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Il est président de la jeunesse catholique de la Manche.
Il est président de la jeunesse catholique de la Manche.


Louis Quenault de la Groudière est élève de l'école militaire de Saint Cyr, promotion « de Tananarive ». Il est lieutenant au 124{{e}} régiment d'infanterie de [[1897]] à [[1906]].
Louis Quenault de la Groudière est élève de l'école militaire de Saint Cyr, promotion « Tananarive » ([[1895]]). Il est lieutenant au 124{{e}} régiment d'infanterie de [[1897]] à [[1906]].


En août [[1914]], il est capitaine à l'état-major de la 3{{e}} brigade puis au [[2e régiment d'infanterie|2{{e}} régiment d'infanterie]]. Il est blessé le [[6 septembre]] [[1914]] puis gravement blessé à l'assaut des tranchées de Thélus le [[16 juin]] [[1915]]. Fait prisonnier, il meurt de ses blessures à l'hôpital allemand de Douai.
En août [[1914]], il est capitaine à l'état-major de la 3{{e}} brigade puis au [[2e régiment d'infanterie|2{{e}} régiment d'infanterie]]. Il est blessé le [[6 septembre]] [[1914]] puis gravement blessé à l'assaut des tranchées de Thélus le [[16 juin]] [[1915]]. Fait prisonnier, il meurt de ses blessures à l'hôpital allemand de Douai.

Version du 30 novembre 2021 à 18:47

Louis Marie Antoine Gaston Quenault de la Groudière, né à Dammerie-en-Puisaye (Loiret) le 11 octobre 1876 et mort à Douai (Nord) le 7 juillet 1915, est une personnalité politique et militaire de la Manche, propriétaire, « Mort pour la France ».

Biographie

Il est conseiller municipal du Dézert en 1908, puis maire de 1912 à 1915.

Il est le fils de Gabriel-Arsène Quenault de la Groudière et le frère de Bernard et Olivier Quenault de La Groudière‎‎.

Il est président de la jeunesse catholique de la Manche.

Louis Quenault de la Groudière est élève de l'école militaire de Saint Cyr, promotion « Tananarive » (1895). Il est lieutenant au 124e régiment d'infanterie de 1897 à 1906.

En août 1914, il est capitaine à l'état-major de la 3e brigade puis au 2e régiment d'infanterie. Il est blessé le 6 septembre 1914 puis gravement blessé à l'assaut des tranchées de Thélus le 16 juin 1915. Fait prisonnier, il meurt de ses blessures à l'hôpital allemand de Douai.

Distinctions [1]

  • Chevalier de la Légion d'honneur à titre posthume
  • Croix de guerre avec palme

Hommages [1]

  • Son nom est mentionné sur les monuments commémoratifs suivants :

Notes et références

  1. 1,0 et 1,1 Fiche individuelle sur Mémorial Gen Web