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Gourfaleur

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Gourfaleur est une commune du département de la Manche.

Commune de Gourfaleur Coordonnées géographiques de la mairie Logo-Mairie.png
49° 4' 45.87" N, 1° 6' 50.52" W (OSM)
Arrondissement Saint-Lô
Chargement de la carte...
Canton Canisy
Intercommunalité Canton de Canisy
Gentilé Gourfaleurais(es)
Population (2011) 461 hab.
Superficie 8,45 km²
Densité 55 hab./km2
Altitude 12 m (mini) - 100 m (maxi)
Code postal 50750
N° INSEE 50213
Maire Claude Maisonneuve

L'église Notre-Dame.

L'église Notre-Dame.


Toponymie

Attestations anciennes

  • Corphalour 1056/1060 [1].
  • Corsu Falor s.d. (11e / 12e s.) [2].
  • Gourfalou 1190 [2].
  • Corfalor 1203 [3], 1210 [4].
  • Courfalor 1250 [2].
  • ecclesi[a] Beate Marie de Corfalor 1260 [5].
  • parrochia et villa de Gorfalor 1270/1271 [6].
  • Gorfalor ~1280 [2].
  • Courphal[or] 1332 [7].
  • ecclesia de Gorfalor ~1335 [8].
  • Gourfalour 1349 [2].
  • Gorphalour 1351/1352 [9].
  • Gourfaleur 1635 [10].
  • Gourfalleur 1612/1636 [11].
  • Genophalon [sic; lire Gourphalou] 1648 [12].
  • Gourfaleur 1677 [13], 1689 [14], 1694 [15].
  • Gourfaliur ~1700 [16].
  • Gourfaleur 1713 [17], 1716 [18], 1719 [19], 1735 [20], 1736 [21], 1758 [22], 1753/1785 [23], 1793 [24].
  • Gourfalleur 1801 [25].
  • Gourfaleur 1804 [26].
  • Gourfalleur 1828 [27].
  • Gourfaleur 1829 [28], 1830 [29], 1837 [30], 1854 [31], 1825/1866 [32], 1878 [33], 1880 [34], 1903 [35], 1954 [36], 1962 [37], 1972 [38], 1978, 1993 [39], 2007 [40].

Étymologie

Ce toponyme, ignoré d'Auguste Longnon [41], Auguste Vincent [42] et Marie-Thérèse Morlet [43], est jugé obscur par Albert Dauzat [44]. Seuls deux spécialistes en ont proposé un interprétation :

  • François de Beaurepaire [2] y a vu une formation gallo-romaine tardive ou médiévale précoce en °CORTE « domaine rural » suivi du nom du peuple barbare des Taïfales (Taifali), d'où la proto-forme gallo-romane °CORTE TAIFALORU (bas-latin °curte Taifalorum), « le domaine rural des Taïfales ». L'auteur envisage également, avec moins de conviction, d'y voir le nom du peuple germanique des Falchovarii. Cette hypothèse est reprise du bout des lèvres par René Lepelley, qui ne choisit pas entre les deux ethnonymes et dit seulement « un nom de peuple germanique » [45].
  • Ernest Nègre penche plutôt pour l'ancien français cort / court suivi d'un nom de personne roman Falourd (comprendre Falord au 11e siècle), soit « le domaine rural de Falourd » [46].

Ces deux hypothèses, de valeur inégale, appellent un grand nombre de commentaires.

  • L'hypothèse d'Ernest Nègre est contredite par toutes les formes anciennes (Corphalour, Corsu Falor, Gourfalou, Corfalor, Courfalor, etc., 11e-12e s.) : si Falord il y avait, alors on devrait avoir la trace du [-d] final, encore prononcé au milieu du 11e siècle. En effet, ce nom se rattache à l'ancien français falorder « tromper, duper » et à falorde « tromperie, bourde, parole vaine ». En outre, la fixation d'un sobriquet à cette époque dans ce type toponymique semble peu probable.
  • L'explication proposée par François de Beaurepaire est par contre beaucoup plus crédible. On connaît en effet l'existence, en France et en Belgique romane, d'un certain nombre de toponymes en -eur, -œur, -or ou -our (finale parfois altérée en -on, -an, etc.) issus de la désinence latine -orum du génitif [47] pluriel (masculin ou neutre) des thèmes en o. Or ces toponymes ont tous la particularité d'être formés sur un nom de peuple : ainsi, avec Francorum « des Francs », voici Franconville (Val-d'Oise; Meurthe-et-Moselle), Francourville (Eure; Eure-et-Loir), Villefrancœur (Loir-et-Cher), « le village des Francs » et Francorchamps (Belgique, province de Liège) « les champs des Francs »; avec Gothorum « des Goths », Goudourville (Tarn-et-Garonne) et Gourville (Charente) « le village des Goths »; avec Alamanorum « des Alamans », Aumenancourt-le-Grand (Marne) « le domaine rural des Alamans »; avec Romanorum « des Romains », Renorville (à Saint-Fort, Charente) « le village des Romains », etc. L'interprétation de Gourfaleur par °curte Taifalorum « le domaine rural des Taïfales » entre donc parfaitement dans cette catégorie toponymique.

