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« Théâtre gallo-romain d'Alauna » : différence entre les versions

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('Pulpitre", ça n'existe pas, c'est une très ancienne orthographe pour pupitre. On ne traduit jamais pulpitum en français. Plus grand que celui de Pompée, ça semble vraiment très improbable... et à Pola, on a plutôt un immense amphithéâtre.)
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==Bibliographie==
==Bibliographie==
* [[Charles Duhérissier de Gerville|Charles de Gerville]], « Théâtre romain d'Alleaume », ''Monuments romains d'Alleaume'', imprim. Vve H.Gomont, Valognes, 1844, p.5-10[http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k857383k/f9.image ''(lire en ligne)'']
* [[Charles Duhérissier de Gerville|Charles de Gerville]], « Théâtre romain d'Alleaume », ''Monuments romains d'Alleaume'', imprim. Vve H.Gomont, Valognes, 1844, p.5-10 [http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k857383k/f9.image ''(lire en ligne)'']


==Notes et références==
==Notes et références==

Version du 29 avril 2018 à 14:55

Plan.

Le théâtre gallo-romain d'Alauna est un site archéologique de la Manche, situé à Valognes.

Alauna est le nom de Valognes à l'époque romaine.

Situation

Le théâtre, appelé aussi cirque, est situé au Bas-Câtelet, dans un endroit nommé Les Buttes.

Histoire

Le théâtre d'Alauna a été détruit par le propriétaire des lieux, Jean Cardine, entre 1825 et 1835 [1].

Description

Au lieu d'un simple hémicycle, comme la plupart des théâtres romains, le théâtre d'Alauna est en forme de fer à cheval [1].

Sa capacité est d'environ 3 700 places.

Il est considéré comme l'un des plus vastes théâtre romains connus, « plus grand que ceux de Sagonte, Pola et Pompée » [1], peut-être le plus grand après celui de Rome [1].

Son diamètre est de 34 toises ou 204 pieds et la ligne qui le termine mesure 75 pieds (32 m) [1]. L'orchestre mesure 12 toises et demi de diamètre (75 pieds) et la ligne qui le termine 9 toises et demi [1]. Le proscenium mesure 57 pieds de long sur 12 pieds de large [1]. Le pulpitum a 43 pieds de long sur 12 pieds de large [1]. Il y a aussi deux précinctions et dix escaliers [1].

Bibliographie

Notes et références

  1. 1,0 1,1 1,2 1,3 1,4 1,5 1,6 1,7 et 1,8 J.-L. Adam, « Valognes », Cherbourg et le Cotentin, Impr. Émile Le Maout, Cherbourg, 1905, p. 589-590.