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Cette rue commence, à l'ouest, [[Rue de la Laitière-normande (Saint-Lô)|rue de la Laitière-normande]] et se termine, à l'est, [[Place du Major-Howie (Saint-Lô)|place du Major-Howie]]. Elle est piétonne dans sa partie ouest.
 
Elle croise la [[Rue du Docteur-Leturc (Saint-Lô)|rue du Docteur-Leturc]], reçoit la [[Rue du Mouton (Saint-Lô)|rue du Mouton]], la [[Rue de la Barque (Saint-Lô)|rue de la Barque]], la [[Rue Le Verrier (Saint-Lô)|rue Le Verrier]] et longe la [[Place Sainte-Croix (Saint-Lô)|place Sainte-Croix]].


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Version du 26 janvier 2022 à 10:48

Rue du Neufbourg
En juillet 1944.
Vue ancienne

La rue du Neufbourg est une voie de Saint-Lô.

Histoire

Depuis la porte du Neufbourg, cette rue historique de Saint-Lô franchissait le « domaine de l'Évêque » et formait une rue large (jusqu'à seize mètres) presque droite jusqu'à la Croix au Pellu formée avec les chemins de Bayeux et de Caen. Peuplée de bourgeois et d'artisans, elle était moins industrielle que les autres faubourgs saint-lois. Elle recevait une venelle venant des Champs-Saint-Thomas ainsi que « la voie tendant aux venelles », la rue des Cours (1594), la rue de la Croix-au-Capel, la venelle à Langlois, la rue de la Barque (1435), appelée au XVIIe siècle « la venelle tendant aux Courtilz » (1602), puis après venelle Morin et venelle Vialatte porte du Neufbourg[1].

Pavée vers 1770[1], reconstruite en 1945, réaménagée en rue piétonne en 1988 (inauguration le 22 mai) par Jean Poupard.

La rue du Neufbourg, nommée rue du Maréchal-Foch en 1919 sans que les habitants n'adoptent ce nom[1], reprend son appellation initiale lors de la Reconstruction.

Situation

Cette rue commence, à l'ouest, rue de la Laitière-normande et se termine, à l'est, place du Major-Howie. Elle est piétonne dans sa partie ouest.

Elle croise la rue du Docteur-Leturc, reçoit la rue du Mouton, la rue de la Barque, la rue Le Verrier et longe la place Sainte-Croix.

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Monument et bâtiments remarquables

La Licorne.

Commerces et autres activités

  • N° 1 : Hôtel de Normandie [2].
  • N° 2 : Crédit du Nord (banque) [3]
  • N° 7 : Magasin photo de Charles Drucbert, puis Jacques Guézou
  • N° 11 : Bigot (pharmacie) [4]
  • N° 12 : Banque populaire de l'Ouest (banque) [3]
  • N° 17 : Société d'électricité du Cotentin [5]
  • N° 19 et 25 : Ch. Leclaire (son, électroménager) [6]
  • N° 25 : Le Choix de la Reine (salon de thé) [7]
  • N° 29 : Boucherie Amilcar (boucherie) [3]
  • N° 33 : Clément (tailleur-chemisier) [8]
  • N° 34 : Boulangerie Vaultier (boulangerie) [9]
  • N° 41 : Moulin à café (épicerie fine) [9]
  • N° 50 : Cocci Market [10]
  • N° 52 : Eurl Gillette (alimentation) [3] ; Cocci Market [10]
  • N° 54 : Le Trois zéro (café) [3]
  • N° 58 : Boucherie Centrale (boucherie) [3]
  • N° 59 : Le Central (café) [3] (brasserie) [11]
  • N° 61 : Chez Rebel Rebel (vêtements) [12]
  • N° 63 : Saint-Lô Saveurs (épicerie fine) [9]
  • N° 69 : Boulangerie Morin (boulangerie) [9]
  • N° 70 : Assurances mutuelles agricoles [6]
  • N° 77 : Au Cochon d'argent (traiteur) [9]
  • N° 84 : Jean-Pierre Fogel et Anne-Fleur Savary (audioprothésistes) [13]
  • N° 85 : Bar des Amis (bar) [3]

Notes et références

  1. 1,0 1,1 et 1,2 Stéphane Laîné, Au coin des rues de Saint-Lô - Essai d'odonymie saint-loise, Presses universitaires de Caen, 2016.
  2. Plan de Saint-Lô en 1901 (lire en ligne)
  3. 3,0 3,1 3,2 3,3 3,4 3,5 3,6 et 3,7 Portail des commerces de Basse-Normandie, site Internet, 2000 (lire en ligne).
  4. Journal de Valognes, 6 octobre 1901.
  5. L'Union de Valognes, 15 janvier 1938.
  6. 6,0 et 6,1 L'Année de la Manche, almanach 1980.
  7. Côté Manche, n° 307, 21-27 mars 2018.
  8. Ouest-France, 12 octobre 1961.
  9. 9,0 9,1 9,2 9,3 et 9,4 L'Express, site Internet, 11 janvier 2007 (lire en ligne).
  10. 10,0 et 10,1 pagesjaunes.fr, consultées le 4 mai 2015.
  11. Côté Manche, n° 307, 21-27 mars 2018.
  12. Côté Manche, site internet, 21 octobre 2020.
  13. Côté Manche, n° 185, 17 juin 2015.

Lien interne