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==Œuvres==
==Œuvres==
* ''Les Fleurs de mon pays'', préface de [[Léon Déries]], éd. Henry Delesques, 1912.
* ''Les Fleurs de mon pays'', préface de [[Léon Déries]], éd. Henry Delesques, 1912.
* ''À tous nos morts sublimes'', 1915.
* ''Un regard sur la vie'', éd. Blaizot, Paris, 1918; prix Balzac de la Société des gens de lettres.
* ''Un regard sur la vie'', éd. Blaizot, Paris, 1918; prix Balzac de la Société des gens de lettres.
* ''À tous nos morts sublimes'', 1915.
* ''La Terre des ancêtres'', préface de Frédéric Mistral, éd. Jouve, 1922; ouvrage couronné par l'Académie Française.
* ''La Terre des ancêtres'', préface de Frédéric Mistral, éd. Jouve, 1922; ouvrage couronné par l'Académie Française.
* ''Le cœur des Humbles'', Barbaroux, 1939; contient « La coiffe normande », « L'armoire normande ».  
* ''Le cœur des Humbles'', Barbaroux, 1939; contient « La coiffe normande », « L'armoire normande ».  

Version du 11 avril 2010 à 11:03

Éléonor Daubrée, né à Gouville-sur-Mer en 1881 et décédé en1961, est un poète de la Manche.

Il fait carrière dans l'enseignement. Il a laissé de nombreux recueils.

Œuvres

  • Les Fleurs de mon pays, préface de Léon Déries, éd. Henry Delesques, 1912.
  • À tous nos morts sublimes, 1915.
  • Un regard sur la vie, éd. Blaizot, Paris, 1918; prix Balzac de la Société des gens de lettres.
  • La Terre des ancêtres, préface de Frédéric Mistral, éd. Jouve, 1922; ouvrage couronné par l'Académie Française.
  • Le cœur des Humbles, Barbaroux, 1939; contient « La coiffe normande », « L'armoire normande ».
  • Un Florilège des œuvres poétiques d'Éléonor Daubrée, illustrations de Jean-Clair Popineau, Association pour le respect et la valorisation du patrimoine culturel, 1997.

Hommages

Citations

  • « d'une inspiration toujours élevée et saine, respire l'amour du sol natal et des belles traditions françaises », Henri de Régnier [1].

Odonymie

Divers

  • Après le décès du poète, la Société des gens de lettres a créé un prix nommé « Prix Éléonor Daubrée ».

Annexes

Notes et références

  1. Cité par Pierre Harel, Faôt d'ardréchi !, Cheminements, 2004, p. 117.