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Tout naturellement, il donne son soutien au coup d’état de Napoléon III qui en fait un conseiller d’Etat.<ref name=dico >Jean-François Hamel, sous la direction de René Gautier, ''Dictionnaire des personnages remarquables de la Manche'', tome 3, Jean-François Hamel, sous la direction de René Gautier, ISBN : 2-914 541 17 1</ref> | Tout naturellement, il donne son soutien au coup d’état de [[Napoléon III]] qui en fait un conseiller d’Etat.<ref name=dico >Jean-François Hamel, sous la direction de René Gautier, ''Dictionnaire des personnages remarquables de la Manche'', tome 3, Jean-François Hamel, sous la direction de René Gautier, ISBN : 2-914 541 17 1</ref> | ||
Il est conseiller général du [[canton de Juvigny-le-Tertre]] de [[1861]] à [[1870]]. | Il est conseiller général du [[canton de Juvigny-le-Tertre]] de [[1861]] à [[1870]]. |
Version du 18 février 2011 à 19:59
Jacques Joseph Bréhier, né à Saint-Hilaire-du-Harcouët le 30 novembre 1800, décédé le 1er juillet 1872, est un homme politique de la Manche.
Sous-préfet durant la Monarchie de Juillet, il refuse la sous-préfecture de Mortain en 1841 avant d'être nommé à Vire (Calvados) en 1842, puis à Ruffec (Charente) en 1846.
Précepteur des enfants du roi Jérome, frère de Napoléon Ier, il est élu représentant de la Manche à l'Assemblée législative le 13 mai 1849 (12e) avec l'appui du parti modéré et les bonapartistes. Il siège jusqu'au 2 décembre 1851, terme de ce premier et unique mandat.
Tout naturellement, il donne son soutien au coup d’état de Napoléon III qui en fait un conseiller d’Etat.[1]
Il est conseiller général du canton de Juvigny-le-Tertre de 1861 à 1870.
Il est le frère aîné de Louis Bréhier (1802-1861), conseiller général d'Isigny-le-Buat de 1852 à 1858, et de Hippolyte Bréhier (1813-1890), conseiller général de Saint-Hilaire-du-Harcouët de 1852 à 1883 [2].