« Jean-Pierre Le Chevalier » : différence entre les versions
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'''Jean-Pierre Le Chevallier''', né à [[Servon]] en [[1782]], mort à [[Vergoncey]] | '''Jean-Pierre Le Chevallier''', né à [[Servon]] en [[1782]], mort à [[Vergoncey]] le [[26 février]] [[1829]] <ref name=EC1>Acte de décès n° 9 - État civil de Vergoncey</ref>, est une personnalité médicale et scientifique de la [[Manche]]. | ||
Il naît au manoir de Servon <ref name=Osmond>[[Alphonse Osmond]], ''En flânant dans les rues d'une petite ville'', Impr. Oberthur, Rennes, 1948, p. 207-208. </ref>. Il est élève au [[Lycée Émile-Littré|collège d'Avranches]], puis à Caen (Calvados) et Paris <ref name=Osmond/>. | Il naît au manoir de Servon <ref name=Osmond>[[Alphonse Osmond]], ''En flânant dans les rues d'une petite ville'', Impr. Oberthur, Rennes, 1948, p. 207-208. </ref>. Il est élève au [[Lycée Émile-Littré|collège d'Avranches]], puis à Caen (Calvados) et Paris <ref name=Osmond/>. | ||
Version du 6 mars 2016 à 13:05
Jean-Pierre Le Chevallier, né à Servon en 1782, mort à Vergoncey le 26 février 1829 [1], est une personnalité médicale et scientifique de la Manche.
Il naît au manoir de Servon [2]. Il est élève au collège d'Avranches, puis à Caen (Calvados) et Paris [2].
Il est reçu médecin en 1798 et se fixe à Pontorson, puis part comme officier de santé dans l'armée [2].
Il administre l'École centrale d'Avancées à partir de 1800 [2]. Passionné depuis longtemps par la botanique, il se consacre au jardin des plantes [2]. Il y amène de nouvelles plantes, fait construire la première serre, reprend l'organisation du jardin et publie un catalogue recensant 2 357 espèces [2].
Il meurt sur se terres de Beaubuisson à Vergoncey, à l'âge de 47 ans.