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'''Camille Cé''', pour l'état civil Camille Chemin, né à Rouen (Seine-Maritime) en [[1878]], mort à Paris le 12 juin [[1959]], est un poète et un écrivain de la [[Manche]].
'''Camille Cé''', pour l'état civil Camille Chemin, né à Rouen (Seine-Maritime) le 26 octobre [[1878]], mort à Paris le 12 juin [[1959]], est un poète et un écrivain de la [[Manche]].


==Biographie==
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Il est rédacteur en chef de la revue ''Les Normands de Paris''.
Il est rédacteur en chef de la revue ''Les Normands de Paris''.


Un lycée de Paris, dans le 15{{e}} arrondissement, perpétue la mémoire de Camille Cé.
Il aimait à dire qu’« accoler le mot normand à un nom d’artiste, ce n’est pas réduire son talent mais au contraire l’enrichir d’une dimension supplémentaire ». D’aucuns l’ont comparé à Maupassant.<ref name=dico >Sous la direction de René Gautier, ''Dictionnaire des personnages remarquables de la Manche'', tome 4, [http://www.normandiffusion.com/ Éditions Eurocibles], [[Marigny]], 2001, ISBN : 2-914 541 56 2.</ref>
 
Il aimait à dire qu’ « ''accoler le mot normand à un nom d’artiste, ce n’est pas réduire son talent mais au contraire l’enrichir d’une dimension supplémentaire'' ». D’aucuns l’ont comparé à Maupassant.<ref name=dico >Sous la direction de René Gautier, ''Dictionnaire des personnages remarquables de la Manche'', tome 4, [http://www.normandiffusion.com/ Éditions Eurocibles], [[Marigny]], 2001, ISBN : 2-914 541 56 2</ref>


==Œuvres==
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== Notes ==  
==Hommages==
Une plaque et un médaillon sont apposés sur la façade de sa maison natale, 12 rue de l'École à Rouen.
 
Un lycée de Paris, dans le 15{{e}} arrondissement, perpétue la mémoire de Camille Cé.
 
== Notes et références==  
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Version du 31 mai 2012 à 15:04

Camille Cé, pour l'état civil Camille Chemin, né à Rouen (Seine-Maritime) le 26 octobre 1878, mort à Paris le 12 juin 1959, est un poète et un écrivain de la Manche.

Biographie

Agrégé de l'Université, Camille Cé est professeur au lycée de Cherbourg de 1905 à 1909. Il collabore à cette époque à la Revue d'études normandes.

Il est élu membre correspondant de la Société nationale académique de Cherbourg le 2 juin 1954.

Il est rédacteur en chef de la revue Les Normands de Paris.

Il aimait à dire qu’« accoler le mot normand à un nom d’artiste, ce n’est pas réduire son talent mais au contraire l’enrichir d’une dimension supplémentaire ». D’aucuns l’ont comparé à Maupassant.[1]

Œuvres

  • Le Livre des résignations, poèmes, éd. Sansot et Cie, 1908
  • Les Chandelles éteintes : contes normands, avec Jean Gaument, 1919
  • La Grand'route des hommes, avec Jean Gaument, 1923
  • Largue l'amarre, avec Jean Gaument, roman, 1924
  • J'aurais tué, avec Jean Gaument, roman, 1927
  • Dans la flamme de Malte, avec Jean Gaument, roman, 1928
  • Plus vrai que la vie, avec Jean Gaument, roman, 1929
  • Échec au roi, avec Jean Gaument, roman, 1931
  • Plus loin que l'amour, avec Jean Gaument, roman, 1935
  • Le Fils Maublanc, avec Jean Gaument, roman, 1936
  • Le Squelette dans le placard, roman, 1942
  • Mon enfance m'a dit..., 1946
  • Les Chansons élizabéthaines, avec Delattre Floris, 1948

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Hommages

Une plaque et un médaillon sont apposés sur la façade de sa maison natale, 12 rue de l'École à Rouen.

Un lycée de Paris, dans le 15e arrondissement, perpétue la mémoire de Camille Cé.

Notes et références

  1. Sous la direction de René Gautier, Dictionnaire des personnages remarquables de la Manche, tome 4, Éditions Eurocibles, Marigny, 2001, ISBN : 2-914 541 56 2.