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Version du 2 mai 2019 à 20:06
Liste des Justes parmi les nations
Vingt-cinq Manchois ont été faits « Justes parmi les nations » [1], pour avoir sauvé des Juifs pendant l'occupation nazie de la Seconde Guerre mondiale [2].
Le comité français pour Yad Vashem permet d'en recenser trente-deux en 2016.
- par ordre alpabétique des patronymes
- Henri et Madeleine Bitard, Avranches ;
- Angèle et Marcel Bodin, Saint-Hilaire-du-Harcouët ;
- Gérard et Louise Bouquey, Barenton ;
- Lucienne Chaumont, Saint-Hilaire-du-Harcouët / Parigny[3] ;
- Bernard et Guy Gérard, La Trinité ;
- Louis Gosselin, Cherbourg-Octeville ;
- Angélina et Ferdinand Huault, Carantilly ;
- Maxime Leluan, Cherbourg-Octeville ;
- Marthe et Pierre Lebrun, Notre-Dame-de-Cenilly ;
- Andrée et Maurice Lemarchands, Villedieu-les-Poêles ;
- Renée, Denise et Ernest Lepileur, Denise Lepileur Levallois, Saint-Lô ;
- Suzanne Lerouxel, Gratot ;
- André et Clémentine Mesnage, Gathemo[4]
- Angèle et François Parigny, Saint-Hilaire-du-Harcouët;[5]
- Marie-Louise Parry née Laisne, La Trinité ;
- Ferrucio et Suzanne Pedrelli, Gathemo;[6]
- Marie-Thérèse et Armand Piel, Saint-Hilaire-du-Harcouët ;
- Élise et Paul Thomas, Saint-Loup.
Pierre-Marie Gerlier, archevêque de Lyon, attaché à Saint-Lô où il a été élevé, a également reçu à titre posthume la médaille des Justes parmi les nations le 15 juillet 1980.
Roland et Jeanne Ricordeau, retirés à Omonville-la-Rogue, reçoivent ce titre le 18 septembre 2011 à titre posthume.
Communes représentées
Douze communes de la Manche sont concernées par ces actions : Barenton, Carantilly, Cherbourg-Octeville (2 actions),Gathemo (2), Gratot, La Trinité (2), Notre-Dame-de-Cenilly, Parigny, Saint-Hilaire-du-Harcouët (4), Saint-Lô, Saint-Loup et Villedieu-les-Poêles
Hommages
- Il existe à Cherbourg-Octeville, une place des Justes.
- Mémorial pour les juifs déportés et les Justes de la Manche, projeté en 2019.
Notes et références
- ↑ Il s'agit de la plus haute distinction attribuée par l'État d'Israël à des civils. En France, 3 769 personnes ont reçu ce titre jusqu'en 2013 (lire en ligne).
- ↑ Anonymes, Justes et Persécutés durant la période nazie dans les communes de France (lire en ligne)
- ↑ « Décorée pour avoir sauvé un enfant juif », lamanchelibre.fr, site internet, 13 septembre 2012 (lire en ligne).
- ↑ Comité français pour Yad Vashem, 13178[1], consulté le 20 juin 2016;
- ↑ Comité français pour Yad Vashem, 13051[2], consulté le 20 juin 2016.
- ↑ Comité français pour Yad Vashem, 13178A[3], consulté le 20 juin 2016;