Dans cette dernière hypothèse, la proto-forme gallo-romane °CORTE TAIFALŌRU a naturellement évolué en °CORTE TEFALŌRU, terrain idéal pour une réduction haplologique, d'où °CORTE FALŌRU > °Cort falor > °Corfalor, Corfalour. La forme actuelle résulte de la sonorisation spontanée du [k-] initial, phénomène attesté ici dès la fin du 12e siècle (Gourfalou 1190). Une explication par le nom du peuple germanique des Falchovarii est beaucoup moins évidente, et pose certains problèmes phonétiques.

Les Taïfales étaient un peuple barbare liés aux Goths, mercenaires des armées romaines puis mérovingiennes. Ils s'établirent en Gaule à partir de la fin du 4e siècle, principalement (mais pas exclusivement) en Aquitaine et dans le Poitou. Ils étaient originaires du nord du Danube, mais leur appartenance ethnique est incertaine : éventuellement germanique, mais plus probablement apparentés aux Sarmates et aux Alains (peuples scythes de langue iranienne) [48]. Dans la toponymie française, on estime que leur nom est à l'origine de ceux de Tiffauges (Vendée) et Tivauches (Côte-d'Or) < °Taifalicas (terras) [2], « (les terres) des Taïfales ». On explique également Taphaleschat (Corrèze) par °Taifalisca (villa), « (le domaine rural) des Taïfales », et l'on rattache aussi à ce peuple les noms de Touffailles, Toufaillou (Tarn-et-Garonne) et Chauffailles (Saône-et-Loire).
Le nom même des Taïfales, attesté sous la forme latinisée Taifali, est d'origine inconnue.

Géographie

Histoire

En 1203, première mention d'un seigneur du lieu, Olivier de Gourfaleur : Oliverius de Corfalor reddit compotum de viii sol[idis] pro i bisancio pro audiendo fine suo [3].

En 1210, Gourfaleur était le siège de deux fiefs de chevalier mouvants de l'Honneur de Lithaire, et respectivement tenus à cette date par Thomas d'Anisy et Guillaume de Gourfaleur :

Thomas de Anisi tenet de eodem [= de Honore de Lutehaire] unum feodum militis apud Corfalor.
Guillelmus de Corfalor tenet de eodem feodum unius militis apud Corfalor [49].

Démographie

Sous l'Ancien régime

Sous l'Ancien régime, le dénombrement des populations se fait généralement par feux, c'est-à-dire par foyers. Le nombre de personnes habitant sous un même toit variant beaucoup suivant celui d'ascendants et d'enfants [50], ces données sont donc relatives, mais donnent néanmoins une idée de l'évolution démographique.

Depuis la Révolution

Évolution démographique depuis 1793 (Sources : Cassini [51] et INSEE [52])
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
549 642 655 616 655 638 602 604 568 570
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
554 522 500 509 475 478 500 480 454 443
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
416 349 395 418 399 475 355 389 387 405
1982 1990 1999 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
526 474 432 430 430 434 443 452 461 {{{2 012}}}
2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021 2022
{{{2 013}}} {{{2 014}}} {{{2 015}}} {{{2 016}}} {{{2 017}}} {{{2 018}}} {{{2 019}}} {{{2 020}}} {{{2 021}}} {{{2 022}}}
De 1962 à 1999 : Population sans doubles comptes. Depuis 2006 : Population municipale.
Notice communale de Gourfaleur sur le site Cassini


Administration

Circonscriptions administratives avant la Révolution

Circonscriptions administratives depuis la Révolution

Les maires

Liste des maires
Période Identité Qualité
1800 - ....... Jacques Gilles Vaudevire
1800 - ....... Jacques François Rihouey
1804 - ....... François Augustin Ozenne
1812 - ....... Jean Baptiste Ozenne
1816 - ....... Guillaume Augustin Lerebour
1826 - ....... Charles Dufour
1841 - ....... Jacques Pasquier
1853 - ....... Michel François Richard
1865 - ....... Joseph Grente
1881 - ....... Auguste Ozenne
1884 - ....... François Tréfeu
1888 - ....... Luc Letétrel
1888 - ....... Augustin Marin
1900 - 1914 .... Dufour
1914 - 1930 .... Thomas
1930 - 1934 .... André
1934 - 1947 .... André (fils)
1947 - 1948 .... de Tillière
1948 - 1953 .... Richard
1953 - 1958 .... Lemaître
1958 - 1959 .... Deslandes
1959 - 1971 .... de Saint-Nicolas
1971 - 1989 Eugène Richard
1989 - ....... Claude Maisonneuve
À compléter

