« Manoir d'Urville » : différence entre les versions
De Wikimanche
m (Lien interne) |
m (Typographie) |
||
| Ligne 5 : | Ligne 5 : | ||
''Il ne faut pas le confondre avec le manoir d'Urville situé à Urville (Calvados)''. | ''Il ne faut pas le confondre avec le manoir d'Urville situé à Urville (Calvados)''. | ||
==Histoire== | == Histoire == | ||
Il est construit au début du XVI{{e}} siècle en pierre de taille blanche <ref name=BM1>{{mérimée|PA50000006}} </ref>. Il occupe l'angle d'une cour fermée par d'importants bâtiments de communs <ref name=BM1/>. Sculptures et moulures entourent baies et lucarnes <ref name=BM1/>. Les communs datent de la même époque <ref name=BM1/>. | Il est construit au début du XVI{{e}} siècle en pierre de taille blanche <ref name=BM1>{{mérimée|PA50000006}} </ref>. Il occupe l'angle d'une cour fermée par d'importants bâtiments de communs <ref name=BM1/>. Sculptures et moulures entourent baies et lucarnes <ref name=BM1/>. Les communs datent de la même époque <ref name=BM1/>. | ||
Il est classé en partie comme monument historique le [[28 octobre]] [[1997]] <ref name=BM1/>. Sont classés : les façades et toitures du logis, y compris les arcades de l'ancienne galerie de circulation situées sur la façade postérieure de l'aile ouest, ainsi que l'escalier en vis, les portes et les cheminées anciennes, les baies et leurs coussièges ; les façades et toitures de l'ensemble des communs ; le colombier ; la double porte d'entrée <ref name=BM1/>. Sa cheminée est très remarquable <ref>Anonyme, « La cheminée du château d'Urville », ''La Normandie monumentale et pittoresque, édifices publics, églises, châteaux, manoirs, etc . | Il est classé en partie comme monument historique le [[28 octobre]] [[1997]] <ref name=BM1/>. Sont classés : les façades et toitures du logis, y compris les arcades de l'ancienne galerie de circulation situées sur la façade postérieure de l'aile ouest, ainsi que l'escalier en vis, les portes et les cheminées anciennes, les baies et leurs coussièges ; les façades et toitures de l'ensemble des communs ; le colombier ; la double porte d'entrée <ref name=BM1/>. Sa cheminée est très remarquable <ref>Anonyme, « La cheminée du château d'Urville », ''La Normandie monumentale et pittoresque, édifices publics, églises, châteaux, manoirs, etc., Manche'', 2{{e}} partie, éd. Lemasle & Cie, Le Havre, 1899, p. 348 [http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6480990w/f456.item ''(lire en ligne)''] </ref>. | ||
{{Notes et références}} | {{Notes et références}} | ||
==Lien interne== | == Lien interne == | ||
* [[:Catégorie:Manoir d'Urville (image)|Galerie d'images]] | * [[:Catégorie:Manoir d'Urville (image)|Galerie d'images]] | ||
[[Catégorie:Urville (commune)]] | [[Catégorie:Urville (commune)]] | ||
[[Catégorie:Château de la Manche]] | [[Catégorie:Château de la Manche]] | ||
Version du 27 avril 2019 à 10:38
Le manoir d'Urville est une demeure historique de la Manche, situé à Urville.
Il ne faut pas le confondre avec le manoir d'Urville situé à Urville (Calvados).
Histoire
Il est construit au début du XVIe siècle en pierre de taille blanche [1]. Il occupe l'angle d'une cour fermée par d'importants bâtiments de communs [1]. Sculptures et moulures entourent baies et lucarnes [1]. Les communs datent de la même époque [1].
Il est classé en partie comme monument historique le 28 octobre 1997 [1]. Sont classés : les façades et toitures du logis, y compris les arcades de l'ancienne galerie de circulation situées sur la façade postérieure de l'aile ouest, ainsi que l'escalier en vis, les portes et les cheminées anciennes, les baies et leurs coussièges ; les façades et toitures de l'ensemble des communs ; le colombier ; la double porte d'entrée [1]. Sa cheminée est très remarquable [2].
Notes et références
- ↑ 1,0 1,1 1,2 1,3 1,4 et 1,5 « Notice n°PA50000006 », base Mérimée (architecture), médiathèque de l'Architecture et du Patrimoine, ministère de la Culture.
- ↑ Anonyme, « La cheminée du château d'Urville », La Normandie monumentale et pittoresque, édifices publics, églises, châteaux, manoirs, etc., Manche, 2e partie, éd. Lemasle & Cie, Le Havre, 1899, p. 348 (lire en ligne)