« Sémaphore de la Hague » : différence entre les versions
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Il est construit en [[1860]] <ref name=Anquetil>Pierre Anquetil, ''La Hague fouille dans son passé'', éd. La Dépêche, Cherbourg, 1974, p. 18. </ref>, à l'extrémité du nez Bayard. | Il est construit en [[1860]] <ref name=Anquetil>Pierre Anquetil, ''La Hague fouille dans son passé'', éd. La Dépêche, Cherbourg, 1974, p. 18. </ref>, à l'extrémité du nez Bayard. | ||
Il est jouxté , jusqu'à la fin du XIX{{e}} siècle, par une station de transmission TSF <ref name=Anquetil/>. | |||
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Le sémaphore est classé en 1{{exp|re}} catégorie le 17 septembre [[2009]]. | |||
==Notes et références== | ==Notes et références== |
Version du 1 février 2013 à 19:51
Le sémaphore de la Hague est un sémaphore de la Manche, situé à Auderville;
Il est construit en 1860 [1], à l'extrémité du nez Bayard.
Il est jouxté , jusqu'à la fin du XIXe siècle, par une station de transmission TSF [1].
En 1908, il est surélevé d'une dizaine de mètres [1].
Au début du XXe siècle, un chemin direct est aménagé à travers champs, qui facilite considérablement l'accès aux installations jusqu'alors seulement accessibles par un chemin côtier fort peu praticable et soumis aux éboulements [1].
Le sémaphore est classé en 1re catégorie le 17 septembre 2009.