« Bretteville » : différence entre les versions
De Wikimanche
Ligne 163 : | Ligne 163 : | ||
{{Élu |Début=2001 |Fin=2008 | Identité=Dominique Tirateau | Parti=SE | Qualité=technicien Areva | Observations= }} | {{Élu |Début=2001 |Fin=2008 | Identité=Dominique Tirateau | Parti=SE | Qualité=technicien Areva | Observations= }} | ||
{{Élu |Début=2008 |Fin=2014 | Identité=[[Daniel Roupsard]] | Parti=SE | Qualité=retraité de l'agroalimentaire | Observations= }} | {{Élu |Début=2008 |Fin=2014 | Identité=[[Daniel Roupsard]] | Parti=SE | Qualité=retraité de l'agroalimentaire | Observations= }} | ||
{{Élu |Début=2014 |Fin=2020 | Identité=[[Pierre Philippart]] | Parti=SE | Qualité=retraité de l' | {{Élu |Début=2014 |Fin=2020 | Identité=[[Pierre Philippart]] | Parti=SE | Qualité=retraité de l'enseignement| Observations= }} | ||
{{Élu actuel | Début=2020 | Identité=[[Jean-Paul Maze]] | Parti=SE | Qualité=agent de maîtrise | Observations= }} | {{Élu actuel | Début=2020 | Identité=[[Jean-Paul Maze]] | Parti=SE | Qualité=agent de maîtrise | Observations= }} | ||
{{ÉluDonnées|Sources : État civil de 1790 à 1892 - De 1892 à 2014 : [[601 communes et lieux de vie de la Manche]].}} | {{ÉluDonnées|Sources : État civil de 1790 à 1892 - De 1892 à 2014 : [[601 communes et lieux de vie de la Manche]].}} |
Version du 19 juin 2022 à 13:01
Bretteville [1], est une commune du département de la Manche.
Commune de Bretteville | Coordonnées géographiques de la mairie 49° 39' 22.28" N, 1° 31' 11.07" W (OSM) | ||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Arrondissement | Cherbourg | ||||||||||
Canton | Canton de Cherbourg-en-Cotentin-5 | ||||||||||
Ancien canton | Tourlaville | ||||||||||
Intercommunalité | CA du Cotentin | ||||||||||
Gentilé | Brettevillais(es) | ||||||||||
Population | 1 014 hab. (2021) | ||||||||||
Superficie | 5,78 km² | ||||||||||
Densité | 175 hab./km2 | ||||||||||
Altitude | 0 m (mini) - 156 m (maxi) | ||||||||||
Code postal | 50110 | ||||||||||
N° INSEE | 50077 | ||||||||||
Maire | Jean-Paul Maze | ||||||||||
|
Toponymie
Attestations anciennes
- Bretavilla ~1200 [2].
- Brethevilla 1221 [2].
- Bretevilla juxta Cesarisburgum 1272 [3].
- Bretevilla 1271 [4].
- parrochia de Bretevilla 1272 [5].
- apud Bretevillam 1273 [6].
- Bretevilla in valle Sare 1272 [7].
- parrochia Sancti Germani de Bretevilla super mare juxta Cesarisburgum 1280 [8].
- parrochia Sancti Germani de Brethevilla juxta Torlavillam 1280 [9].
- ecclesia Sancti Germani de Brethevilla justa Torlavillam 1280 [10].
- parrochia de Brethevilla 1287 [11].
- ecclesia de Bretevilla 1287 [12], 1303 [13].
- ecclesi[a] de Brethevilla 1332 [14].
- Bertrevilla 1351/1352 [15].
- Breteville 1549 [16].
- Bretteville 1550 [17], 1556 [18].
- Berteuile [lire Bertevile] 1631 [19].
- Berteuille [lire Berteville] 1635 [20].
- Bretheville 1612/1636 [21].
- Breteville 1677 [22], 1694 [23], 1713 [24], 1716 [25], 1719 [26], 1753 [27], 1758 [28].
- Bretteville 1753/1785 [29].
- Breteville 1793 [30], 1801 [31].
- Bretteville 1804 [32].
- Bretteville-sur-Mer 1828 [33].
- Bretteville 1829 [34], 1854 [35], 1903 [36], 1962 [37].
- Bretteville-en-Saire 1972 [38].
- Bretteville 1978 [39].
- Bretteville en Saire 1978, 1993 [40].
- Bretteville 2001, 2007 [41].
