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Pierre Viger quitte Compiègne-Royallieu (Oise) le [[22 mars]] [[1944]] à destination de Mathausen (Autriche) à bord d'un convoi de 1 218 hommes.
Pierre Viger quitte Compiègne-Royallieu (Oise) le [[22 mars]] [[1944]] à destination de Mathausen (Autriche) à bord d'un convoi de 1 218 hommes.


À son arrivée au camp, il se voit attribué le numéro matricule 60379. Pierre Viger est affecté au kommando Melk qui travaille au projet Quartz <ref> Construction d'une usine souterraine de roulements à billes pour la firme Steyr, Daimler et Puch.</ref>. Si l'usine est pratiquement achevée, elle ne produit jamais un seul roulement à billes.  
À son arrivée au camp, il se voit attribuer le numéro matricule 60379. Pierre Viger est affecté au kommando Melk qui travaille au projet Quartz <ref> Construction d'une usine souterraine de roulements à billes pour la firme Steyr, Daimler et Puch.</ref>. Si l'usine est pratiquement achevée, elle ne produit jamais un seul roulement à billes.  


Le [[15 avril]] 1944, le kommando est évacué Mauthausen et Ebensee, lieu dans lequel Pierre Viger recouvre la liberté le [[6 mai]] suivant.
Le [[15 avril]] 1944, le kommando est évacué Mauthausen et Ebensee, lieu dans lequel Pierre Viger recouvre la liberté le [[6 mai]] suivant.

Version du 8 août 2020 à 21:56

Pierre Viger, né à Cherbourg le 10 octobre 1915, est un déporté de la Manche.

Pierre Viger quitte Compiègne-Royallieu (Oise) le 22 mars 1944 à destination de Mathausen (Autriche) à bord d'un convoi de 1 218 hommes.

À son arrivée au camp, il se voit attribuer le numéro matricule 60379. Pierre Viger est affecté au kommando Melk qui travaille au projet Quartz [1]. Si l'usine est pratiquement achevée, elle ne produit jamais un seul roulement à billes.

Le 15 avril 1944, le kommando est évacué Mauthausen et Ebensee, lieu dans lequel Pierre Viger recouvre la liberté le 6 mai suivant.

Notes et références

  1. Construction d'une usine souterraine de roulements à billes pour la firme Steyr, Daimler et Puch.

Source

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