« Rue Hélain (Cherbourg) » : différence entre les versions
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Elle tire son nom d'un ancien propriétaire-riverain, adjoint au maire de Cherbourg, à l'origine de l'ouverture de la rue <ref>[[Raymond Lefèvre]], ''Histoire anecdotique de Cherbourg à l'intention de nos écoliers'', éd. Cherbourg-Éclair, rééditée en 1973 par l'imprimerie La Dépêche, p. 51. </ref>. Elle figure déjà sur | Elle tire son nom d'un ancien propriétaire-riverain, adjoint au maire de Cherbourg, à l'origine de l'ouverture de la rue <ref>[[Raymond Lefèvre]], ''Histoire anecdotique de Cherbourg à l'intention de nos écoliers'', éd. Cherbourg-Éclair, rééditée en 1973 par l'imprimerie La Dépêche, p. 51.</ref>. Elle figure déjà sur un plan de Cherbourg daté de 1842 <ref>[[:Fichier:Plan de Cherbourg, 1842.jpg|''Plan de la ville de Cherbourg'']], éd. Lecouflet, Cherbourg, 1842 [BnF, cote GED-5820].</ref>. | ||
Au XIX{{e}} siècle, une usine à gaz est construite côté pair pour fabriquer le gaz d'éclairage et le stocker dans deux gazomètres ; elle est démolie dans les années 1950 <ref>[[Plan-relief de Cherbourg]].</ref>. | Au XIX{{e}} siècle, une usine à gaz est construite côté pair pour fabriquer le gaz d'éclairage et le stocker dans deux gazomètres ; elle est démolie dans les années 1950 <ref>[[Plan-relief de Cherbourg]].</ref>. | ||
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Version du 19 février 2020 à 20:27
La rue Hélain est une ancienne voie de Cherbourg.
Elle tire son nom d'un ancien propriétaire-riverain, adjoint au maire de Cherbourg, à l'origine de l'ouverture de la rue [1]. Elle figure déjà sur un plan de Cherbourg daté de 1842 [2].
Au XIXe siècle, une usine à gaz est construite côté pair pour fabriquer le gaz d'éclairage et le stocker dans deux gazomètres ; elle est démolie dans les années 1950 [3].
L'ancienne brasserie Le Cerf est aussi située côté pair, dans les anciens chantiers de bois de sciage ; elle a également disparu.
Dans les années 1970, après démolition des bâtiments et habitations du côté pair, elle est élargie et renommée boulevard Mendès-France.
Situation
Elle commence, à l'ouest, à son intersection avec la rue Émile-Zola et se termine, à l'est, à son débouché sur la place Jean-Jaurès, avec en prolongement l'avenue Jean-François-Millet.
Bâtiments remarquables
- École primaire catholique de garçons [4].
- Vues anciennes
-
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Commerces et activités diverses
- N° 5 : Société normande d'alimentation [5]
- N° 70 : Croix-Rouge française [4]
- N° 72 : Simon Frères [6]
- N° 76 bis : Électricité de France (EDF) et Gaz de France (GDF) [4]
- N° 80 : Union commerciale cherbourgeoise (UCC) [7]
- N° 86 : Société commerciale d'affrètements et de commission
- N° 86-99 : C.-Th. Quoniam & G. Foubert (charbons) [8]
- N° 87 : Consulat du Portugal (Léon Menut) [4]. Cabinet et domicile d'un médecin de 1957 à 1975
- N° 91 : Grossiste en matériel électrique
- N° 99 : Société commerciale d'affrètements et de commission ; Sanson-Fromage et Cie (chauffage) [9]. Dans les années 1950, des livraisons de sacs de charbon par véhicule hippomobile sont régulières depuis le dépôt de la rue Hélain vers le magasin de la rue de l'Ancien-Hôtel-Dieu.
- N° 116 : Brasserie Le Cerf [10]
- N° 123 : Brasserie Le Cerf [11]
- À l'angle de la rue de Sébastopol : Établissements R. Sottile, ou SCMC (Société cherbourgeoise de matériaux de construction) (en 1918)
Notes et références
- ↑ Raymond Lefèvre, Histoire anecdotique de Cherbourg à l'intention de nos écoliers, éd. Cherbourg-Éclair, rééditée en 1973 par l'imprimerie La Dépêche, p. 51.
- ↑ Plan de la ville de Cherbourg, éd. Lecouflet, Cherbourg, 1842 [BnF, cote GED-5820].
- ↑ Plan-relief de Cherbourg.
- ↑ 4,0 4,1 4,2 et 4,3 La Police cherbourgeoise vous renseigne, Imprimerie commerciale cherbourgeoise, sd [1953].
- ↑ Cherbourg-Éclair, 8 mars 1927.
- ↑ Cherbourg-Éclair, 4 janvier 1925.
- ↑ Cherbourg-Éclair, 16 juin 1921.
- ↑ Cherbourg-Éclair, 8 mars 1911.
- ↑ Cherbourg-Éclair, 2 janvier 1943.
- ↑ Cherbourg-Éclair, 2 janvier 1907.
- ↑ Cherbourg-Éclair, 8 mars 1911.
