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Il fait ses études à Reims, puis s'installe à [[Granville]] comme médecin à l'hôpital, au plus tard en [[1781]] <ref name=RDM1>Françoise Lamotte, « Le personnel médical de l'actuel département de la Manche à la fin de l'Ancien Régime », ''Revue du département de la Manche'', tome 33, n° 121, janvier 1989, p. 21. </ref>.
Il fait ses études à Reims, puis s'installe à [[Granville]] comme médecin à l'hôpital, au plus tard en [[1781]] <ref name=RDM1>Françoise Lamotte, « Le personnel médical de l'actuel département de la Manche à la fin de l'Ancien Régime », ''Revue du département de la Manche'', tome 33, n° 121, janvier 1989, p. 21. </ref>.


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Il se marie le [[16 novembre]] [[1784]] à Granville avec Françoise Lepron de la Fossardière (° [[1761]]), qui lui donne un enfant : Louis Marie ([[1787]]-[[1862]]).


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Version du 5 août 2021 à 14:47

Louis-Melchior Follain, né à Granville le 6 janvier 1747 et mort dans la même commune le 12 septembre 1810, est une personnalité médicale de la Manche.

Il est le fils de Julien Follain (1703-1785, conseiller du Roy, et de Marie Gautier (1711-1794, tous deux de Granville.

Il fait ses études à Reims, puis s'installe à Granville comme médecin à l'hôpital, au plus tard en 1781 [1].

Il se marie le 16 novembre 1784 à Granville avec Françoise Lepron de la Fossardière (° 1761), qui lui donne un enfant : Louis Marie (1787-1862).

En 1788, il publie un article intitulé « Topographie de la ville et de l'hôpital de Granville » dans le Journal de médecine [1].

Il est correspondant de l'Académie d'Arras [1].

Il donne son avis en 1789 sur l'« Observation du marin » et en 1791 sur la petite vérole [1].

« Député pour les médecins à l'assemblée générale de la ville en 1789 », il est destitué de l'hôpital en germinal de l'an VI, « ses opinions politiques ne produisant pas une garantie suffisante de son attachement à la République » [1]. Il est réintégré en prairial de l'an VII [1].

Notes et références

  1. 1,0 1,1 1,2 1,3 1,4 et 1,5 Françoise Lamotte, « Le personnel médical de l'actuel département de la Manche à la fin de l'Ancien Régime », Revue du département de la Manche, tome 33, n° 121, janvier 1989, p. 21.

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