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==Hydronymie==
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====Étymologie====
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* Ancien viaduc ferroviaire à Poilley
* Ancien viaduc ferroviaire à Poilley
* Viaduc ferroviaire à Pontaubault
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==Gestion==
Le Syndicat mixte du bassin de la Sélune, créé le 12 mai [[2010]]  a pour objet l’aménagement et la gestion des eaux de la Sélune.
Le SAGE  (Schéma d’aménagement et de gestion des eaux du bassin de la Sélune) validé par arrêté préfectoral en [[2007]]  définit les orientations et le cadre des actions mises en œuvre par le Syndicat Mixte du Bassin de la Sélune.<ref>''Bassin de la Sélune'', [http://bassin-selune.fr/qui-sommes-nous], consulté le 30 août 2017.</ref>


== Notes et références ==
== Notes et références ==

Version du 31 août 2017 à 17:22

La Sélune à Ducey.

La Sélune est un fleuve de la Manche.

Elle prend sa source à Saint-Cyr-du-Bailleul, et se jette dans la baie du Mont Saint-Michel. Elle draine un bassin couvrant 1 010 km2 [1].

Longue de 79 km, elle traverse Ducey, Poilley, Saint-Hilaire-du-Harcouët et Pontaubault.

La Sélune, le Couesnon et la Sée chassent vers le large, autour du Mont-Saint-Michel, les sédiments apportés par la marée.

Elle sépare, dans sa partie inférieure, le département de la Manche de celui d'Ille-et-Vilaine.

Le barrage de la Roche-qui-Boit (1919) et le barrage de Vezins (1932) ont été construits sur le fleuve. Ils sont appelés à être détruits par une décision gouvernementale prise en 2009 et annoncée par Chantal Jouanno, secrétaire d'État à l'Écologie, et confirmée depuis [2]. Il leur est reproché, en particulier au barrage de Vezins, d'empêcher « la montaison et la dévalaison des poissons migrateurs, en particulier des saumons, alors que la rivière est classée en ce sens » [2].

Lors des marées de grand coefficient, lorsque la mer remonte, elle crée une vague puissante que l’on appelle un mascaret.

Hydronymie

Attestations anciennes

  • Senuna ~850 [3].
  • super Senunam 1249 [3].
  • Seenune s.d. [4].
  • l[a] riviere de Selune 1449 [5].
  • Selune flu[vius] 1594 [6].
  • Selnes [sic; lire Selune] R[iviere] 1694 [7].
  • Selune R[iviere] 1711 [8].
  • Celune R[iviere] 1716 [9].
  • la Celune R[iviere] 1719 [10].
  • Selune R[iviere] 1719 [11], 1720 [12].
  • la Celune R[iviere] 1742 [13].
  • Selune R[iviere] 1745/1780 [14].
  • Riuiere de Selune 1780 [15].
  • Celune ou Ardée R[iviere]; Selune R[iviere] 1753/1785 [16].
  • Selune R[ivière] 1792 [17].
  • Riviére de Selune 1809 [18].
  • Rivière de Selune 1825 [18].
  • la Sélune 1844 [19].
  • Selune F[leuve] 1854 [20].
  • Rivière de la Selune; la Célune R[ivi]ère 1825/1866 [21].
  • la Sélune 1878 [4].
  • la Sélune R[ivière]; la Sélune, ou Célune 1880 [22].
  • la Friette R[ivière] ou Rivière de Sélune 1884 [23].
  • Sélune 1926 [24].
  • la Sélune Fl[euve] 2007 [25].
  • Sélune (Rivière) 2009 [26].

Étymologie

Sans connaître les formes anciennes de ce nom, Albert Dauzat y avait vu un dérivé du type hydronymique bien attesté Sela / Sala [27]. Marcel Baudot était auparavant tombé dans le même travers en rattachant le nom de ce fleuve à un type °salos / °sala [28]. Les premières attestations du nom de la Sélune (Senuna, Seenune) montrent qu'il n'en est rien, et qu'il s'est produit entre le 13e et le 15e siècle une dissimilation n—n > l—n. C'est donc d'un radical en Sen- qu'il faut partir.

François de Beaurepaire rapproche avec raison la forme Senuna du nom de la Sienne (Sena 1027) [3] et de la Senelle [29], négligeant cependant d'y associer celui de la Sénène, qui est un affluent rive droite de la Sienne. L'auteur se borne ensuite à citer, sans l'expliciter, une « racine indo-européenne sen » (comprendre °sen-) [3], qualifiée ailleurs de « racine hydronymique sen » [29], et à reconstituer une proto-forme °SENONA que l'on croit retrouver dans divers toponymes tels que Sénonnes (Mayenne), Senones (Voges), rapprochés du nom des Gaulois Senones, et Senonches (Eure-et-Loir), Senonges (Vosges) < °SENONICAS [3]. Le fait est que l'on reste un peu sur sa faim.

