Actions

« Jean-Louis Bourget » : différence entre les versions

De Wikimanche

(Hommage)
Ligne 3 : Ligne 3 :
Dénoncé pour des faits de résistance, il est arrêté à [[Valognes]] le [[1er mars]] 1944.
Dénoncé pour des faits de résistance, il est arrêté à [[Valognes]] le [[1er mars]] 1944.


Il est emprisonné à la [[prison de Saint-Lô]] où il trouve la mort lors des bombardements de Saint-Lô dans la nuit du 6 au 7 juin 1944.
Il est emprisonné à la [[prison de Saint-Lô]] où il est torturé. Il trouve la mort lors des bombardements de Saint-Lô dans la nuit du 6 au 7 juin 1944.


==Hommages==
==Hommages==
Ligne 12 : Ligne 12 :
* Plaque commémorative du bombardement du 6 juin 1944 à Saint-Lô
* Plaque commémorative du bombardement du 6 juin 1944 à Saint-Lô
* Monument aux morts cantonal aux victimes civiles de [[Valognes]]
* Monument aux morts cantonal aux victimes civiles de [[Valognes]]
Le [[11 novembre]] [[2015]], le maire de [[Valognes]] a une pensée particulière pour [[Jean-Louis Bourget]] et [[Tony de Rouzé]], les déclarant avoir été torturés avant de périr  écrasés dans leur cellule <ref> « Hommage à Jules et Émile Chausse » ''Ouest France'', 13 novembre 2015 [https://www.ouest-france.fr/normandie/valognes-50700/le-11-novembre-hommage-jules-et-emile-chausse-3842060 (lire en ligne)]</ref>.
{{Notes et références}}


==Articles connexes==
==Articles connexes==

Version du 16 mai 2021 à 10:09

Jean-Louis Victor Michel Bourget, le 10 décembre 1877 et mort à Saint-Lô le 6 juin 1944, est un résistant de la Manche, retraité de la Gendarmerie.

Dénoncé pour des faits de résistance, il est arrêté à Valognes le 1er mars 1944.

Il est emprisonné à la prison de Saint-Lô où il est torturé. Il trouve la mort lors des bombardements de Saint-Lô dans la nuit du 6 au 7 juin 1944.

Hommages

Son nom est inscrit sur :

Le 11 novembre 2015, le maire de Valognes a une pensée particulière pour Jean-Louis Bourget et Tony de Rouzé, les déclarant avoir été torturés avant de périr écrasés dans leur cellule [1].

Notes et références

  1. « Hommage à Jules et Émile Chausse » Ouest France, 13 novembre 2015 (lire en ligne)

Articles connexes

Lien externe