« Charles Canivet » : différence entre les versions
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'''Charles''', Alfred '''Canivet''', {{date naissance|10|2|1839|Valognes}} <ref>AD50, NMD Valognes, 1839 (5 Mi 992), page 14/230, acte de naissance n° 26 [http://www.archives-manche.fr/ark:/57115/a011288085774JwIkpr/840bc8ec11 ''(lire en ligne)''].</ref> et {{date décès|29|11|1911|Paris }} <ref>AD75, NMD Paris {{6e}} arrondissement, Décès 1911 (6D 173), page 9/31, acte de décès n° 2302 [http://archives.paris.fr/arkotheque/visionneuse/visionneuse.php?arko=YTo2OntzOjQ6ImRhdGUiO3M6MTA6IjIwMTktMTEtMDgiO3M6MTA6InR5cGVfZm9uZHMiO3M6MTE6ImFya29fc2VyaWVsIjtzOjQ6InJlZjEiO2k6NDtzOjQ6InJlZjIiO2k6MzAwOTI1O3M6MTY6InZpc2lvbm5ldXNlX2h0bWwiO2I6MTtzOjIxOiJ2aXNpb25uZXVzZV9odG1sX21vZGUiO3M6NDoicHJvZCI7fQ ''(lire en ligne)''].</ref>, est un chroniqueur, poète et romancier de la [[Manche]]. | '''Charles''', Alfred '''Canivet''', {{date naissance|10|2|1839|Valognes}} <ref>AD50, NMD Valognes, 1839 (5 Mi 992), page 14/230, acte de naissance n° 26 [http://www.archives-manche.fr/ark:/57115/a011288085774JwIkpr/840bc8ec11 ''(lire en ligne)''].</ref> et {{date décès|29|11|1911|Paris }} <ref>AD75, NMD Paris {{6e}} arrondissement, Décès 1911 (6D 173), page 9/31, acte de décès n° 2302 [http://archives.paris.fr/arkotheque/visionneuse/visionneuse.php?arko=YTo2OntzOjQ6ImRhdGUiO3M6MTA6IjIwMTktMTEtMDgiO3M6MTA6InR5cGVfZm9uZHMiO3M6MTE6ImFya29fc2VyaWVsIjtzOjQ6InJlZjEiO2k6NDtzOjQ6InJlZjIiO2k6MzAwOTI1O3M6MTY6InZpc2lvbm5ldXNlX2h0bWwiO2I6MTtzOjIxOiJ2aXNpb25uZXVzZV9odG1sX21vZGUiO3M6NDoicHJvZCI7fQ ''(lire en ligne)''].</ref>, est un chroniqueur, poète et romancier de la [[Manche]]. | ||
==Biographie== | |||
Il est le fils d'Eugène Canivet ([[1812]]-[[1889]]), professeur de réthorique au [[collège de Valognes]] et archiviste municipal, et de Flore Tollemer ([[1809]]-[[1883]]). Il se destine à l'enseignement, mais choisit finalement le journalisme, en menant parallèlement une carrière d'écrivain. | Il est le fils d'Eugène Canivet ([[1812]]-[[1889]]), professeur de réthorique au [[collège de Valognes]] et archiviste municipal, et de Flore Tollemer ([[1809]]-[[1883]]). Il se destine à l'enseignement, mais choisit finalement le journalisme, en menant parallèlement une carrière d'écrivain. | ||
Il écrit régulièrement dans le quotidien ''Le Soleil'', qui a son siège rue du Croissant à Paris. Il a l'habitude de porter des lunettes bleues parce que, dit-il, il ne peut rester exposé tous les jours aux rayons du ''Soleil'' <ref>''Les Cafés artistiques et littéraires de Paris'', 1882 [http://www.paris-pittoresque.com/cafes/17.htm '' | Il écrit régulièrement dans le quotidien ''Le Soleil'', qui a son siège rue du Croissant à Paris. Il a l'habitude de porter des lunettes bleues parce que, dit-il, il ne peut rester exposé tous les jours aux rayons du ''Soleil'' <ref>''Les Cafés artistiques et littéraires de Paris'', 1882 [http://www.paris-pittoresque.com/cafes/17.htm ''lire en ligne''] .</ref>. | ||
Il a également écrit sous le pseudonyme de Jean de Nivelle. | Il a également écrit sous le pseudonyme de Jean de Nivelle. Il rencontre [[Marie Ravenel]] en août [[1881]]. | ||
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* ''Les Contes de la mer et des grèves'', Jouvet et Cie éditeurs, 1868 | |||
* ''Les Contes du vieux pilote'', Jouvet et Cie éditeurs, 1891 | * ''Les Contes du vieux pilote'', Jouvet et Cie éditeurs, 1891 | ||
* ''Le Vieux fiston'', 1900 | * ''Le Vieux fiston'', 1900 | ||
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==Bibliographie== | |||
* « Charles Canivet », ''[[Val'Auna]]'', n° 33, 2019 et n° 34, 2020. | |||
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== | ==Articles connexes== | ||
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Charles, Alfred Canivet, né à Valognes le 10 février 1839 [1] et mort à Paris le 29 novembre 1911 [2], est un chroniqueur, poète et romancier de la Manche.
Biographie
Il est le fils d'Eugène Canivet (1812-1889), professeur de réthorique au collège de Valognes et archiviste municipal, et de Flore Tollemer (1809-1883). Il se destine à l'enseignement, mais choisit finalement le journalisme, en menant parallèlement une carrière d'écrivain.
Il écrit régulièrement dans le quotidien Le Soleil, qui a son siège rue du Croissant à Paris. Il a l'habitude de porter des lunettes bleues parce que, dit-il, il ne peut rester exposé tous les jours aux rayons du Soleil [3].
Il a également écrit sous le pseudonyme de Jean de Nivelle. Il rencontre Marie Ravenel en août 1881.
Il fut le secrétaire du journaliste et historien Amédée Thierry (1797-1873).
Il est membre du comité de l'association des journalistes parisiens, et membre de la société des gens de Lettres.
Le 3 décembre 1911, il est inhumé dans le cimetière de Montmartre.
Ouvrages
- Jean Dagoury, Plon, 1877
- Croquis et paysages (sonnets), Lemerre, 1878
- Le Long de la côte, Lemerre, 1883
- Les Colonies perdues, Jouvet, 1884
- La Nièce de l'organiste, Plon, Nourrit et Cie, 1885
- Les Hautemanière, Paris, P. Ollendorff, 1885 ;
- La Ferme des Gohel, Marpon et Flammarion, 1888
- L'Amant de Rebecca, Plon, Nourrit et Cie, 1890
- Enfant de la mer, Flammarion, 1896
- La Légende du moine de Saire, Cahiers culturels de la Manche, 2001
- La Veuve du major, éd. La Piterne, 2015
...
- Sous le pseudonyme de Jean de Nivelle
- Les Contes de la mer et des grèves, Jouvet et Cie éditeurs, 1868 (lire en ligne)
- Les Contes du vieux pilote, Jouvet et Cie éditeurs, 1891
- Le Vieux fiston, 1900
...
Bibliographie
- « Charles Canivet », Val'Auna, n° 33, 2019 et n° 34, 2020.
Notes et références
- ↑ AD50, NMD Valognes, 1839 (5 Mi 992), page 14/230, acte de naissance n° 26 (lire en ligne).
- ↑ AD75, NMD Paris 6e arrondissement, Décès 1911 (6D 173), page 9/31, acte de décès n° 2302 (lire en ligne).
- ↑ Les Cafés artistiques et littéraires de Paris, 1882 lire en ligne .