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* ''Un regard sur la vie'', éd. Blaizot, Paris, 1918 ; prix Balzac de la Société des gens de lettres | * ''À tous nos morts sublimes'', 1915 | ||
* ''La Terre des ancêtres'', préface de Frédéric Mistral, éd. Jouve, 1922 ; ouvrage couronné par l'[[Académie française]] | * ''Un regard sur la vie'', éd. Blaizot, Paris, 1918 ; prix Balzac de la Société des gens de lettres | ||
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* ''Un florilège des œuvres poétiques d'Éléonor Daubrée'', illustrations de Jean-Clair Popineau, Association pour le respect et la valorisation du patrimoine culturel, 1997 | |||
* ''Poèmes inédits'', éd. P. Bellée | |||
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* « D'une inspiration toujours élevée et saine, respire l'amour du sol natal et des belles traditions françaises », Henri de Régnier <ref>Cité par Pierre Harel, ''Faôt d'ardréchi !'', éd. Cheminements, 2004, p. 117.</ref>. | * « D'une inspiration toujours élevée et saine, respire l'amour du sol natal et des belles traditions françaises », Henri de Régnier <ref>Cité par Pierre Harel, ''Faôt d'ardréchi !'', éd. Cheminements, 2004, p. 117.</ref>. | ||
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* | * Après le décès du poète, la Société des gens de lettres crée un « Prix Éléonor Daubrée ». | ||
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== Bibliographie == | |||
* Raymond Deslandes, « Éléonor Daubrée (1881-1961) », ''[[Viridovix (revue)|revue Viridovix]]'', n° 10, 1992. | |||
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Version du 7 mars 2020 à 20:23
Éléonor Aimable Daubrée, né à Gouville-sur-Mer le 31 janvier 1881 [1] et mort en 1961, est un poète de la Manche.
Biographie
Il fait carrière dans l'enseignement et il se passionne pour la poésie [2]. Il laisse de nombreux recueils dont Un regard sur la vie, qui lui vaut le Prix Balzac en 1919 et les encouragements de Mistral [2].
Il est maire de Gouville-sur-Mer de 1947 à 1953.
Œuvres
- Les Fleurs de mon pays, préface de Léon Déries, éd. Henry Delesques, 1912
- À l'ombre des pommiers, éd. H. Delesques, 1914
- À tous nos morts sublimes, 1915
- Un regard sur la vie, éd. Blaizot, Paris, 1918 ; prix Balzac de la Société des gens de lettres
- La Terre des ancêtres, préface de Frédéric Mistral, éd. Jouve, 1922 ; ouvrage couronné par l'Académie française
- Le Cœur des humbles, Barbaroux, 1939 ; contient « La coiffe normande », « L'armoire normande »
- Un florilège des œuvres poétiques d'Éléonor Daubrée, illustrations de Jean-Clair Popineau, Association pour le respect et la valorisation du patrimoine culturel, 1997
- Poèmes inédits, éd. P. Bellée
Hommages
- Un monument célèbre sa mémoire à Gouville-sur-Mer (inauguré en 1963).
- Une rue et un gymnase portent son nom à Coutances.
- Une place porte son nom à Lessay.
Citation
- « D'une inspiration toujours élevée et saine, respire l'amour du sol natal et des belles traditions françaises », Henri de Régnier [3].
Divers
- Après le décès du poète, la Société des gens de lettres crée un « Prix Éléonor Daubrée ».
Bibliographie
- Raymond Deslandes, « Éléonor Daubrée (1881-1961) », revue Viridovix, n° 10, 1992.
Notes et références
- ↑ Acte de naissance n° 7 (lire en ligne).
- ↑ 2,0 et 2,1 Jean-François Hamel, sous la direction de René Gautier, Dictionnaire des personnages remarquables de la Manche, tome 1, éd. Eurocibles, Marigny, 2001.
- ↑ Cité par Pierre Harel, Faôt d'ardréchi !, éd. Cheminements, 2004, p. 117.