« Louis-Melchior Follain » : différence entre les versions
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'''Louis-Melchior Follain''', | '''Louis-Melchior Follain''', {{date naissance et décès|6|1|1747|12|9|1810|Granville}}, est une personnalité médicale de la [[Manche]]. | ||
Il fait ses études à Reims, puis s'installe à [[Granville]] comme médecin à l'hôpital, au plus tard en [[1781]] <ref name=RDM1>Françoise Lamotte, « Le personnel médical de l'actuel département de la Manche à la fin de l'Ancien Régime », ''Revue du département de la Manche'', tome 33, n° 121, janvier 1989, p. 21. </ref>. | Il fait ses études à Reims, puis s'installe à [[Granville]] comme médecin à l'hôpital, au plus tard en [[1781]] <ref name=RDM1>Françoise Lamotte, « Le personnel médical de l'actuel département de la Manche à la fin de l'Ancien Régime », ''Revue du département de la Manche'', tome 33, n° 121, janvier 1989, p. 21. </ref>. | ||
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Version du 18 janvier 2021 à 17:11
Louis-Melchior Follain, né à Granville le 6 janvier 1747 et mort dans la même commune le 12 septembre 1810, est une personnalité médicale de la Manche.
Il fait ses études à Reims, puis s'installe à Granville comme médecin à l'hôpital, au plus tard en 1781 [1].
Il publie un article intitulé « Topographie de la ville et de l'hôpital de Granville » dans le Journal de médecine en 1788 [1].
Il est correspondant de l'Académie d'Arras [1].
Il donne son avis en 1789 sur l'« Observation du marin » et en 1791 sur la petite vérole [1].
« Député pour les médecins à l'assemblée générale de la ville en 1789 », il est destitué de l'hôpital en germinal de l'an VI, « ses opinions politiques ne produisant pas une garantie suffisante de son attachement à la République » [1]. Il est réintégré en prairial de l'an VII [1].