Étymologie
Bretteville est un type toponymique très répandu en Normandie (c'est le nom de 9 communes, de plusieurs autres anciennes communes ou paroisses, et de nombreux hameaux). Il correspond à une formation médiévale brete vil(l)e, « domaine rural ou village breton » (voir élément -ville), faisant généralement allusion à une implantation humaine originaire de Grande-Bretagne correspondant à la colonisation anglo-scandinave de la Normandie aux 10e et 11e siècles. François de Beaurepaire [2] fait en outre remarquer que la répartition géographique des Bretteville normands correspond à celles des toponymes scandinaves dans cette région. Cependant, des « Bretons » insulaires romanisés avaient déjà été appelés par l'administration militaire romaine dès le début du IVe siècle pour défendre les côtes des invasions saxonnes, et c'est peut-être cette implantation qui a laissé des traces [42].
L'ancien français bret (féminin brete) « breton, de Bretagne » est un adjectif issu du gallo-roman °BRITTU [43], reposant lui-même sur le radical des substantifs latins Britannus et Brito ou Britto « habitant de (Grande-) Bretagne », puis plus tardivement « habitant de la Bretagne armoricaine » à la suite de l'établissement d'une partie de ce peuple en Armorique (c'est de ce dernier que procède le français Breton). Le radical Brit(t)- est également à l'origine de Britannia, tardivement Brittania > Bretagne. Son étymologie ultime est controversée et incertaine. Pour l'élément ville, voir l'article correspondant.
Le type Bretteville apparaît également dans la Manche dans le nom de la commune de Bretteville-sur-Ay, ainsi que dans celui de deux hameaux à Geffosses et Saussey et d'un manoir à Sortosville, lui-même issu d'un transfert de nom de fief.
On notera enfin que l'existence de la commune de Bretteville-sur-Ay dans le canton de Lessay, ainsi que des autres Bretteville normands, a très tôt nécessité l'adjonction d'un déterminant pour identifier le toponyme sans ambiguïté : dès le 13e siècle, Bretteville-en-Saire est appelée Bretteville-près-Cherbourg, Bretteville-en-Val-de-Saire, Bretteville-près-Tourlaville, Bretteville-sur-Mer (cette dernière appellation est ressuscitée en 1828 par Louis Du Bois), etc.
Son nom est officiellement Bretteville. L'usage officieux de Bretteville-en-Saire est toujours largement répandu, même si la municipalité se met en conformité avec l'administration et change certains des panneaux d'accès à l'agglomération en 2021 [44][45].
Géographie
La commune est située à 8 kilomètres à l'est de Cherbourg. Elle est délimitée par le ruisseau du Pas-Vastel à l'ouest (frontière avec la commune de Digosville), par la mer de la Manche au nord, par une ligne conventionnelle au sud et à l'est. Le point culminant de la commune se trouve au sud du lieu-dit Bellevue. [46]
Histoire
Les familles historiques de la commune sont les Liot [47], les Roger (ces deux familles étaient déjà présentes sur la paroisse en 1253), les Besnard, les Fouquet, les Rouxel, citées dans le journal de Gilles de Gouberville, qui ont pour certaines laissé leur nom à des hameaux (Liot, Besnard) et dont il existe encore aujourd'hui des représentants (voir André Rouxel, par ex.). On peut aussi citer les familles Maze, Lebrettevillois et Gibert dont l'implantation sur la paroisse est peut-être un peu postérieure, mais aussi très ancienne.
Époque médiévale
La seigneurie appartient dès le 12e siècle à la famille du sieur de Gouberville [48]. C'est Cécile Picot, fille de Guillaume Picot (et arrière-grand-tante de Gilles), seigneur de Gouberville, qui la transmet à la famille de Bricqueville, par son mariage avec Jean de Bricqueville, au début du 15e siècle [49].
Le vieux château-fort, construit sur des bases romaines, est remplacé vers le 16e (ou 18e ? [50]) par un château orné de « panaches de pierres sculptées », doté d'une chapelle et entouré d'un petit bois.
Ce château est vendu par Armand de Bricqueville le 2 juillet 1822 et démoli peu après [51]. La ferme qui existe encore aujourd'hui a probablement été construite à cette époque, sur les ruines dudit château.
