Actions

« Nathalie Bonnemains » : différence entre les versions

De Wikimanche

Aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
Ligne 5 : Ligne 5 :
Dans les années 1980, elle part jouer en Italie, à la Juventus de Turin d'abord, puis à Milan <ref name=FBC1/>. Comme elle excelle à tirer dans les coups francs, des journalistes la surnomment « La Platinette » ou « La Platini en jupons », en référence à Michel Platini <ref>''L'Équipe Magazine'', n° 310, 24 janvier 1987. </ref>.
Dans les années 1980, elle part jouer en Italie, à la Juventus de Turin d'abord, puis à Milan <ref name=FBC1/>. Comme elle excelle à tirer dans les coups francs, des journalistes la surnomment « La Platinette » ou « La Platini en jupons », en référence à Michel Platini <ref>''L'Équipe Magazine'', n° 310, 24 janvier 1987. </ref>.


En [[1997]] elle est la porte-parole du collectif des mères en colère <ref>''La santé publique atomisée'', Jen-François Viel, Éditions La Découverte, 1998, pages 159 et 160.</ref>.
En [[1997]] elle est la porte-parole du collectif des mères en colère <ref>''La santé publique atomisée'', Jen-François Viel, Éditions La Découverte, 1998, pages 159 et 160.</ref>. Du [[9 octobre]] au [[14 octobre]] [[2000]], avec ce collectif, elle accueille, en lien avec la Commission Spéciale et Permanente d'Information près l'établissement de la Hague, des scientifiques qui procèdent à des prélèvements dans le Nord [[Cotentin]] <ref>[https://inis.iaea.org/collection/NCLCollectionStore/_Public/38/074/38074293.pdf]</ref>.


En [[2019]], elle commente pour [[France Bleu Cotentin]] la coupe du monde de football féminin qui se dispute en France <ref name=FBC1/>.
En [[2019]], elle commente pour [[France Bleu Cotentin]] la coupe du monde de football féminin qui se dispute en France <ref name=FBC1/>.

Version du 25 octobre 2020 à 15:05

Nathalie Bonnemains est une personnalité sportive de la Manche, footballeuse de profession.

Passionnée très jeune par le football, elle signe à l'UC Bricquebec [1].

Dans les années 1980, elle part jouer en Italie, à la Juventus de Turin d'abord, puis à Milan [1]. Comme elle excelle à tirer dans les coups francs, des journalistes la surnomment « La Platinette » ou « La Platini en jupons », en référence à Michel Platini [2].

En 1997 elle est la porte-parole du collectif des mères en colère [3]. Du 9 octobre au 14 octobre 2000, avec ce collectif, elle accueille, en lien avec la Commission Spéciale et Permanente d'Information près l'établissement de la Hague, des scientifiques qui procèdent à des prélèvements dans le Nord Cotentin [4].

En 2019, elle commente pour France Bleu Cotentin la coupe du monde de football féminin qui se dispute en France [1].

Elle est la fille de Jacky Bonnemains.

Notes et références

  1. 1,0 1,1 et 1,2 Anthony Raimbault, « Trois choses à savoir sur Nathalie Bonnemains », France Bleu Cotentin, site internet, 4 juin 2019.
  2. L'Équipe Magazine, n° 310, 24 janvier 1987.
  3. La santé publique atomisée, Jen-François Viel, Éditions La Découverte, 1998, pages 159 et 160.
  4. [1]

Article connexe