Mairie

Horaires d'ouverture
Jours Matin Après-midi Coordonnées de la mairie (Pour envoyer un mail et signaler une erreur cliquez ici)
Lundi - -
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Adresse : 4 rue des Écoles
50750 Gourfaleur

Tél. 02 33 57 17 31
Fax : 02 33 57 50 33
Courriel : Contacter la mairie
Site internet : Pas de site officiel
Commentaire :
Source : Annuaire Service-Public (7 mai 2012)

Mardi - 13 h 30 - 15 h 30
Mercredi - -
Jeudi - -
Vendredi - 18 h - 20 h
Samedi - -


Religion

Circonscriptions ecclésiastiques avant la Révolution

Patronage

  • Dédicace de l'église paroissiale : Notre-Dame.
  • Patron (présentation) : le seigneur temporel, Guillaume de Gourfaleur (Guillelmus de Gorfalor) vers 1335 [8].
  • Fête patronale : ?

Circonscriptions ecclésiastiques actuelles

Lieux et monuments

Pont de Gourfaleur, sur la Vire.
  • Église Notre-Dame (12e/19e s.).
  • Vallée de la Vire à son confluent avec l'Hain.
  • Château du Béron (17e / 19e s.).
  • Manoir de La Cour (16e s.).
  • Manoir de Saint-Lubin.
  • Cahanel (16e/19e s.).

