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« Un jour avec le préfet, lendemain avec un élu qu'il tutoie... Pour un peu, il ferait presque figure de notable »  <ref>''L'Express'', 30 octobre 2003. </ref>.
« Un jour avec le préfet, lendemain avec un élu qu'il tutoie... Pour un peu, il ferait presque figure de notable »  <ref>''L'Express'', 30 octobre 2003. </ref>.


Le [[26 juin]] [[2002]], à [[Cherbourg]], il participe à une manifestation contre la fermeture de l'hôpital des armées. Il est poursuivi pour avoir frappé un gendarme lors de ce rassemblement, ce qu'il conteste. Le [[25 juillet]] [[2002]], le tribunal de grande instance de Cherbourg le condamne à six mois de prison dont un ferme. Une pétition de soutien est lancée et de nombreuses personnalités nationales, Bernard Thibault, José Bové, Olivier Besancenot, Alain Krivine, Arlette Laguiller... lui apportent leur appui. L'appel est jugé le [[26 février]] [[2003]] à Caen (Calvados). Il est condamné à six mois de prison avec sursis <ref>''Lutte Ouvrière'', 6 mars 2003. </ref>.
Le [[26 juin]] [[2002]], à [[Cherbourg]], il participe à une manifestation contre la fermeture de l'[[hôpital des armées René-Le-Bas]]. Il est poursuivi pour avoir frappé un gendarme lors de ce rassemblement, ce qu'il conteste. Le [[25 juillet]] [[2002]], le tribunal de grande instance de Cherbourg le condamne à six mois de prison dont un ferme. Une pétition de soutien est lancée, qui recueille {{formatnum:19000}} signatures, dont celles de nombreuses personnalités nationales, Bernard Thibault, José Bové, Olivier Besancenot, Alain Krivine, Arlette Laguiller... <ref>Jean-Pierre Buisson, « Manifestation de soutien à un syndicaliste CGT condamné », ''Le Monde'', 28 octobre 2002. </ref>. L'appel est jugé le [[26 février]] [[2003]] à Caen (Calvados) : il est condamné à six mois de prison avec sursis <ref>''Lutte Ouvrière'', 6 mars 2003. </ref>.


En [[2006]], Alain Hébert quitte le [[Cotentin]] pour aller travailler à Rodez (Aveyron).
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==Article connexe==
* [[Hébert]]


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[[Catégorie:Syndicaliste de la Manche]]
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Version du 9 septembre 2020 à 18:34

Alain Hébert est un syndicaliste de la Manche, responsable de la CGT.

Fils d'un maître principal du port militaire de Cherbourg, Alain Hébert commence sa carrière professionnelle comme mécanicien à l'arsenal de Cherbourg. Il s'engage dans la CGT et se voit rapidement confier des responsabilités. Il devient secrétaire général de l'union locale CGT de Cherbourg.

« Un jour avec le préfet, lendemain avec un élu qu'il tutoie... Pour un peu, il ferait presque figure de notable » [1].

Le 26 juin 2002, à Cherbourg, il participe à une manifestation contre la fermeture de l'hôpital des armées René-Le-Bas. Il est poursuivi pour avoir frappé un gendarme lors de ce rassemblement, ce qu'il conteste. Le 25 juillet 2002, le tribunal de grande instance de Cherbourg le condamne à six mois de prison dont un ferme. Une pétition de soutien est lancée, qui recueille 19 000 signatures, dont celles de nombreuses personnalités nationales, Bernard Thibault, José Bové, Olivier Besancenot, Alain Krivine, Arlette Laguiller... [2]. L'appel est jugé le 26 février 2003 à Caen (Calvados) : il est condamné à six mois de prison avec sursis [3].

En 2006, Alain Hébert quitte le Cotentin pour aller travailler à Rodez (Aveyron).

Notes et références

  1. L'Express, 30 octobre 2003.
  2. Jean-Pierre Buisson, « Manifestation de soutien à un syndicaliste CGT condamné », Le Monde, 28 octobre 2002.
  3. Lutte Ouvrière, 6 mars 2003.

Article connexe