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« Comité de réflexion, d'information et de lutte anti-nucléaire » : différence entre les versions

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Le '''Comité de réflexion, d'information et de lutte anti-nucléaire''' (Crilan) est une association écologiste de la [[Manche]], basée sur le [[Cotentin]].
Le '''Comité de réflexion, d'information et de lutte anti-nucléaire''' (Crilan) est une association écologiste de la [[Manche]], basée sur le [[Cotentin]].


==Histoire==
En avril [[1975]], alors que le projet de [[Centrale nucléaire de Flamanville|centrale nucléaire]] émerge à [[Flamanville]], des militants menés par [[Didier Anger]] créent le Comité régional d'information et de lutte anti-nucléaire de Basse-Normandie <ref name=lpdlm>Géraldine Lebourgeois, « La légitimité du combat du Crilan », ''La Presse de la Manche'', 5 janvier 2016.</ref>.
En avril [[1975]], alors que le projet de [[Centrale nucléaire de Flamanville|centrale nucléaire]] émerge à [[Flamanville]], des militants menés par [[Didier Anger]] créent le Comité régional d'information et de lutte anti-nucléaire de Basse-Normandie <ref name=lpdlm>Géraldine Lebourgeois, « La légitimité du combat du Crilan », ''La Presse de la Manche'', 5 janvier 2016.</ref>.



Version du 24 mai 2019 à 09:54

Le Comité de réflexion, d'information et de lutte anti-nucléaire (Crilan) est une association écologiste de la Manche, basée sur le Cotentin.

Histoire

En avril 1975, alors que le projet de centrale nucléaire émerge à Flamanville, des militants menés par Didier Anger créent le Comité régional d'information et de lutte anti-nucléaire de Basse-Normandie [1].

La déclaration ne paraît que plusieurs mois plus tard, en 1976 [1].

Elle est agréée au titre de la défense de l'environnement [1].

En avril 2019, le président fondateur Didier Anger quitte l'association [2].

Le 19 mai 2019 à Cherbourg-en-Cotentin, l'assemblée générale porte au grand jour les dissensions internes, les « historiques » reprochant à la nouvelle équipe son attitude « bureaucratique » en privilégiant la communication au détriment de l'action [3]. Au terme de débats houleux, après le départ du Président qui a clos la réunion, l'assemblée générale vote la dissolution de l'association par 18 voix sur 27 membres présents, contre l'avis du président André Jacques refusant ce « suicide collectif » [3]. Le président dénonce peu après ce qu'il appelle « ce putsch de quelques militants » et fait savoir qu'il étudie les moyens juridiques de faire annuler la décision en proposant une assemblée générale extraordinaire [4].

Présidents

Effectifs

En 2019, l'association compte 123 adhérents [3] (150 adhérents en 2015 [1]).

Administration

Adresse : 16, le Bourg
Gourbesville
50480 Picauville

Notes et références

  1. 1,0 1,1 1,2 et 1,3 Géraldine Lebourgeois, « La légitimité du combat du Crilan », La Presse de la Manche, 5 janvier 2016.
  2. Didier Anger, « Une page se tourne au Crilan… », cyberacteurs.org, site internet, 23 avril 2018 (lire en ligne).
  3. 3,0 3,1 et 3,2 Sarah Caillaud, « Crilan : fin de 40 ans de lutte antinucléaire », Ouest-France, 20 mai 2019.
  4. « Antinucléaires : le Crilan n'est pas mort », Ouest-France, site internet, 20 mai 2019.

Lien externe