« Compagnie industrielle des télécommunications » : différence entre les versions
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Trois plans sociaux marquent la vie de l'entreprise. En [[1987]], 200 salariés sont licenciés <ref>Question écrite du sénateur [[René Travert]] au ministre de l'Industrie [[http://www.senat.fr/questions/base/1988/qSEQ880109285.html] </ref>. | Trois plans sociaux marquent la vie de l'entreprise. En [[1987]], 200 salariés sont licenciés <ref>Question écrite du sénateur [[René Travert]] au ministre de l'Industrie [[http://www.senat.fr/questions/base/1988/qSEQ880109285.html] </ref>. | ||
Version du 11 février 2010 à 12:49
La Compagnie industrielle des télécommunications (CIT), était une entreprise liée au département de la Manche, implantée à Querqueville.
Elle est spécialisée dans la fabrication des centraux téléphoniques.
Elle a son siège social 10, avenue Latécoère à Vélizy-Villacoublay (Yvelines).
Elle fusionne au milieu des années 1960 avec Compélec. Elle est absorbée ensuite par Alcatel pour devenir CIT-Alcatel, puis Alcatel.
Elle emploie 1 800 personnes en 1973 [1].
Trois plans sociaux marquent la vie de l'entreprise. En 1987, 200 salariés sont licenciés [2].
L'usine de Querqueville reçoit la visite de François Mitterrand le 16 décembre 1982 lors d'un déplacement officiel du président de la République dans la Manche.
Bibliographie
- La Reconversion des sites industriels : Alcatel CIT Queurqeville, Management.org, 2007
Notes
- ↑ Jean Levalois, « La communauté urbaine de Cherbourg », Études normandes, n° 278, 1974
- ↑ Question écrite du sénateur René Travert au ministre de l'Industrie [[1]