Il existe deux principales racines indo-européennes °sen-, l'une signifiant « vieux », et l'autre « à part, séparé », qui fournissent toutes deux des pistes intéressantes.

Hypothèse n° 1 : °sen- « vieux »

La racine indo-européenne °sen- « vieux » a souvent, outre son sens propre, une valeur laudative, et admet des significations secondaires telles que « ancien », « vénérable », « sage », voire « sacré ». En latin par exemple, elle est à l'origine des mots senex « vieux, vieillard » et senium « grand âge, sénilité », mais aussi de senatus « conseil des Anciens, Sénat » et senator « sénateur, sage » [30]. En Gaule, les Senones, qui ont laissé leur nom à Sens (Yonne), étaient « les Anciens », « les Vénérables », plutôt que « les Vieux » [31], car en gaulois le mot senos avait également cette double valeur [32]. De même, le nom de l'île de Sein (Finistère), attesté sous la forme Sena dès le premier siècle de notre ère, était « la Vénérable », « la Sacrée ». Son nom se rattache à la présence en ce lieu d'un groupe de neuf prophétesses « Sacrées », les Senæ, et donc d'un probable sanctuaire où ces femmes prédisaient l'avenir par l'intermédiaire de l'oracle d'une divinité gauloise [31]. Ce lien avec le sacré se retrouve encore dans le toponyme Senantes (Oise, Eure-et-Loir), issu du gaulois °Seno-nemeton « vénérable sanctuaire, sanctuaire sacré ».

Il est donc possible de considérer que les hydronymes en Sen- sont des créations gauloises qui relèvent du même sémantisme de « vénérable, sacré », analogues aux noms de cours d'eau en Div-, (Dive(s), Divette, Divonne, etc.), eux-mêmes issus ou dérivés du gaulois °deua « déesse ». °SENONA représente alors °SEN-ON-A formé comme °DIV-ON-A, à l'origine du type Divonne / Dionne, ou encore °MATR-ON-A « la déesse-mère », nom gaulois de la Marne. Parallèlement, la Sienne est simplement °SENA « la Vénérable », « la Sacrée », dont le nom de la Sénène représente le dérivé adjectival °SEN-AN-A.

Hypothèse n° 2 : °sen- « séparé »

Cette deuxième racine, évoquant la séparation ou l'exclusion, est à l'origine, entre autres, du latin sine « sans » (d'où le français sans) ou encore de l'anglais to sunder « séparer ». On pourrait donc considérer que les hydronymes en Sen- (ou du moins, certains d'entre eux) sont des marqueurs de limites. Cependant, la frontière entre les Abrincates et les Unelles était située plus au nord, et celle qui séparait les premiers des Redones et des Coriosolites orientaux plus au sud : elle devait être matérialisée par le Couesnon, du moins en partie. Mais il n'est pas impossible qu'une portion du fleuve ait autrefois correspondu à cette dernière, préservée par celles des anciens archevêchés de Rouen et de Tours, et aujourd'hui encore par endroits par la limite de la Manche et de l'Ille-et-Vilaine. Mais ceci n'est qu'une simple hypothèse, et l'explication précédente semble à tous points de vue plus forte.

Noms alternatifs

Ardée

Sur plusieurs cartes anciennes, la Sélune porte le nom alternatif d’Ardée ou Ardrée :

  • Ardrée R[iviere]; Ardée R[iviere] 1650 [33].
  • Ardee R[iviere] 1661 [34], 1694 [35].
  • Ardee fl[uvius] ~1700 [36], 1720 [37].
  • Ardée R[iviere] 1736 [38].
  • Ardee R[iviere] 1758 [39].
  • Ardée R[iviere] 1768 [40].
  • Celune ou Ardée R[iviere] 1753/1785 [41].

Sur la carte de Jean-Baptiste Nolin de 1694, ainsi que celle de Gerard Valk vers 1700, ce nom est appliqué au cours inférieur de la Sélune et à l'Airon. Par contre, son cours supérieur est appelé Sélune (noté par erreur Selnes) sur la carte de Nolin.

Selon l'abbé Lecanu, le nom d'Ardée était déjà attesté à l'époque médiévale [42]. L'aventureux ecclésiastique affirme en outre, de manière assez péremptoire, que « l'étymologie d'Ardevon doit se tirer du nom de la Séelune, qui s'appelait Ardée au moyen âge ». Ardevon, on le sait, n'est pas sur la Sélune dont l'embouchure est éloignée d'environ huit kilomètres, et cette « étymologie » ne repose sur autre chose que la consonance des deux noms. Néanmoins, on peut s'interroger sur leur similitude, qui pourrait éventuellement représenter la trace d'une origine partiellement commune, et donc remettre en question l'explication que François de Beaurepaire a proposé pour Ardevon, à savoir le type toponymique gaulois °Eburodūnon [43].

