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'''Jacques Joseph Bréhier''', né à [[Saint-Hilaire-du-Harcouët]] en [[1800]], décédé en [[1872]], est un homme politique de la [[Manche]].
'''Jacques Joseph Bréhier''', né à [[Saint-Hilaire-du-Harcouët]] en [[1800]], décédé en [[1872]], est un homme politique de la [[Manche]].


Il est élu représentant de la Manche à l'Assemblée législative le 13 mai [[1849]].
Sous-préfet durant la Monarchie de Juillet, il refuse la sous-préfecture de Mortain en [[1841]] avant d'être nommé à Vire (Calvados) en [[1842]] puis Ruffec (Charente) en [[1846]].
 
Précepteur de Louis-Napoléon Bonaparte, il est élu représentant de la Manche à l'Assemblée législative le 13 mai [[1849]] (12{{e}}) avec l'appui du parti modéré et les bonapartistes.


Il est conseiller général du [[canton de Juvigny-le-Tertre]] de [[1861]] à [[1870]].
Il est conseiller général du [[canton de Juvigny-le-Tertre]] de [[1861]] à [[1870]].
Il est sous-préfet de Ruffec (Charente) et de Vire (Calvados).


Il est conseiller d'État.
Il est conseiller d'État.

Version du 21 juillet 2009 à 19:22

Jacques Joseph Bréhier, né à Saint-Hilaire-du-Harcouët en 1800, décédé en 1872, est un homme politique de la Manche.

Sous-préfet durant la Monarchie de Juillet, il refuse la sous-préfecture de Mortain en 1841 avant d'être nommé à Vire (Calvados) en 1842 puis Ruffec (Charente) en 1846.

Précepteur de Louis-Napoléon Bonaparte, il est élu représentant de la Manche à l'Assemblée législative le 13 mai 1849 (12e) avec l'appui du parti modéré et les bonapartistes.

Il est conseiller général du canton de Juvigny-le-Tertre de 1861 à 1870.

Il est conseiller d'État.