Actions

« Saint-Jean-de-Cherbourg (Canada) » : différence entre les versions

De Wikimanche

(+ photo)
Ligne 10 : Ligne 10 :
Saint-Jean-de-Cherbourg se situe au Canada, dans la province de Québec, au pied des monts Chics-chocs. Elle appartient à la municipalité régionale de La  Matanie, elle-même comprise dans la région administrative du Bas-Saint-Laurent.
Saint-Jean-de-Cherbourg se situe au Canada, dans la province de Québec, au pied des monts Chics-chocs. Elle appartient à la municipalité régionale de La  Matanie, elle-même comprise dans la région administrative du Bas-Saint-Laurent.


Elle est traversée en son centre par le Gros-Ruisseau et en son sud par la Petite rivière Matane.
Elle est traversée en son centre par le Gros-Ruisseau et en son sud par la Petite rivière Matane et par le [[ruisseau Cherbourg]].


== Histoire ==
== Histoire ==

Version du 11 décembre 2021 à 20:26

Les monts Chics-chocs vus de Saint-Jean.

Saint-Jean-de-Cherbourg est le nom d'une « municipalité de paroisse », dans la province du Québec, au Canada.

Population : 165 habitants (2016) (218 en 2006)

Superficie : 113,77 km²

Géographie

La rivière Matane à Saint-Jean-de-Cherbourg.

Saint-Jean-de-Cherbourg se situe au Canada, dans la province de Québec, au pied des monts Chics-chocs. Elle appartient à la municipalité régionale de La Matanie, elle-même comprise dans la région administrative du Bas-Saint-Laurent.

Elle est traversée en son centre par le Gros-Ruisseau et en son sud par la Petite rivière Matane et par le ruisseau Cherbourg.

Histoire

Saint-Jean-de-Cherbourg tire son nom à la fois de saint John Fisher (ca 1469-1535), théologien anglais décapité pour s'être opposé au roi Henri VIII, et du canton de Cherbourg dans lequel elle se situe.

Saint-Jean-de-Cherbourg voit le jour dans les années 1930 sous l'impulsion du plan Vautrin qui favorise la colonisation. Une paroisse est créée en 1947 qui devient officiellement commune le 1er mai 1954. Saint-Jean-de-Cherbourg aurait dû disparaître en 1960. Mais ses habitants se sont rebellés. Si le village voisin de Saint-Thomas-de-Cherbourg a disparu, Saint-Jean, lui, continue de vivre tant bien que mal [1].

En 2018, la photographe canadienne Kassandra Reynolds présente aux habitants de Saint-Jean le reportage au long cours qu'elle leur a consacré, qui doit aussi faire l'objet d'un livre [2].

Bibliographie

  • [Anonyme], Si St-Jean-de-Cherbourg m'était conté, 1977

Notes et références

  1. Richard Menant, « Je m'appelle Cherbourg et j'ai froid », Ouest-France, 18 novembre 1985.
  2. Stéphane Quintin, « Une diplômée en photographie du Cégep rend hommage aux habitants de Saint-Jean-de-Cherbourg », L'Avantage gaspésien, 9 octobre 2018 (lire en ligne).

Article connexe

Liens externes