Friette

Sur plusieurs cartes des 18e et 19e siècles, le cours supérieur de la Sélune, initialement considéré comme un affluent, porte le nom alternatif de Friette :

L'origine de cette autre appellation n'est pour l'instant pas connue.

Toponymes et odonymes dérivés

Le nom de la Sélune a été donné dans la Manche à divers bâtiments, lotissements, résidences et voies de communication :

Affluents

Ponts et viaducs sur la Sélune

Le viaduc ferroviaire et le pont de pierre à Pontaubault
  • Pont des Biards
  • Pont de la République à Saint-Martin-de-Landelles
  • Vieux pont de Ducey
  • Ancien viaduc ferroviaire à Ducey
  • Pont de Pontaubault
  • Ancien viaduc ferroviaire à Poilley
  • Viaduc ferroviaire à Pontaubault

Gestion

Le Syndicat mixte du bassin de la Sélune, créé le 12 mai 2010 a pour objet l’aménagement et la gestion des eaux de la Sélune.

Le SAGE (Schéma d’aménagement et de gestion des eaux du bassin de la Sélune) validé par arrêté préfectoral en 2007 définit les orientations et le cadre des actions mises en œuvre par le Syndicat Mixte du Bassin de la Sélune.[52]

Notes et références

  1. Fernand Verger, « Colmatage et génie civil aux environs du Mont-Saint-Michel », Mappemonde, n° 63, mars 2001.
  2. 2,0 et 2,1 Sylvain Lambert, « La Sélune n'a que des amis », Au fil de la Normandie, n° 36, hiver 2012.
  3. 3,0 3,1 3,2 3,3 et 3,4 François de Beaurepaire, Les noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, Paris, 1986, p. 218.
  4. 4,0 et 4,1 Abbé Auguste Lecanu, Histoire du diocèse de Coutances et d'Avranches depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours; suivie des actes des saints et d'un tableau historique des paroisses du diocèse, impr. de Salettes, Coutances, t. II, 1878, p. 265.
  5. Siméon Luce, Chronique du Mont-Saint-Michel (1343-1468), Firmin-Didot, Paris, t. II, 1883, p. 220, § CCLXXII.
  6. Abraham Ortel dit Ortelius, Neustria. Britanniae, et Normandiae Typus, Anvers, 1594.
  7. Jean-Baptiste Nolin, Le duche et gouvernement de Normandie Divisé en Haute et Basse Normandie, en Divers Pays, et par Evechez, Paris, 1694 [BNF, IFN-7710251].
  8. Alexis-Hubert Jaillot, La Généralité de Tours divisée en ses seize elections, aux Deux globes, Paris, 1711 [BNF, collection d'Anville, cote 00729 B].
  9. Guillaume de l'Isle, Carte de Normandie, Paris, 1716.
  10. Guillaume de l’Isle, Carte des Provinces du Maine et du Perche, Paris, 1719.
  11. Bernard Jaillot, Le Gouvernement général de Normandie divisée en ses trois généralitez, Paris, 1719.
  12. G. Mariette de la Pagerie, Carte topographique de la Normandie; feuille 1 : Bayeux et Caen, 1720 [BNF, fonds Cartes et Plans, cote Ge DD 2987 (1009, I) B].
  13. Guillaume de l’Isle, Premier Geographe du Roy de l'Academie Royale des Sciences, Carte des Provinces du Maine et du Perche dans la quelle se trouve comprise la Partie Septentrionale de la Generalite de Tours, Amsterdam, Chez Jean Covens et Corneille Mortier, Geographes, 1742 [BNF].
  14. Atlas de Trudaine pour la généralité de Caen (1745/1780), Archives Nationales, fonds CP, F/14/*8469.
  15. Anonyme, Plan des Départemens de Caen Bayeux et Saint Lo suivant la Marche que les Ambulants Tiennnent lors de Leurs Recouvremens [de la taille], 1780 [BNF département Cartes et plans, GE AA-3798 (RES)].
  16. Carte de Cassini.
  17. Les Auteurs de l’Atlas National de France, Atlas National Portatif de la France, Bureau de l’Atlas National, Paris, 1792.
  18. 18,0 et 18,1 Cadastre napoléonien, Archives départementales de la Manche.
  19. Jacques-François Boudent-Godelinière, Essai historique et statistique sur l'Avranchin, E. Tostain, Avranches, 1844, t. II, p. 157.
  20. V. Lavasseur, Atlas National Illustré des 86 départements et des possessions de la France, A. Combette éditeur, Paris, 1854.
