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Éléonor Daubrée

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Éléonor Daubrée, né à Gouville-sur-Mer le 31 janvier 1881 et décédé en1961, est un poète de la Manche.

Il fait carrière dans l'enseignement.

Il est maire de sa ville natale vers la fin de sa vie consacrée à l’enseignement et à la poésie [1]

Il a laissé de nombreux recueils dont Un regard sur la vie, qui lui vaut le Prix Balzac en 1919 et les encouragements de Mistral [1] .

Œuvres

  • Les Fleurs de mon pays, préface de Léon Déries, éd. Henry Delesques, 1912.
  • À tous nos morts sublimes, 1915.
  • Un regard sur la vie, éd. Blaizot, Paris, 1918; prix Balzac de la Société des gens de lettres.
  • La Terre des ancêtres, préface de Frédéric Mistral, éd. Jouve, 1922; ouvrage couronné par l'Académie française.
  • Le Cœur des humbles, Barbaroux, 1939; contient « La coiffe normande », « L'armoire normande ».
  • Un Florilège des œuvres poétiques d'Éléonor Daubrée, illustrations de Jean-Clair Popineau, Association pour le respect et la valorisation du patrimoine culturel, 1997.

Hommages

Citations

  • « D'une inspiration toujours élevée et saine, respire l'amour du sol natal et des belles traditions françaises », Henri de Régnier [2].

Odonymie

Divers

  • Après le décès du poète, la Société des gens de lettres a créé un prix nommé « Prix Éléonor Daubrée ».

Annexes

Notes et références

  1. 1,0 et 1,1 Jean-François Hamel, sous la direction de René Gautier, Dictionnaire des personnages remarquables de la Manche, tome 1, Éditions Eurocibles, Marigny, 2001, ISBN 2914541090.
  2. Cité par Pierre Harel, Faôt d'ardréchi !, éd. Cheminements, 2004, p. 117.