Actions

« Nez de Jobourg » : différence entre les versions

De Wikimanche

mAucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
Ligne 8 : Ligne 8 :
[[Image:Nez de Jobourg.JPG|thumb|right|250px|Le Nez de Jobourg]]
[[Image:Nez de Jobourg.JPG|thumb|right|250px|Le Nez de Jobourg]]


Il abrite quatre grottes, visibles à marée basse : la Grotte du lion, la Grotte de la petite église, la Grotte de la grande église, et le Trou aux fées <ref>Claude Pithois, ''La Hague, terre ignorée...'', Librairie G. Gautier, 1961. </ref>, réputées avoir longtemps servi de « caches » (cachettes) aux [[Contrebande|contrebandiers]], nombreux jadis dans cette partie du [[Cotentin]].
Il abrite [[Grottes de Jobourg|quatre grottes]], visibles à marée basse : la Grotte du lion, la Grotte de la petite église, la Grotte de la grande église, et le Trou aux fées <ref>Claude Pithois, ''La Hague, terre ignorée...'', Librairie G. Gautier, 1961. </ref>, réputées avoir longtemps servi de « caches » (cachettes) aux [[Contrebande|contrebandiers]], nombreux jadis dans cette partie du [[Cotentin]].


La Grotte de la grande église est surnommée ainsi parce qu'une légende assure « qu'elle se prolonge jusqu'à l'église de Jobourg » <ref>Hugues Derouard, « Grottes de Jobourg, un accès réservé », ''Détours en France'', n° 143, mai 2010. </ref>.
La Grotte de la grande église est surnommée ainsi parce qu'une légende assure « qu'elle se prolonge jusqu'à l'église de Jobourg » <ref>Hugues Derouard, « Grottes de Jobourg, un accès réservé », ''Détours en France'', n° 143, mai 2010. </ref>.

Version du 20 septembre 2014 à 22:55

Panorama depuis le nez de Jobourg.

Le Nez de Jobourg est un promontoire rocheux de la Manche, situé à la pointe de la Hague, sur la commune de Jobourg.

Il s'élève à 126 mètres d'altitude, ce qui en fait la falaise la plus haute d'Europe[1].

Il offre un panorama exceptionnel, du cap de la Hague jusqu'au cap de Flamanville, ainsi que sur les îles Anglo-Normandes, et notamment Aurigny toute proche.

Le Nez de Jobourg

Il abrite quatre grottes, visibles à marée basse : la Grotte du lion, la Grotte de la petite église, la Grotte de la grande église, et le Trou aux fées [2], réputées avoir longtemps servi de « caches » (cachettes) aux contrebandiers, nombreux jadis dans cette partie du Cotentin.

La Grotte de la grande église est surnommée ainsi parce qu'une légende assure « qu'elle se prolonge jusqu'à l'église de Jobourg » [3].

Un courant marin puissant, le raz Blanchard, passe au large.

Notes et références

  1. a. i., Cherbourg et ses environs, la Hague, le Val de Saire, Michel Lemonnier éditeur, Saint-Germain-en-Laye, 1964 ; Michel de La Torre, 50. Manche - L'art et la nature dans ses 599 communes, éd. Nathan, 1985.
  2. Claude Pithois, La Hague, terre ignorée..., Librairie G. Gautier, 1961.
  3. Hugues Derouard, « Grottes de Jobourg, un accès réservé », Détours en France, n° 143, mai 2010.

Articles connexes

49°40′18.6″N 1°56′24.4″W49.671833, -1.940111