18e siècle
La paroisse est décrite ainsi en 1731 : « Bretteville, seigneur M. De Bricqueville, 380 acres de terres en labour et herbage de bon fonds; 30 vergées de pré. Landes, montagnes et rochers, 320 vergées. »
En 1789, les Brettevillais paient entre autres 1264 livres et 10 sous de taille, 819 livres de capitation, 420 livres et 1 sou de corvée, 1356 livres et 3 sous de vingtième. Au total, 4861 livres, 15 sous et 3 deniers. Il y a alors 107 cultivateurs, dont 83 propriétaires exploitants et 24 fermiers. Le comte Claude Marie de Bricqueville est non-résident et est à ce titre avantagé fiscalement.
En 1790, les murs du presbytère sont jugés « fort vieux » par les officiers municipaux.
Une chapelle dédiée à saint Martin est remplacée par « une petite maison d'école » probablement dans la seconde moitié du 18e siècle.
19e siècle
Un nouveau presbytère est construit à une date indéterminée.
L'Annuaire du département de la Manche de 1834 fait état d'au moins quatre moulins à grain et quatre moulins à huile situés le long du ruisseau du Pas Vastel, appartenant aux sieurs Germain, Gibert, Le Vallois et Roger.
L'école de filles est construite en 1869 [52] à l'emplacement de la grange des dîmes du château [53] par M. Lefebvre, architecte à Cherbourg, pour 7 650 francs.
En 1879, au cours de fouilles archéologiques à la pointe du Heu, Henri Menut met au jour une station préhistorique de l'âge de pierre, preuve que l'homme s'était déjà établi là environ 100 000 ans avant Jésus-Christ. Des silex de cette époque sont conservés au muséum Emmanuel-Liais [54].
20e siècle
L'électricité arrive dans la commune au début des années 1930 [55][56] , l'eau courante au hameau Besnard dans les années 1960.
En 1939, il y a encore des exploitants à la carrière : Christiani et Nielsen. 4 habitants possèdent le téléphone (et à peu près autant l'automobile), dont le maire de l'époque, Jules Le Seigle.
En 1962, la commune compte 456 habitants, 155 résidences principales et 78 résidences secondaires. En 1982, elle compte 680 habitants, 250 résidences principales et 107 résidences secondaires.
En 1971, la municipalité décide d'acquérir le fort de Bretteville-Bas, en vue d'y implanter un centre aéré, un terrain de camping, un plateau scolaire et une aire de stationnement [57]. En 1976, le camping municipal est créé pour 100 places.
La fermeture de l'école des filles est actée en avril 1977 par le conseil municipal [58]. Les services municipaux s'y installent peu après. La même année, le comité des fêtes est créé.
Une fête champêtre se déroule au moins depuis 1978 au début du mois d'août.
La salle polyvalente est construite en 1989 [59].
21e siècle
En 2017, la fusion de la commune avec Digosville et le Mesnil au Val est envisagée. Le territoire couvert par les 3 communes aurait pu s'appeler Saire-sur-Mer [60].
Le hameau Besnard n'est à ce jour toujours pas équipé du tout-à-l'égout, alors qu'un projet d'assainissement est évoqué depuis au moins 2018. Les habitants de la Rue possèdent le gaz de ville.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793.
À partir du 21e siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans, contrairement aux autres communes qui ont une enquête par sondage chaque année[61]. En 2021, la commune comptait 1 014 habitants.
Administration
Circonscriptions administratives avant la Révolution
- Généralité : Caen.
- Élection : Valognes.
- Sergenterie : Val de Saire.
Circonscriptions administratives depuis la Révolution
- District : Cherbourg (1790-1795).
- Arrondissement : Valognes (1800), Cherbourg (1811).
- Canton : Digosville (1790), Octeville (1801), Tourlaville (1973), Tourlaville (2015).
Les maires
Mairie
- Horaires d'ouverture
Jours | Matin | Après-midi | Coordonnées de la mairie (Pour envoyer un mail et signaler une erreur cliquez ici) | ||
Lundi | 9 h - 12 h | - |
| ||
Mardi | - | - | |||
Mercredi | - | - | |||
Jeudi | 9 h - 12 h | - | |||
Vendredi | 9 h - 12 h | 16 h - 18 h 30 [64] | |||
Samedi | - | - |
Religion
Circonscriptions ecclésiastiques avant la Révolution
Patronage
- Dédicace de l'église paroissiale : Saint-Germain.
- Patron (présentation) : l'évêque de Coutances.
- Fête patronale : 1er août [65].
Circonscriptions ecclésiastiques actuelles
- Diocèse : Coutances et Avranches.
