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Il est le fils d'Eugène Canivet ([[1812]]-[[1889]]), professeur de réthorique au [[collège de Valognes]] et archiviste municipal, et de Flore Tollemer ([[1809]]-[[1883]]). Il se destine à l'enseignement, mais choisit finalement le journalisme, en menant parallèlement une carrière d'écrivain.
Il est le fils d'Eugène Canivet ([[1812]]-[[1889]]), professeur de réthorique au [[collège de Valognes]] et archiviste municipal, et de Flore Tollemer ([[1809]]-[[1883]]). Il se destine à l'enseignement, mais choisit finalement le journalisme, en menant parallèlement une carrière d'écrivain.


Il écrit régulièrement dans le quotidien ''Le Soleil'', qui a son siège rue du Croissant à Paris. Il a l'habitude de porter des lunettes bleues parce que, dit-il, il ne peut rester exposé tous les jours aux rayons du ''Soleil'' <ref>''Les Cafés artistiques et littéraires de Paris'', 1882 [http://www.paris-pittoresque.com/cafes/17.htm  ''Lire en ligne''] </ref>.
Il écrit régulièrement dans le quotidien ''Le Soleil'', qui a son siège rue du Croissant à Paris. Il a l'habitude de porter des lunettes bleues parce que, dit-il, il ne peut rester exposé tous les jours aux rayons du ''Soleil'' <ref>''Les Cafés artistiques et littéraires de Paris'', 1882 [http://www.paris-pittoresque.com/cafes/17.htm  ''lire en ligne''] .</ref>.


Il a également écrit sous le pseudonyme de Jean de Nivelle.
Il a également écrit sous le pseudonyme de Jean de Nivelle.

Version du 13 novembre 2019 à 10:46

Charles, Alfred Canivet, né à Valognes le 10 février 1839 [1] et mort à Paris le 29 novembre 1911 [2], est un chroniqueur, poète et romancier de la Manche.

Il est le fils d'Eugène Canivet (1812-1889), professeur de réthorique au collège de Valognes et archiviste municipal, et de Flore Tollemer (1809-1883). Il se destine à l'enseignement, mais choisit finalement le journalisme, en menant parallèlement une carrière d'écrivain.

Il écrit régulièrement dans le quotidien Le Soleil, qui a son siège rue du Croissant à Paris. Il a l'habitude de porter des lunettes bleues parce que, dit-il, il ne peut rester exposé tous les jours aux rayons du Soleil [3].

Il a également écrit sous le pseudonyme de Jean de Nivelle.

Il fut le secrétaire du journaliste et historien Amédée Thierry (1797-1873).

Il est membre du comité de l'association des journalistes parisiens, et membre de la société des gens de Lettres.

Le 3 décembre 1911, il est inhumé dans le cimetière de Montmartre.

Ouvrages

La Veuve du major.
  • Jean Dagoury, Plon, 1877
  • Croquis et paysages (sonnets), Lemerre, 1878
  • Le Long de la côte, Lemerre, 1883
  • Les Colonies perdues, Jouvet, 1884
  • La Nièce de l'organiste, Plon, Nourrit et Cie, 1885
  • Les Hautemanière, Paris, P. Ollendorff, 1885 ;
  • La Ferme des Gohel, Marpon et Flammarion, 1888
  • L'Amant de Rebecca, Plon, Nourrit et Cie, 1890
  • Enfant de la mer, Flammarion, 1896
  • La Légende du moine de Saire, Cahiers culturels de la Manche, 2001
  • La Veuve du major, éd. La Piterne, 2015

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Sous le pseudonyme de Jean de Nivelle

  • Les Contes de la mer et des grèves, Jouvet et Cie éditeurs, 1868 Lire en ligne sur Gallica
  • Les Contes du vieux pilote, Jouvet et Cie éditeurs, 1891
  • Le Vieux fiston, 1900

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Notes et références

  1. AD50, NMD Valognes, 1839 (5 Mi 992), page 14/230, acte de naissance n° 26 (lire en ligne).
  2. AD75, NMD Paris 6e arrondissement, Décès 1911 (6D 173), page 9/31, acte de décès n° 2302 (lire en ligne).
  3. Les Cafés artistiques et littéraires de Paris, 1882 lire en ligne .

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