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« Prison de Saint-Lô » : différence entre les versions

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== Liste des victimes du 6 au 7 juin 1944 ==
== Liste des victimes du 6 au 7 juin 1944 ==


* G. Ardouin, [[Lionel Audigier]], C. Aussant, C. Blondeau, J. Bourget, Léon Briens, [[Bernard Debroise]], H. Deffès, T. de Rouzé, J. Galerne, A. Gosnon, [[André Groult (1910)|André Groult]], Georges Hamel, J. Hinet, R. Laulier, J. Lebouteiller, [[Raymond Le Corre]], C. Lehmann, Léon Lemoine, [[Désiré Lerouxel]], Georges Lescot, [[René Leseigneur]], [[Jack Meslin]], É. Monouit, J. Moricet, P. Nicolle, L. Noiret, François Pennec, Ernest Ravilly, G. Rouelle, Robert Strubin, P. Thomine, T. Verger.
* G. Ardouin, [[Lionel Audigier]], C. Aussant, C. Blondeau, J. Bourget, Léon Briens, [[Bernard Debroise]], H. Deffès, T. de Rouzé, J. Galerne, A. Gosnon, [[André Groult (1910)|André Groult]], Georges Hamel, J. Hinet, R. Laulier, J. Lebouteiller, [[Raymond Le Corre]], C. Lehmann, Léon Lemoine, [[Désiré Lerouxel]], [[Georges Lescot]], [[René Leseigneur]], [[Jack Meslin]], É. Monouit, J. Moricet, P. Nicolle, L. Noiret, François Pennec, Ernest Ravilly, G. Rouelle, Robert Strubin, P. Thomine, T. Verger.


== Notes et références ==
== Notes et références ==

Version du 10 août 2019 à 10:53

Seule la porte de l'ancienne prison a résisté aux bombardements de juin 1944.

La prison de Saint-Lô est un ancien bâtiment de la Manche, situé à Saint-Lô.

Il n'en reste aujourd'hui que sa porte, place du Général-de-Gaulle.

Historique

La prison est construite en 1824[1], en plein centre ville.

À partir du 17 juin 1940, comme tous les établissements publics de la ville, elle est occupée par l'armée allemande[2].

Dans la nuit du 6 au 7 juin 1944, les bombardements alliés sur Saint-Lô détruisent l'édifice qui compte alors cent cinquante prisonniers, dont 76 résistants de la région qui y périssent pour la plupart[2].

La porte, vestige de la « capitale des ruines », est consacrée par le conseil municipal à la mémoire des victimes, des résistants et des déportés de la Seconde Guerre mondiale[1].

Une urne contenant des cendres de déportés est placée au pied de la porte[1].

La porte de la prison est devenue Monument départemental de la Résistance[1].

Liste des victimes du 6 au 7 juin 1944

Notes et références

  1. 1,0 1,1 1,2 et 1,3 « Porte de la prison », site officiel de la ville de Saint-Lô, consulté le 9 octobre 2017 (lire en ligne).
  2. 2,0 et 2,1 Élèves du Collège Pasteur, « La porte de la prison », Regard architectural, 2017 (lire en ligne).