Personnalités liées à la commune

Naissances

Économie

Sport

Notes et références

  1. Marie Fauroux, Recueil des actes des ducs de Normandie (911-1066), Mémoire de la Société des Antiquaires de Normandie XXXVI, Caen, 1961, p. 406, § 214; Julie Fontanel, dans Le cartulaire du chapitre cathédral de Coutances, Archives départementales de la Manche, Saint-Lô, 2003, p. 489, § 340, date plus largement cette charte de 1056/1066.
  2. 2,0 2,1 2,2 2,3 2,4 2,5 et 2,6 François de Beaurepaire, Les noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, Paris, 1986, p. 125.
  3. 3,0 et 3,1 Léchaudé D’Anisy et Antoine Charma, Magni Rotuli Scaccariæ Normanniæ sub regibus Angliæ, pars secunda, Mémoire de la Société des Antiquaires de Normandie XVI, 2e série, 6e volume, Paris, 1852, p. 89a.
  4. Léchaudé D’Anisy, Grands Rôles des Échiquiers de Normandie, première partie, Mémoire de la Société des Antiquaires de Normandie XV, 2e série, 5e volume, Paris, 1845, p. 170b.
  5. Léopold Delisle, Le cartulaire normand de Philippe-Auguste, Louis VIII, saint Louis et Philippe le Hardi, Mémoire de la Société des Antiquaires de Normandie XVI (2e série, 6e vol.), Paris, 1852, p. 124b, § 645.
  6. Ibid., p. 185b, § 802.
  7. Pouillé du Diocèse de Coutances, 1332, in Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903, p. 354B.
  8. 8,0 et 8,1 Léopold Delisle, op. cit., p. 125a, § 645, n. 1.
  9. Compte du Diocèse de Coutances, pour l’année 1351 ou 1352, in Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903, p. 369C.
  10. Normandia Ducatus (carte du duché de Normandie), Atlas Van der Hagen, 1635.
  11. Jean Bigot sieur de Sommesnil, État des paroisses des élections de Normandie, 1612/1636 [BNF, ms. fr. 4620].
  12. « Benefices du dioceze de Coutances », p. 7, in Pouillié general contenant les benefices de l’Archevesché de Rouen […], chez Gervais Alliot, Paris, 1648.
  13. Roles par généralités et élections des paroisses de France et de leur imposition aux tailles, 1677 [BNF, cinq cents Colbert, ms. 261 f° 229 à 275].
  14. G. Mariette de La Pagerie, cartographe, Unelli, seu Veneli. Diocese de Coutances, divisé en ses quatre archidiaconés, et vint-deux doiennés ruraux avec les Isles de Iersay, Grenesey, Cers, Herms, Aurigny etc., chez N. Langlois, Paris, 1689 [BNF, collection d'Anville, cote 00261 I-IV].
  15. Jean-Baptiste Nolin, Le duche et gouvernement de Normandie Divisé en Haute et Basse Normandie, en Divers Pays, et par Evechez, Paris, 1694 [BNF, IFN-7710251].
  16. Gerard Valk, Normannia Ducatus, tum Superior ad Ortum, tum Inferior ad Occasum, Praefectura Generalis […] Anglici Caesarea sive Jarsey…, Amsterdam, ~1700.
  17. 17,0 et 17,1 Dénombrement des généralités de 1713 [BNF, ms. fr. 11385, f° 1 à 132].
  18. Guillaume de l'Isle, Carte de Normandie, Paris, 1716.
  19. Bernard Jaillot, Le Gouvernement général de Normandie divisée en ses trois généralitez, Paris, 1719.
  20. 20,0 et 20,1 Nouveau dénombrement du royaume par generalités, elections, paroisses et feux […], t. II, Impr. Pierre Prault, Paris, 1735, p. 52b.
  21. Bernard Jaillot, Carte topographique du diocèse de Bayeux, Paris, 1736 [BNF, collection d’Anville, cote 00260 B].
  22. Robert de Vaugondy, Carte du gouvernement de Normandie, Paris, 1758.
  23. Carte de Cassini.
  24. Site Cassini.
  25. Bulletin des lois de la République française, Imprimerie Nationale, Paris.
  26. Dictionnaire universel, géographique, statistique, historique et politique de la France, impr. Baudouin, libr. Laporte, vol. II (COA-H), an XIII (1804), p. 589a.
  27. Louis Du Bois, Itinéraire descriptif, historique et monumental des cinq départements de la Normandie, Mancel, Caen, 1828, p. 466.
  28. Annuaire de la Manche (1829), Statistique de l'arrondissement de Saint-Lô, p. 153.
  29. J. G. Masselin, Dictionnaire universel de géographie physique, commerciale, historique et politique du Monde Ancien, du Moyen Age et des Temps Modernes comparées / Dictionnaire universel de géographie, t. I, Auguste Delalain, Paris, 1830, p. 564b.
  30. Dictionnaire géographique universel ou description de tous les lieux du globe sous le rapport de la géographie physique et politique, de l’histoire, de la statistique, du commerce, de l’industrie, etc., etc., Sociétés de Paris, Londres et Bruxelles pour les publications littéraires, Bruxelles, 1837, t. I, p. 795b.
  31. V. Lavasseur, Atlas National Illustré des 86 départements et des possessions de la France, A. Combette éditeur, Paris, 1854.
  32. Cartes d’État-Major (relevés de 1825 à 1866, mises à jour jusqu’à 1889).
  33. Abbé Auguste Lecanu, Histoire du diocèse de Coutances et d'Avranches depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours; suivie des actes des saints et d'un tableau historique des paroisses du diocèse, impr. de Salettes, Coutances, t. II, 1878, p. 387.
  34. Adolphe Joanne, Géographie du département de la Manche, Hachette, Paris, 1880, p. 60a.
  35. Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903.
  36. Nomenclature des hameaux, écarts et lieux-dits de la Manche, INSEE, 1954.
  37. Atlas de Normandie, Caen, 1962.
  38. Anne Vallez, Pierre Gouhier, Jean-Marie Vallez, Atlas Historique de Normandie II (économie, institutions, comportements), Université de Caen, Caen, 1972.
  39. Annuaire officiel des abonnés au téléphone.
  40. Carte IGN au 1 : 25 000.
  41. Auguste Longnon, Les noms de lieux de la France, Paris, 1920-1929; rééd. Champion, Paris, 1979.
  42. Auguste Vincent, Toponymie de la France, Bruxelles, 1937.
  43. Marie-Thérèse Morlet, Les noms de personnes sur le territoire de l’ancienne Gaule du VIe au XIIe siècle, Paris, CNRS, t. III (les noms de personnes contenus dans les noms de lieux), 1985.
  44. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Larousse, Paris, 1963, p. 326b.
  45. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Caen, Presses Universitaires de Caen / Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, 1993, p. 136b.
  46. Ernest Nègre, Toponymie Générale de la France, Droz, Genève, t. III, 1991, p. 1663, § 92035.
  47. Forme grammaticale correspondant à la fonction de complément du nom.
  48. Wikipédia, article Taïfales.
  49. Léchaudé D’Anisy, op. cit., p. 171a.
  50. Une moyenne de 5 à 6 personnes semble cependant le chiffre le plus vraisemblable.
  51. Population avant le recensement de 1962
  52. INSEE : Population depuis le recensement de 1962
  53. La sergenterie de Saint-Gilles, qui relevait initialement de l'élection de Coutances, fut en grande partie rattachée à l'élection de Saint-Lô à la fin du 17e ou au début du 18e siècle.