Actions

« Rue du Pain-de-Seigle (Saint-Lô) » : différence entre les versions

De Wikimanche

(ajout modèle notes et references)
(Mef)
Ligne 1 : Ligne 1 :
[[Fichier:Saint-Lô - Rue du Pain-de-Seigle.JPG|thumb|Rue du Pain-de-Seigle vue depuis l'extrémité Ouest]]
[[Fichier:Saint-Lô - Rue du Pain-de-Seigle.JPG|thumb|Rue du Pain-de-Seigle vue depuis l'extrémité ouest]]


La '''rue du Pain-de-Seigle''' est une [[Liste des voies de Saint-Lô|voie]] de [[Saint-Lô]].
La '''rue du Pain-de-Seigle''' est une [[Liste des voies de Saint-Lô|voie]] de [[Saint-Lô]].
== Histoire==
Son origine n'est pas boulangère : elle tient son nom de Jean Pain-de-Seigle, propriétaire au XIV{{e}} siècle des immeubles situés dans ce secteur<ref name=dicocite>[[Philippe Bertin]] et Jean-Paul Viart, ''Dico cité illustré de Saint-Lô'', R&Co, 2013.</ref>.
Vers [[1508]], l'ancienne ''rue des Fourchemins'' se sépare en deux parties : l'une conserve le nom de Fourquemains avant de s'appeler  [[rue de Liège (Saint-Lô)|rue de Liège]], l'autre devient la rue Jehan-Pain-Seigle<ref name=dicocite/>.


== Situation ==
== Situation ==
Cette rue commence, à l'ouest, au carrefour qu'elle forme avec la [[Rue de la Harpe (Saint-Lô)|rue de la Harpe]], la [[Rue Corne-de-Cerf (Saint-Lô)|rue Corne-de-Cerf]] et la [[Rue Béchevel (Saint-Lô)|rue Béchevel]]. Elle se termine, à l'est, au carrefour qu'elle forme avec la [[Rue Michel-Brodon (Saint-Lô)|rue Michel-Brodon]] et la [[Rue Jules-Guilbert (Saint-Lô)|rue Jules-Guilbert]].
Cette rue commence, à l'ouest, au carrefour qu'elle forme avec la [[Rue de la Harpe (Saint-Lô)|rue de la Harpe]], la [[Rue Corne-de-Cerf (Saint-Lô)|rue Corne-de-Cerf]] et la [[Rue Béchevel (Saint-Lô)|rue Béchevel]]. Elle se termine, à l'est, au carrefour qu'elle forme avec la [[Rue Michel-Brodon (Saint-Lô)|rue Michel-Brodon]] et la [[Rue Jules-Guilbert (Saint-Lô)|rue Jules-Guilbert]].


{{Localisation rue|zoom=16|type=|center=49.112294, -1.092660
{{Localisation rue|zoom=17|center=49.112294, -1.092660
|lines=49.112206, -1.093744:
|lines=49.112206, -1.093744:
49.112294, -1.092660:
49.112294, -1.092660:
Ligne 12 : Ligne 19 :
}}
}}


== Historique ==
Son origine n'est pas boulangère mais le nom de Jean Pain-de-Seigle, propriétaire au XIV{{e}} siècle des immeubles situés dans ce secteur<ref name=dicocite>Philippe Bertin et Jean-Paul Viart, ''Dico cité illustré de Saint-Lô'', R&Co, 2013.</ref>.
L'ancienne rue des Fourchemins se séparait vers [[1508]] en deux parties, l'une conservant le nom de Fourquemains puis prenant celui de [[rue de Liège (Saint-Lô)|rue de Liège]], l'autre devenant la rue Jehan-Pain-Seigle<ref name=dicocite/>.


== Bâtiments remarquables ==
== Bâtiments remarquables ==

Version du 26 janvier 2022 à 12:43

Rue du Pain-de-Seigle vue depuis l'extrémité ouest

La rue du Pain-de-Seigle est une voie de Saint-Lô.

Histoire

Son origine n'est pas boulangère : elle tient son nom de Jean Pain-de-Seigle, propriétaire au XIVe siècle des immeubles situés dans ce secteur[1].

Vers 1508, l'ancienne rue des Fourchemins se sépare en deux parties : l'une conserve le nom de Fourquemains avant de s'appeler rue de Liège, l'autre devient la rue Jehan-Pain-Seigle[1].


Situation

Cette rue commence, à l'ouest, au carrefour qu'elle forme avec la rue de la Harpe, la rue Corne-de-Cerf et la rue Béchevel. Elle se termine, à l'est, au carrefour qu'elle forme avec la rue Michel-Brodon et la rue Jules-Guilbert.

Chargement de la carte...



Bâtiments remarquables

  • Bâtiments d'habitation à un étage (Jacques Traverse, 1954) : maisons accolées, évoquant celles de Le Corbusier et les cités jardins de l'entre-deux guerres, avec auvents en béton armé, fenêtres-bandeaux, toitures à pente unique presque plate et des éléments de bardage en tôle ondulée d'aluminium, porte d'entrée en bois ajouré, pavés de verre coulés dans la façade, escaliers de béton le long des façades[2].

Notes et références

  1. 1,0 et 1,1 Philippe Bertin et Jean-Paul Viart, Dico cité illustré de Saint-Lô, R&Co, 2013.
  2. Inventaire du patrimoine de la Reconstruction dans la Manche, Conseil général de la Manche, Conservation des antiquités et objets d’art, 2011.