 |8 =191 |9=708 |10=https://archives.calvados.fr/ark:/52329/9njg05317s4p/ceaf8b34-0858-4dda-86eb-cd7c1744c944 }}</ref>, est une personnalité de la [[Manche]]. | ||
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Version du 7 octobre 2022 à 13:38
Gilles Louis Bouillie, né à Gouvets le 10 mai 1781 [1] et mort à Caen (Calvados) le 22 juin 1883 [2], est une personnalité de la Manche.
Le doyen des grognards
Quand il meurt à cent-deux ans, Gilles Bouillie est le doyen des armées du Premier Empire [3].
Il y a foule aux obsèques du dernier des grognards de la Manche. Il est un conscrit de l’An VIII. En 1804, il assiste, au camp de Boulogne, à la première distribution de croix de la Légion d’honneur [3].
La paix revenue, il s’établit comme négociant à Caen où il est élu à cinq reprises président du tribunal de commerce [3].
Distinction
- Légion d'honneur : « Chevalier » () [4]
Notes et références
- ↑ Naissance : « Acte de baptême » — Archives de la Manche — (BMS) Gouvets 1773-1782 (E7) — Vue : 95/109 —
- ↑ Décès : « Acte 708 » — Archives du Calvados — (décès) Caen 1883 (4E 9090) — Vue : 182/191.
- ↑ 3,0 3,1 et 3,2 Dictionnaire des personnages remarquables de la Manche, tome 1, Jean-François Hamel, sous la direction de René Gautier, ISBN 291454190.
- ↑ Archives nationales, base de données Léonore, dossier Légion d’honneur (LH//313/56) (consulter en ligne)