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'''Geneviève Manceron''', {{date naissance-f|7|4|1906|Cherbourg}} et morte à Groslay (Val-d'Oise) {{date décès|17|7|1994}}, est une journaliste et écrivaine de la [[Manche]].
'''Geneviève Manceron''', {{date naissance-f|7|4|1906|Cherbourg}} et morte à Groslay (Val-d'Oise) {{date décès|17|7|1994}}, est une journaliste et écrivaine de la [[Manche]].


Elle naît à Cherbourg à l'occasion d'une mutation de son père, Henry Manceron, officier de marine, nommé en [[1906]] à la Majorité générale du [[port militaire de Cherbourg]]. Sa mère, une Grecque de Turquie, y a rejoint Henry Manceron pour l'épouser. Le couple vit dans une maison de sept pièces située au n° 24 [[Rue Victor-Hugo (Cherbourg-Octeville)|rue Victor-Hugo]].
Elle naît à Cherbourg à l'occasion d'une mutation de son père, Henry Manceron, officier de marine, nommé en [[1906]] à la Majorité générale du [[port militaire de Cherbourg]]. Sa mère, une Grecque de Turquie, y a rejoint Henry Manceron pour l'épouser. Le couple vit dans une maison de sept pièces située au n° 24 [[Rue Jean-Marais (Cherbourg-Octeville)|rue Victor-Hugo]].


La famille Manceron reste peu de temps à Cherbourg. Henry Manceron est nommé à Brest (Finistère) dès [[1907]].  
La famille Manceron reste peu de temps à Cherbourg. Henry Manceron est nommé à Brest (Finistère) dès [[1907]].  

Version du 15 août 2019 à 20:29

La Puce à l'oreille.

Geneviève Manceron, née à Cherbourg le 7 avril 1906 et morte à Groslay (Val-d'Oise) le 17 juillet 1994, est une journaliste et écrivaine de la Manche.

Elle naît à Cherbourg à l'occasion d'une mutation de son père, Henry Manceron, officier de marine, nommé en 1906 à la Majorité générale du port militaire de Cherbourg. Sa mère, une Grecque de Turquie, y a rejoint Henry Manceron pour l'épouser. Le couple vit dans une maison de sept pièces située au n° 24 rue Victor-Hugo.

La famille Manceron reste peu de temps à Cherbourg. Henry Manceron est nommé à Brest (Finistère) dès 1907.

Geneviève Manceron suit ses parents à Dunkerque (Nord), à Toulon (Var), puis à Berlin (Allemagne) et enfin à Paris, où elle suit ses études secondaires.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle s'occupe d'enfants juifs et participe à la Résistance.

À la Libération, elle travaille comme journaliste à différentes publications communistes, sans jamais adhérer au parti.

Au début des années 1950, elle travaille dans l'édition puis écrit des romans policiers, souvent sous le pseudonyme de Bruno Bax.

Elle termine sa carrière professionnelle comme directrice littéraire au sein des éditions J'ai lu, tout en traduisant quelques maîtres du roman policier américain comme Ellery Queen, Hillary Waugh et John Creasey.

Elle est la sœur aînée de l'écrivain Claude Manceron (1923-1999).

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