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Marcelle Allix est déportée à bord d'un train qui quitte Compiègne-Royallieu (Oise) le [[31 janvier]] [[1944]] à destination du camp de concentration de Ravensbrück (Allemagne). Dans ce convoi, se trouvent 959 femmes dont les Manchoises [[Madeleine Auvray|Auvray]], [[Madeleine Becachel|Becachel]], [[Marie Bertot|Bertot]], [[Georgette Billard|Billard]], [[Marie-Jeanne Briard|Briard]], [[Renée Chambertault|Chambertault]], [[Albertine Chanteloup|Chanteloup]], [[Yvonne Corbin|Corbin]], [[Marie Courbaron|Courbaron]], [[Marie Crespin|Crespin]], [[Marie Dezit|Dezit]], [[Marie d'Orange/Lecoutey|d'Orange/Lecoutey]], [[Suzanne Favre|Favre]], [[Marguerite Gelis|Gelis]], [[Madeleine Gohel|Gohel]], [[Lucienne Grall|Grall]], [[Germaine Harivel|Harivel]], [[Louise Lefrançois|Lefrançois]], [[Berthe Martin|Martin]], [[Germaine Sorel|Sorel]] et [[Simone Tirel|Tirel]]
Marcelle Allix est déportée à bord d'un train qui quitte Compiègne-Royallieu (Oise) le [[31 janvier]] [[1944]] à destination du camp de concentration de Ravensbrück (Allemagne). Dans ce convoi, se trouvent 959 femmes dont les Manchoises [[Madeleine Auvray|Auvray]], [[Madeleine Becachel|Becachel]], [[Marie Bertot|Bertot]], [[Georgette Billard|Billard]], [[Marie-Jeanne Briard|Briard]], [[Renée Chambertault|Chambertault]], [[Albertine Chanteloup|Chanteloup]], [[Yvonne Corbin|Corbin]], [[Marie Courbaron|Courbaron]], [[Marie Crespin|Crespin]], [[Marie Dezit|Dezit]], [[Marie d'Orange/Lecoutey|d'Orange/Lecoutey]], [[Suzanne Favre|Favre]], [[Marguerite Gelis|Gelis]], [[Madeleine Gohel|Gohel]], [[Lucienne Grall|Grall]], [[Germaine Harivel|Harivel]], [[Louise Lefrançois|Lefrançois]], [[Berthe Martin|Martin]], [[Germaine Sorel|Sorel]] et [[Simone Tirel|Tirel]]


À son arrivée au camp de Ravensbrück, Marcelle Allix se voit attribuer le matricule 27035 <ref> Ce matricule sera tatoué sur son avant-bras gauche. </ref>. Elle intègre le kommando implanté à Leipzig en Saxe puis le kommando Schlieben où les détenues participent à la fabrication d'armes anti-chars pour la firme Hasag . Ces deux kommandos dépendent du camp de concentration de Buchenwald.
À son arrivée au camp de Ravensbrück, Marcelle Allix se voit attribuer le matricule 27035. Elle intègre le kommando implanté à Leipzig en Saxe puis le kommando Schlieben où les détenues participent à la fabrication d'armes anti-chars pour la firme Hasag . Ces deux kommandos dépendent du camp de concentration de Buchenwald.


Marcelle Allix recouvre la liberté le [[20 avril]] [[1945]].
Marcelle Allix recouvre la liberté le [[20 avril]] [[1945]].
==Notes et références==
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==Lien interne==
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Version du 2 octobre 2017 à 18:36

Marcelle Allix, née à Cherbourg le 11 avril 1921, est une déportée de la Manche.

Marcelle Allix est déportée à bord d'un train qui quitte Compiègne-Royallieu (Oise) le 31 janvier 1944 à destination du camp de concentration de Ravensbrück (Allemagne). Dans ce convoi, se trouvent 959 femmes dont les Manchoises Auvray, Becachel, Bertot, Billard, Briard, Chambertault, Chanteloup, Corbin, Courbaron, Crespin, Dezit, d'Orange/Lecoutey, Favre, Gelis, Gohel, Grall, Harivel, Lefrançois, Martin, Sorel et Tirel

À son arrivée au camp de Ravensbrück, Marcelle Allix se voit attribuer le matricule 27035. Elle intègre le kommando implanté à Leipzig en Saxe puis le kommando Schlieben où les détenues participent à la fabrication d'armes anti-chars pour la firme Hasag . Ces deux kommandos dépendent du camp de concentration de Buchenwald.

Marcelle Allix recouvre la liberté le 20 avril 1945.

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