Actions

« Jean-Baptiste Caillard » : différence entre les versions

De Wikimanche

mAucun résumé des modifications
m (liens)
Ligne 4 : Ligne 4 :
Le Docteur Jean-Baptiste Caillard a été pour Carentan l’un de ses plus grands magistrats.
Le Docteur Jean-Baptiste Caillard a été pour Carentan l’un de ses plus grands magistrats.


Il fit ses études, aux cotés du futur monseigneur Grente, au collège d’Agneaux avant de faire médecine à Paris jusqu’en [[1898]]. Il s’installa d’abord à [[Marigny]] puis à Carentan à partir de [[1904]].
Il fit ses études, aux cotés du futur monseigneur [[Georges Grente|Grente]], au [[Institut Saint-Lô|collège d'Agneaux]] avant de faire médecine à Paris jusqu’en [[1898]]. Il s’installa d’abord à [[Marigny]] puis à Carentan à partir de [[1904]].


Il fut médecin militaire pendant la [[Première Guerre mondiale]] et, à son retour, président de l’ordre des médecins de la Manche.  
Il fut médecin militaire pendant la [[Première Guerre mondiale]] et, à son retour, président de l’ordre des médecins de la Manche.  
Ligne 19 : Ligne 19 :
   
   
{{DEFAULTSORT:Caillard, Jean-Baptiste}}
{{DEFAULTSORT:Caillard, Jean-Baptiste}}
[[Catégorie:Personnalité de la Manche]]
[[Catégorie:Maire de Coutances]]

Version du 16 février 2010 à 20:23

Jean-Baptiste Caillard, né le 18 juin 1872 à Le Mesnilbus et décédé à Carentan le 6 juin 1944, est une personnalité de la Manche.  

Tué, le 6 juin 1944, en se rendant à « sa » mairie

Le Docteur Jean-Baptiste Caillard a été pour Carentan l’un de ses plus grands magistrats.

Il fit ses études, aux cotés du futur monseigneur Grente, au collège d'Agneaux avant de faire médecine à Paris jusqu’en 1898. Il s’installa d’abord à Marigny puis à Carentan à partir de 1904.

Il fut médecin militaire pendant la Première Guerre mondiale et, à son retour, président de l’ordre des médecins de la Manche.

Conseiller municipal dès 1908, il fut constamment réélu, devenant maire en 1920. En 1925, la majorité municipale passé à gauche, mais en 1928, elle demande au Dr Caillard de reprendre l’écharpe municipale, signe incontestable de la grande considération dont il jouissait dans sa ville.

Sa vie s’arrêta le 6 juin, en début d’après midi, rue Saint-Côme, victime avec neuf de ses compatriotes d’un bombardement alors qu’il se rendait dans « sa » mairie, avec sa ponctualité habituelle.

Source

Dictionnaire des personnages remarquables de la Manche, tome 4, Jean-François Hamel, sous la direction de René Gautier, ISBN : 2-914 541 56 2

Plus d’infos

Éditions Eurocibles, Marigny