Louis-Barthélémy Fréret
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Louis-Barthélémy Fréret, né à Cherbourg en 1755 et mort à Cherbourg le 31 mars 1831 [1], est un peintre de la Manche.
En 1785, la reine Marie-Antoinette le nomme son « peintre des fleurs » [2]. Dès lors, il signe ses tableaux « Fréret, peintre de la Reine » [2]. Elle le charge de dessiner les plans des jardins du Petit-Trianon à Versailles [2]. L’un de ses tableaux « Le Bouquet de fleurs » est exposé au Musée Thomas-Henry à Cherbourg.
Il vivait dans le quartier du Cauchin à Cherbourg, « dans un pavillon caché sous les arbres, au milieu des fleurs, qu'il cultivait avec passion et qui lui servaient de modèles » [2]. Le jardin de sa maison donnait « une idée, en petit, de celui de Versailles par la façon pittoresque dont il était tracé »[2].
Il est le fils du sculpteur et peintre Pierre Fréret (1714-1782) et frère du sculpteur François-Armand Fréret (1758-1816).
Notes et références
- ↑ AD50, NMD Cherbourg, 1831 (5 Mi 646) page 55/228 Acte de décès n° 164 [ http://www.archives-manche.fr/ark:/57115/a011288085768ZPvCmc/b38ee1469c (lire en ligne)].
- ↑ 2,0 2,1 2,2 2,3 et 2,4 P. Hubert, « L'évolution artistique à Cherbourg au XIXe siècle », in Cherbourg et le Cotentin, impr. Le Maout, 1905