- Archidiaconé : Nord.
- Doyenné : Cherbourg-Hague.
- Paroisse : Saint-Gabriel.
Lieux et monuments
- Allée couverte (monument mégalithique) au lieu-dit le Champ ès Pierres [1]
- Anse du Moulin
- Batterie de Bretteville-Bas
- Église Saint-Germain : chœur (15e s.), nef (19e s.), saint Hubert ou saint Michel (16e s.)
- Ancienne gare ferroviaire
- Lande du Mot de Cantepie
- Monument aux morts
- Plage
- Pointe du Heu
- Grand Val
- Rives et cale du Pas Vastel
- Stèle Alvin Bessey, pilote américain, tué le 22 juin 1944
- Stèle Eustace Hope, pilote britannique, tué le 6 août 1941, inaugurée le 30 septembre 2016
-
Plage de Bretteville.
-
Allée couverte.
-
L'église
Personnalités liées la commune
Naissances
- la famille de Bricqueville, seigneurs de Bretteville, y possède un château qui a vu naître la majorité de ses membres, dont :
- Jean III de Bricqueville (?-1612), seigneur de Bretteville
- Guillaume de Bricqueville (v. 1569-1613), vice-amiral et lieutenant-général de la flotte française d'outre-mer.
- Jacques de Bricqueville (1609-?), fils de Jean III, seigneur de Bretteville
- Guillaume de Bricqueville, (1612-1636), militaire
- Jean de Bricqueville, (1613-?)
- Antoine de Bricqueville, (1635-1674), capitaine de frégate et corsaire
- Jean IV de Bricqueville, (1639-1716), fils de Jacques, seigneur de Bretteville
- Jean-Baptiste de Bricqueville, (1684-1708), capitaine au régiment de Touraine
- Guillaume Antoine de Bricqueville, (1690-1775), fils de Jean IV, major de la milice du Val de Saire, seigneur de Bretteville
- François Adrien de Bricqueville, (1695-1763), bachelier en théologie de la Faculté de Paris, licencié ès lois, curé de Gonneville
- Claude Marie de Bricqueville, (1724-?), fils de Guillaume Antoine, militaire, (dernier ?) seigneur de Bretteville
- Bon Chrétien de Bricqueville (1726-1803), membre de l'Académie de marine
- Guillaume François Marie de Bricqueville (1752-1770)
- Armand de Bricqueville (1785-1844), militaire, homme politique
- Augustin Ambroise Célestin Besnard, (1810-1883), 2e curé de Notre-Dame du Voeu à Cherbourg, de 1855 à 1883, membre de la société impériale académique de Cherbourg
- Raymond Jupille (1913-1997), peintre
- André Rouxel (1946-), homme politique
Décès
Autres
- Henri Daillière (1901-1942), militaire
- Georges Jourdam, sociologue installé depuis 2001 dans la commune [66]
- Patrick Mazeau, peintre installé depuis 2014 dans la commune [67]
- Éric Navet, professeur émérite d'ethnologie à l'université de Strasbourg, installé à Bretteville
Éducation
- École de Bretteville (primaire, publique)
Économie
Transports
- Ligne Manéo
- Ligne 51 : Ligne estivale du Val de Saire (juillet-août)
Culture
- Bal populaire : la deuxième édition se tient le 13 juillet 2017.
- Bibliothèque municipale, inaugurée le 1er décembre 2018 [69] (près de 300 adhérents en 2022, Brettevillais ou non), ouverte le lundi et le mercredi de 17h à 19h, le mardi de 13h30 à 16h et le vendredi de 17h30 à 19h30. Inscription gratuite.
- Carnaval : la première édition a lieu le 27 avril 2022.
Sports
Bibliographie
- Geneviève Le Blond, « L'allée couverte de Bretteville-en-Saire », Ouest-France, 16 et 28 août 1962.
- Isabelle Audinet, « Le mégalithe de Bretteville », Patrimoine Normand, n° 24, décembre 1998 - janvier 1999, pp.6-9.
Notes et références
- ↑ Forme du toponyme retenue par le Code officiel géographique (COG) de l'INSEE. Depuis 1998, le Conseil d’État a statué que le nom de Bretteville-en-Saire n’existe pas.
- ↑ 2,0 2,1 et 2,2 François de Beaurepaire, Les noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, Paris, 1986, p. 86.
