« René Jean Perrée » : différence entre les versions
De Wikimanche
m (Typographie) |
(lien interne) |
||
Ligne 5 : | Ligne 5 : | ||
Il est seigneur de Grandepièce et du Hamel. | Il est seigneur de Grandepièce et du Hamel. | ||
De [[1737]] à [[1742]], il effectue comme enseigne quatre campagnes de pêche à la morue <ref>Anne Cahierre, ''Dictionnaire des capitaines corsaires granvillais'', Archives départementales de la Manche, 2009. </ref>. | De [[1737]] à [[1742]], il effectue comme enseigne quatre campagnes de [[Pêche morutière à Granville|pêche à la morue]]<ref>Anne Cahierre, ''Dictionnaire des capitaines corsaires granvillais'', Archives départementales de la Manche, 2009. </ref>. | ||
Le [[16 juillet]] [[1742]], il se marie à [[Granville]] avec Marguerite Hugon ([[1722]]-), née à Granville, qui lui donne quatre enfants : [[Pierre-Nicolas Perrée-Duhamel]] ([[1747]]-[[1816]]), Jean Baptiste ([[1754]]-), Marie et Perrette ([[1753]]-) <ref name=geneawiki/>. | Le [[16 juillet]] [[1742]], il se marie à [[Granville]] avec Marguerite Hugon ([[1722]]-), née à Granville, qui lui donne quatre enfants : [[Pierre-Nicolas Perrée-Duhamel]] ([[1747]]-[[1816]]), Jean Baptiste ([[1754]]-), Marie et Perrette ([[1753]]-) <ref name=geneawiki/>. |
Version du 3 novembre 2018 à 14:06
René Jean Perrée, né à Granville le 26 décembre 1722, mort à Bréville-sur-Mer le 14 juin 1779, est une personnalité économique et politique de la Manche.
Il est le fils de Nicolas Perrée, négociant, et Perrette Godefroy [1].
Il est seigneur de Grandepièce et du Hamel.
De 1737 à 1742, il effectue comme enseigne quatre campagnes de pêche à la morue[2].
Le 16 juillet 1742, il se marie à Granville avec Marguerite Hugon (1722-), née à Granville, qui lui donne quatre enfants : Pierre-Nicolas Perrée-Duhamel (1747-1816), Jean Baptiste (1754-), Marie et Perrette (1753-) [1].
De 1744 à 1748, il effectue des courses comme second capitaine sur Le Tourneur, L'Argonaute, L'Auguste et L'Aimable Grenot, avant de devenir capitaine en titre sur le Compte de Noailles [1]. Fait prisonnier, il est emmené en Angleterre [1].
De 1749 à 1755, il fait cinq campagnes de pêche comme capitaine sur le Saint-Nicolas, armé par sa famille [1].
En 1756, pendant la Guerre de Sept-Ans, il arme deux navires de courses avec ses frères [1]. Il devient ensuite armateur pour la pêche à Terre-Neuve [1].
Il est maire de Granville de 1762 à 1769 [1].
Il est prieur consul en 1769 [1].
Il est propriétaire du château du Vau Tertreux à Bréville [1].