« Place Napoléon (Cherbourg-Octeville) » : différence entre les versions
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* N° 36 : Garage Citroën <ref>''Les Guides Bleus'', Normandie, Librairie Hachette, 1972, p. 613. </ref> | * N° 36 : Garage Burnouf (concessionnaire Citroën) <ref name=LPVR/> ; Garage Citroën <ref>''Les Guides Bleus'', Normandie, Librairie Hachette, 1972, p. 613. </ref> | ||
== Notes et références == | == Notes et références == | ||
Version du 31 décembre 2013 à 10:45
La place Napoléon est une esplanade de Cherbourg-Octeville.
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Situation
Vision d'artiste, le monument en hommage au Duc de Berry n'ayant jamais été sur la grève, et les textes anciens ne parlant pas de maisons sur le bord du quai.
La place Napoléon est bordée, d'ouest en est, par l'avenue de Cessart, la place de la République et le quai de Caligny, et au nord, par la plage verte.
Une large avenue rectiligne, à deux fois deux voies, la traverse de part en part. Elle est le lieu des défilés militaires, notamment le 14 juillet.
Elle reçoit, au sud-ouest, la rue de l'Onglet et rue Auvray, et, au sud-est, la rue de la Marine.
Historique
Le terrain est gagné sur la mer par un remblaiement qui commence en 1836 [1]. La place prend son nom en 1840, à l'occasion du transbordement des cendres de Napoléon Ier en rade de Cherbourg. Elle s'appelait auparavant place des Remparts[2].
En 1858, elle se termine par le quai Napoléon, construit en granit et pavé sur une largeur de 10 mètres, en prolongement à la jetée de l'Ouest[3]. Elle est prolongée à l'ouest en 1883, « jusqu'aux terrains militaires de l'Onglet » par la destruction des maisons qui se trouvent là [1].
La statue de Napoléon Ier, réalisée par Armand Le Véel, en marque le centre. Elle est inaugurée le 8 août 1858 par Napoléon III.
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La place Napoléon.
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La place après la disparition de la tour de l'Église.
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Entourée d'une grille.
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Exercice militaire.
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Vue ancienne de la partie ouest de la place depuis la petite jetée.
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Place Napoléon vers 1970.
Bâtiments remarquables
.JPG)
- n°18 : hôtel Vautier, construit en 1885 accueille aujourd'hui le cercle naval[4] ;
- n°20 : hôtel Ducrest de Villeneuve, datant du Second Empire, abrite le Cercle naval[4] ;
- n°22 : hôtel Mabon de Beaulieu, datant du Second Empire[4] ;
- n°24 : hôtel Aubusson de Cavarley[4], en pierre et brique, construit en 1862 par Dominique Geufroy ;
- n°26 : hôtel Boislambert, construit en pierre et brique, en 1862 par Dominique Geufroy[4] ;
- n°28 : hôtel Geufroy[4]. Façade inspirée du style Louis XII. Réalisé par Dominique Geufroy en 1862. Il s'agit d'une des premiers bâtiments civils mêlant pierre et brique à Cherbourg.
- n°30 : hôtel de Traynel[4] ;
- n°34 : hôtel Lefebvre de la Grimonnière, du Second Empire[4].
Commerces et activités diverses
- Maison du bâtiment
- Météorologie nationale [5]
- N° 36 : Garage Burnouf (concessionnaire Citroën) [5] ; Garage Citroën [6]
Notes et références
- ↑ 1,0 et 1,1 Bernard Launey, Cherbourg 1900-1975, imprimerie La Dépêche, Cherbourg, 1976, p. 56-57.
- ↑ Raymond Lefèvre, Histoire anecdotique de Cherbourg à l'intention de nos écoliers. Cherbourg : Cherbourg-Éclair, 1941, rééditée en 1973.
- ↑ Le Voyageur à Cherbourg en 1858. Cherbourg : Bedelfontaine & Syffert, 1858. p 16.
- ↑ 4,0 4,1 4,2 4,3 4,4 4,5 4,6 et 4,7 Bruno Centorame, « Visite de Cherbourg » Annuaire des cinq départements de la Normandie, 2008
- ↑ 5,0 et 5,1 La Police cherbourgeoise vous renseigne, Imprimerie commerciale cherbourgeoise, sd [1953].
- ↑ Les Guides Bleus, Normandie, Librairie Hachette, 1972, p. 613.