- ↑ Julie Fontanel, Le cartulaire du chapitre cathédral de Coutances, Archives départementales de la Manche, Saint-Lô, 2003, p. 153, § 44.
- ↑ Julie Fontanel, op. cit., p. 175, § 61.
- ↑ Julie Fontanel, op. cit., p. 156, § 45.
- ↑ Julie Fontanel, op. cit., p. 356, § 227.
- ↑ Julie Fontanel, op. cit., p. 162, § 51.
- ↑ Julie Fontanel, op. cit., p. 157, § 47.
- ↑ Julie Fontanel, op. cit., p. 159, § 48.
- ↑ Julie Fontanel, op. cit., p. 165, § 53.
- ↑ Julie Fontanel, op. cit., p. 156, § 46.
- ↑ Julie Fontanel, op. cit., p. 167, § 54.
- ↑ Julie Fontanel, op. cit., p. 164, § 52.
- ↑ Pouillé du Diocèse de Coutances, 1332, in Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903, p. 308G.
- ↑ Compte du Diocèse de Coutances, pour l’année 1351 ou 1352, in Auguste Longnon, op. cit., 1903, p. 379C.
- ↑ Eugène Robillard de Beaurepaire et le Comte Auguste de Blangy, Le Journal du Sire de Gouberville (t. I), Mémoires de la Société des Antiquaires de Normandie XXXI, Caen, 1892, p. 18.
- ↑ Eugène Robillard de Beaurepaire et le Comte Auguste de Blangy, op. cit., p. 93.
- ↑ Eugène Robillard de Beaurepaire et le Comte Auguste de Blangy, Le Journal du Sire de Gouberville (t. II), Mémoires de la Société des Antiquaires de Normandie XXXII, Caen, 1895, p. 335.
- ↑ Nicolas Tassin, « Carte de Normandie », Plans et profilz de Normandie, 1631 [Bibliothèque universitaire de Caen].
- ↑ Normandia Ducatus (carte du duché de Normandie), Atlas Van der Hagen, 1635.
- ↑ Jean Bigot sieur de Sommesnil, État des paroisses des élections de Normandie, 1612/1636 [BN, ms. fr. 4620].
- ↑ Roles par généralités et élections des paroisses de France et de leur imposition aux tailles, 1677 [BN, cinq cents Colbert, ms. 261 f° 229 à 275].
- ↑ Jean-Baptiste Nolin, Le duche et gouvernement de Normandie Divisé en Haute et Basse Normandie, en Divers Pays, et par Evechez, Paris, 1694 [BN, IFN-7710251].
- ↑ Dénombrement des généralités de 1713 [BN, ms. fr. 11385, f° 1 à 132].
- ↑ Guillaume de l'Isle, Carte de Normandie, Paris, 1716.
- ↑ Bernard Jaillot, Le Gouvernement général de Normandie divisée en ses trois généralitez, Paris, 1719.
- ↑ Herman van Loon, D2.me [= Deuxième] carte particuliere des costes de Normandie contenant les costes du Cotentin depuis la Pointe de la Percée Jusqu'a Granville ou sont Comprises les Isles de Jersey, Grenezey, Cers, et Aurigny, avec les Isles de Brehat. Comme elles paroissent a basse Mer dans les grandes marées, Atlas Van Keulen, Amsterdam, 1753 [BNF]
- ↑ G. Robert de Vaugondy, Carte du gouvernement de Normandie, Paris, 1758.
- ↑ Carte de Cassini.
- ↑ Site Cassini.
- ↑ Bulletin des lois de la République française, Imprimerie Nationale, Paris.
- ↑ Dictionnaire universel, géographique, statistique, historique et politique de la France, impr. Baudouin, libr. Laporte, vol. I (A-CNO), an XIII (1804), p. 456b.
- ↑ Louis Du Bois, Itinéraire descriptif, historique et monumental des cinq départements de la Normandie, Mancel, Caen, 1828, p. 406.
- ↑ Annuaire de la Manche (1829), Statistique de l'arrondissement de Cherbourg, p. 131.
- ↑ V. Lavasseur, Atlas National Illustré des 86 départements et des possessions de la France, A. Combette éditeur, Paris, 1854.
- ↑ Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903.
- ↑ Atlas de Normandie, Caen, 1962.
- ↑ Anne Vallez, Pierre Gouhier, Jean-Marie Vallez, Atlas Historique de Normandie II (économie, institutions, comportements), Université de Caen, Caen, 1972.
- ↑ Carte IGN au 1 : 100 000.
