« Félix Jacquet » : différence entre les versions
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'''Félix Jacquet''', | '''Félix Jacquet''', {{date naissance|10|9|1921|Le Plessis}} et exécuté à la prison de Pforzheim (Allemagne) le [[23 novembre]] [[1944]], est un résistant déporté de la [[Manche]]. | ||
Félix Jacquet a 18 ans lorsqu'éclate la [[Seconde Guerre mondiale]]. Commis dans l'épicerie de ses grands-parants, il refuse le [[Service du travail obligatoire]] (STO) et entre dans la résistance <ref name=OF1>Éric de Grandmaison, « Les archives du tribunal du III{{e}} Reich dévoilées », ''Ouest-France'', 11 décembre 2014. </ref>. Il rejoint le réseau « Alliance » <ref name=FMR>Fondation pour la mémoire de la déportation. </ref>. Dénoncé, il est arrêté comme nombre de résistants de ce réseau <ref name=OF1/>. | Félix Jacquet a 18 ans lorsqu'éclate la [[Seconde Guerre mondiale]]. Commis dans l'épicerie de ses grands-parants, il refuse le [[Service du travail obligatoire]] (STO) et entre dans la résistance <ref name=OF1>Éric de Grandmaison, « Les archives du tribunal du III{{e}} Reich dévoilées », ''Ouest-France'', 11 décembre 2014. </ref>. Il rejoint le réseau « Alliance » <ref name=FMR>Fondation pour la mémoire de la déportation. </ref>. Dénoncé, il est arrêté comme nombre de résistants de ce réseau <ref name=OF1/>. | ||
Version du 5 octobre 2017 à 08:25
Félix Jacquet, né au Plessis le 10 septembre 1921 et exécuté à la prison de Pforzheim (Allemagne) le 23 novembre 1944, est un résistant déporté de la Manche.
Félix Jacquet a 18 ans lorsqu'éclate la Seconde Guerre mondiale. Commis dans l'épicerie de ses grands-parants, il refuse le Service du travail obligatoire (STO) et entre dans la résistance [1]. Il rejoint le réseau « Alliance » [2]. Dénoncé, il est arrêté comme nombre de résistants de ce réseau [1].
L'ensemble des prisonniers (114 hommes et 14 femmes) est déporté en décembre 1943 et janvier 1944 [2]. Le transport de Félix Jacquet quitte Paris le 24 janvier à destination de la prison de Pforzheim [2]. Seuls trois détenus rentreront de déportation [2].