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== Biographie ==
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Guy Letouzé est technicien à l'[[arsenal de Cherbourg]] quand il entre au conseil municipal de [[La Glacerie]]. Adjoint chargé des écoles et des travaux auprès de [[Léopold Bellamy]] depuis [[1971]], il lui succède en [[1977]] quand le premier magistrat sortant n'est pas réélu au conseil municipal. Il prend comme adjoint Daniel Pillet, Michel Le Brun, Louis Groult et Jean Fleury <ref name=LG>Philippe Durand, ''La Glacerie 1901-2001 : son premier siècle de vie locale'', Ville de La Glacerie, Paris, 2001.</ref>.
Guy Letouzé est technicien à l'[[arsenal de Cherbourg]] quand il entre au conseil municipal de [[La Glacerie]]. Adjoint chargé des écoles et des travaux auprès de [[Léopold Bellamy]] depuis [[1971]], il lui succède en [[1977]] quand le premier magistrat sortant n'est pas réélu au conseil municipal. Il prend comme adjoint Daniel Pillet, Michel Le Brun, Louis Groult et Jean Fleury <ref name=LG>Philippe Duval, ''La Glacerie 1901-2001 : son premier siècle de vie locale'', Ville de La Glacerie, Paris, 2001.</ref>.


À la tête d'une commune en mutation, il accompagne la croissance démographique par la construction d'équipements, soutenue par le financement des grands chantiers de l'[[usine de retraitement de la Hague]] et de la [[centrale nucléaire de Flamanville]] <ref name=LG/>.
À la tête d'une commune en mutation, il accompagne la croissance démographique par la construction d'équipements, soutenue par le financement des grands chantiers de l'[[usine de retraitement de la Hague]] et de la [[centrale nucléaire de Flamanville]] <ref name=LG/>.

Version du 17 novembre 2019 à 23:56

Guy Letouzé.

Guy Letouzé, né à Cherbourg le 18 mai 1936, est une personnalité politique de la Manche, maire de La Glacerie.

Biographie

Guy Letouzé est technicien à l'arsenal de Cherbourg quand il entre au conseil municipal de La Glacerie. Adjoint chargé des écoles et des travaux auprès de Léopold Bellamy depuis 1971, il lui succède en 1977 quand le premier magistrat sortant n'est pas réélu au conseil municipal. Il prend comme adjoint Daniel Pillet, Michel Le Brun, Louis Groult et Jean Fleury [1].

À la tête d'une commune en mutation, il accompagne la croissance démographique par la construction d'équipements, soutenue par le financement des grands chantiers de l'usine de retraitement de la Hague et de la centrale nucléaire de Flamanville [1].

La Glacerie ayant dépassé le seuil des 3 000 habitants, il est le premier maire glacérien élu au scrutin proportionnel de liste en 1983. Le nombre d'adjoints augmente : Michel Le Brun, Bernard Guillemard, Christian Lemarchand, Michel Rudy, Jeanne Quétier, Pierre Marion et Michel Rihouey. Il est réélu avec les mêmes adjoints le 12 mars 1989, et en 1995 avec Michel Le Brun, Christian Lemarchand, Denis Lesdos, Pierre Marion, Jeanne Quétier, Michel Rihouey et Alain Roulland [1].

Sous son mandat, La Glacerie devient un pôle commercial de l'agglomération cherbourgeoise et du Cotentin avec l'arrivée du centre commercial régional du Cotentin. Il dote La Glacerie d'un complexe sportif à la Saillanderie, d'un nouvel groupe scolaire Henri-Menut à la Mare-à-canards, d'une maison de retraite, La Chancelière, puis d'un espace culturel, la Maison des Arts, construite à partir de mai 1999 et inaugurée le 20 octobre 2000.

Vice-président de la Communauté urbaine de Cherbourg, il a successivement la délégation de la sécurité, de l'enseignement et de la signalisation [1].

Il ne se représente pas en 2001. Christian Lemarchand est élu à sa place.

Notes et références

  1. 1,0 1,1 1,2 et 1,3 Philippe Duval, La Glacerie 1901-2001 : son premier siècle de vie locale, Ville de La Glacerie, Paris, 2001.