- ↑ Annuaire officiel des abonnés au téléphone.
- ↑ Carte IGN au 1 : 25 000.
- ↑ Alain Rey, Frédéric Duval, Gilles Siouffi, « 1. Aux origines du français », Mille ans de langue française, histoire d'une passion .I. Des origines au français moderne, Paris, Perrin, Tempus, 2013.
- ↑ La formulation utilisée par René Lepelley, « du latin villa, domaine rural, qui est précédé du latin brittus (anc. fr. brette), breton » (Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Caen, Presses Universitaires de Caen / Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, 1993, p. 78b) sous-entend que ce toponyme est de formation gallo-romane, ce qui n'est pas le cas : ces noms ont été créés en ancien français.
- ↑ Procès-verbal du conseil municipal de Bretteville du 27 mai 2021.
- ↑ Le 4 pages, bulletin 52, juin 2021.
- ↑ Collection de notices communales d'instituteurs, Commune de Bretteville-en-Saire, Archives Départementales de la Manche (lire en ligne)
- ↑ Il a fini par y en avoir tellement que, vers la fin du 18e siècle, on a commencé à leur donner des surnoms pour les distinguer. Ainsi, il a existé les Liot Prophète, les Liot Nini, les Liot Chiquette, les Liot Pigeon, les Liot Le Gros ...
- ↑ Mémoires de la Société Nationale Académique de Cherbourg, 1956, p. 110
- ↑ Gilles de Gouberville, Journal de Gouberville pour les années 1549, 1550, 1551, 1552, publié d'après le manuscrit original découvert dans le chartrier de Saint-Pierre-Église, Gallica, site internet (lire en ligne)
- ↑ Vérusmor parle d'un château bâti à la romaine au 18e.
- ↑ Vérusmor, dans l'Annuaire du département de la Manche de 1846, rapporte que le château a été rasé depuis 1830.
- ↑ « Département de la Manche. Commune de Bretteville. Travaux communaux. Construction d'une école de filles », La Vigie de Cherbourg, 24 janvier 1869 (lire en ligne)
- ↑ Notice communale d'instituteurs de Bretteville, 1913, Archives départementales de la Manche (site internet)
- ↑ « Archéologie. Les collections du paléolithique moyen au muséum », La Manche Libre, site internet, 14 juin 2017
- ↑ EDF ne voulait pas la faire parvenir jusqu'au fond de la rue du hameau Besnard, il a fallu réclamer pour l'obtenir vers 1933.
- ↑ Un habitant de la commune, aujourd'hui décédé, se souvenait avoir aidé à planter des poteaux électriques alors qu'il était écolier.
- ↑ « Le conseil municipal de Bretteville-en-Saire décide d'acheter le fort », Ouest-France, 14 mai 1971
- ↑ « Au conseil municipal de Bretteville : fermeture de l'école des filles », Ouest-France, 28 avril 1977
- ↑ « Bretteville. La salle polyvalente a été refaite », La Manche Libre, site internet, 20 novembre 2019
- ↑ « Cotentin. Ne l'appelez plus Bretteville-en-Saire », La Manche Libre (site internet), 13 juin 2021
- ↑ Au début du 21e siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par la loi no 2002-276 du 27 février 2002, dite « loi de démocratie de proximité » relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V « des opérations de recensement », afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises. Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006.
- ↑ Population avant le recensement de 1962
- ↑ INSEE : Population depuis le recensement de 1962
- ↑ « Les horaires de mairie », Le 4 pages, bulletin 58, mars 2022 (lire en ligne).
- ↑ Anonyme, Les 50 000 adresses de la Manche, L'agence générale de publicité et d'édition, Caen, 1939, p. 432.
- ↑ « Bretteville. Il aide les jeunes à se lancer dans le monde de l'entreprise », La Manche Libre, 28 avril 2021 (site internet)
- ↑ « Bretteville. Il peint la région dont il est tombé amoureux », La Manche Libre, site internet, 8 août 2018
- ↑ « Bretteville. Le marin de Tourlaville devenu maire de Bretteville », La Manche Libre, site internet, 12 décembre 2018
- ↑ « Bretteville. Une double inauguration », La Manche Libre, site internet, 5 décembre 2018
- ↑ La Presse de la Manche, 6 avril 2012.
- ↑ Bretteville Infos n°67, janvier 2022
Lien externe
- Voir l'article sur Bretteville dans Rodovid, wiki d'études généalogiques.