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À son arrivée au camp de Ravensbrück, Marcelle Allix se voit attribuer le matricule 27035 | À son arrivée au camp de Ravensbrück, Marcelle Allix se voit attribuer le matricule 27035. Elle intègre le kommando implanté à Leipzig en Saxe puis le kommando Schlieben où les détenues participent à la fabrication d'armes anti-chars pour la firme Hasag . Ces deux kommandos dépendent du camp de concentration de Buchenwald. | ||
Marcelle Allix recouvre la liberté le [[20 avril]] [[1945]]. | Marcelle Allix recouvre la liberté le [[20 avril]] [[1945]]. | ||
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Version du 2 octobre 2017 à 18:36
Marcelle Allix, née à Cherbourg le 11 avril 1921, est une déportée de la Manche.
Marcelle Allix est déportée à bord d'un train qui quitte Compiègne-Royallieu (Oise) le 31 janvier 1944 à destination du camp de concentration de Ravensbrück (Allemagne). Dans ce convoi, se trouvent 959 femmes dont les Manchoises Auvray, Becachel, Bertot, Billard, Briard, Chambertault, Chanteloup, Corbin, Courbaron, Crespin, Dezit, d'Orange/Lecoutey, Favre, Gelis, Gohel, Grall, Harivel, Lefrançois, Martin, Sorel et Tirel
À son arrivée au camp de Ravensbrück, Marcelle Allix se voit attribuer le matricule 27035. Elle intègre le kommando implanté à Leipzig en Saxe puis le kommando Schlieben où les détenues participent à la fabrication d'armes anti-chars pour la firme Hasag . Ces deux kommandos dépendent du camp de concentration de Buchenwald.
Marcelle Allix recouvre la liberté le 20 avril 1945.