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'''Alexandre''' Auguste François '''Picot''', {{date naissance|7|12|1833|Tourlaville}} et mort à [[La Glacerie]] en août [[1959]], est une personnalité politique de la [[Manche]], maire de La Glacerie.
'''Alexandre''' Auguste François '''Picot''', {{date naissance|7|12|1883|Tourlaville}} et {{date décès|8|8|1958|Cherbourg}}, est une personnalité politique de la [[Manche]], maire de La Glacerie.


== Biographie ==
== Biographie ==


Ancien commis principal à l'[[arsenal de Cherbourg]], Alexandre Picot loge aux Rouges-Terres<ref name=LG>Philippe Duval, ''La Glacerie 1901-2001 : son premier siècle de vie locale'', Ville de La Glacerie, Paris, 2001</ref>.
Ancien commis principal à l'[[arsenal de Cherbourg]], Alexandre Picot loge aux [[Les Rouges-Terres (La Glacerie)|Rouges-Terres]], où il est né <ref name=LG> Philippe Duval, ''La Glacerie 1901-2001 : son premier siècle de vie locale'', Ville de La Glacerie, Paris, 2001. </ref>.


Le conseil municipal, nommé par le préfet de la Manche, le [[18 décembre]] [[1944]], choisit le [[2 janvier]] suivant, sous la présidence de Marcel Chazot, Alexandre Picot comme maire de la commune. Joseph Corbin prend la place d'adjoint<ref name=LG/>.
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[[Catégorie:Maire de La Glacerie]]
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Dernière version du 18 juin 2023 à 13:24

Alexandre Auguste François Picot, né à Tourlaville le 7 décembre 1883 et mort à Cherbourg le 8 août 1958, est une personnalité politique de la Manche, maire de La Glacerie.

Biographie

Ancien commis principal à l'arsenal de Cherbourg, Alexandre Picot loge aux Rouges-Terres, où il est né [1].

Le conseil municipal, nommé par le préfet de la Manche, le 18 décembre 1944, choisit le 2 janvier suivant, sous la présidence de Marcel Chazot, déjà adjoint, Alexandre Picot comme maire de la commune, à la suite de Louis Dupont nommé pendant la guerre. Joseph Corbin prend la place d'adjoint [1].

Le 20 mai 1945, puis le 31 octobre 1947, il est reconduit avec son adjoint, après avoir été réélu aux municipales. Chazot devient adjoint spécial entre mai 1945 et octobre 1947 [1].

La mort de Joseph Corbin et la démission de plusieurs conseillers municipaux entraînent une élection partielle le 5 octobre 1951. Il conserve son mandat et prend Guy Letouzé comme adjoint chargé des dommages de guerre et de la reconstruction. Il quitte la mairie en 1953 [1].

Mortellement blessé par une voiture alors qu'il circule en vélomoteur dans la rue des Tribunaux, il décède à l'hôpital Pasteur quelques heures plus tard [2].

Léopold Bellamy lui succède.

Notes et références

  1. 1,0 1,1 1,2 et 1,3 Philippe Duval, La Glacerie 1901-2001 : son premier siècle de vie locale, Ville de La Glacerie, Paris, 2001.
  2. « M. Picot, ancien maire de La Glacerie, meurt à la suite d'une collision », Ouest-France, 9 août 1958.

Voir aussi