  21. Cartes d’État-Major (relevés de 1825 à 1866, mises à jour jusqu’à 1889).
  22. Adolphe Joanne, Géographie du département de la Manche, Hachette, Paris, 1880, p. 18.
  23. 23,0 et 23,1 E.-A. Pigeon, Carte du diocèse d’Avranches, A. Herluison, Orléans, 1884 [BNF, GED-1158].
  24. Carte du département de la Manche, L’Illustration économique et financière, 28 août 1926.
  25. Carte IGN au 1 : 25.000.
  26. Cadastre moderne.
  27. Albert Dauzat, Gaston Deslandes et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de rivières et de montagnes en France, Klincksieck, Paris, 1978, p. 83b s. n. SELLE.
  28. Marcel Baudot, « Stratigraphie hydronymique de la Normandie », Proceedings of the 9th international congress of onomastic sciences, Londres , 1966, p. 134-150; reproduit dans Marcel Baudot, Études d'onomastique et d'histoire normande, Société parisienne d'histoire et d'archéologie normandes, Nogent-sur-Marne, 1982, 81-97.
  29. 29,0 et 29,1 François de Beaurepaire, op. cit., p. 219, s. n. LA SIENNE.
  30. Cette valeur se retrouve également dans le germanique commun °senaz « âgé, ancien » : le °sini-skalkaz « vieux serviteur », désigne en fait l'officier qui a le plus d'expérience, et aboutit au français sénéchal.
  31. 31,0 et 31,1 Jacques Lacroix, Les noms d’origine gauloise III, La Gaule des dieux, Errance, Paris, 2007, p. 216.
  32. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, Errance, Paris, 2001, p. 229.
  33. M. Merian, Duché et Gouvernement de Normandie, Francfort, 1650.
  34. N. Sanson et P. Mariette cartographes, R. Cordier graveur, Duche et Gouvernement de Normandie, Paris, 1661.
  35. Jean-Baptiste Nolin, Le duche et gouvernement de Normandie Divisé en Haute et Basse Normandie, en Divers Pays, et par Evechez, Paris, 1694 [BNF, IFN-7710251].
  36. Gerard Valk, Normannia Ducatus, tum Superior ad Ortum, tum Inferior ad Occasum, Praefectura Generalis […] Anglici Caesarea sive Jarsey…, Amsterdam, ~1700.
  37. Jean-Baptiste Homann, Tabula Ducatus Britanniæ Gallis / le Gouvernem[en]t General de Bretagne, Nuremberg, 1720.
  38. Bernard Jaillot, Carte topographique du diocèse de Bayeux, Paris, 1736 [BNF, Collection d’Anville, cote 00260 B].
  39. Robert de Vaugondy, Carte du gouvernement de Normandie, Paris, 1758.
  40. Robert de Vaugondy, Carte du gouvernement de Bretagne, Paris, 1768.
  41. Carte de Cassini.
  42. Abbé Auguste Lecanu, op. cit., t. II, 1878, p. 285.
  43. François de Beaurepaire, Les noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, Paris, 1986, p. 69.
  44. Alexis-Hubert Jaillot, La Généralité de Tours divisée en ses seize elections, aux Deux globes, Paris, 1711 [BNF, collection d'Anville, cote 00729 B].
  45. Guillaume de l'Isle, Carte de Normandie, Paris, 1716.
  46. Bernard Jaillot, Le Gouvernement général de Normandie divisée en ses trois généralitez, Paris, 1719.
  47. Guillaume de l’Isle, Carte des Provinces du Maine et du Perche, Paris, 1719.
  48. G. Mariette de la Pagerie, Carte topographique de la Normandie; feuille 3 : Fougères, Vire et Avranches, 1720 [BNF, fonds Cartes et Plans, cote Ge DD 2987 (1009, III) B].
  49. Guillaume de l’Isle, Premier Geographe du Roy de l'Academie Royale des Sciences, Carte des Provinces du Maine et du Perche dans la quelle se trouve comprise la Partie Septentrionale de la Generalite de Tours, Amsterdam, Chez Jean Covens et Corneille Mortier, Geographes, 1742 [BNF].
  50. Robert de Vaugondy, Carte du gouvernement de Normandie, Paris, 1758.
  51. Anonyme, Plan des Départemens de Caen Bayeux et Saint Lo suivant la Marche que les Ambulants Tiennnent lors de Leurs Recouvremens [de la taille], 1780 [BNF département Cartes et plans, GE AA-3798 (RES)].
  52. Bassin de la Sélune, [1], consulté le 30 août 2017.