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Le Guislain

De Wikimanche

(Redirigé depuis Saint-Guislain-de-Pierre)

Le Guislain est une commune du département de la Manche.

  • Prononciation. — API : [lǝ ɡi'lẽ]; transcription francisée : le gui-lin.


Commune du Guislain Coordonnées géographiques de la mairie Logo-Mairie.png
48° 58' 21.36" N, 1° 13' 34.86" W (OSM)
Arrondissement Saint-Lô
Chargement de la carte...
Canton Villedieu-les-Poêles
Ancien canton Percy
Intercommunalité CC Villedieu Intercom
Gentilé Guislenais(es)
Population 142 hab. (2021)
Superficie 5,51 km²
Densité 26 hab./km2
Altitude 100 m (mini) - 141 m (maxi)
Code postal 50410
N° INSEE 50225
Maire Michel L'Hullier
Communes limitrophes du Guislain
Notre-Dame-de-Cenilly Notre-Dame-de-Cenilly
Bourgvallées
La Haye-Bellefond
Hambye Le Guislain La Haye-Bellefond
Hambye Maupertuis Maupertuis


Infrastructure et occupation des sols en 2018.


Toponymie

Attestations anciennes

  • le Guillain 1231 [1].
  • Guillouin ~1280 [1].
  • le Guillain 1327 [1].
  • ecclesi[a] de Guilloino 1332 [2].
  • Mesnil Guillouin 1351/1352 [3].
  • le Guillouin 1395 [1].
  • Guilloing 1612/1636 [4].
  • Cure du Mesnil Guillerin [sic; lire Guillouin] 1648 [5].
  • Le Guisloin 1677 [6].
  • Guilain 1689 [7].
  • Guillain 1695 [8].
  • Guilam [lire Guilain] de Pierre ~1700 [9].
  • Le Guislain 1713 [10].
  • S Guilain de Pierre 1716 [11].
  • S. Guillain de Pierre 1719 [12].
  • Le Guislain 1735 [13].
  • S. Guislain de Pierre 1758 [14].
  • St Guislain 1771 [15].
  • S Guislain 1777 [16].
  • le Guilain 1753/1785 [17], 1792 [18].
  • Lequilain 1793 [19].
  • Leguislain 1801 [20].
  • le Guislain 1804 [21].
  • le Guilain 1828 [22].
  • Le Guislain 1829 [23].
  • le Guilain 1830 [24], 1837 [25].
  • le Guislain 1839 [26].
  • la Guislain 1854 [27].
  • Le Guislain 1878 [28], 1880 [29].
  • le Guislain 1903 [30].
  • Le Guislain 1954 [31].
  • le Guislain 1962 [32].
  • Le-Guislain 1972 [33].
  • Le Guislain 1978, 1993 [34].
  • le Guislain 2007 [35].

Étymologie

Toponyme issu de la fixation d'un nom de personne médiéval d'origine germanique et de forme apparemment normano-picarde Guillain ou Guillouin, d'où « le domaine de Guillain / Guillouin ». Ceci dit, l'histoire du toponyme est relativement complexe, et nécessite un certain nombre de commentaires.

En premier lieu, la nature exacte de l'anthroponyme ne fait pas l'unanimité chez les spécialistes :

  • Albert Dauzat, sans connaître les formes anciennes du toponyme, l'a rattaché au nom de personne germanique féminin Gisla [36], ce qui est démenti par les premières attestations aujourd'hui disponibles.
  • Sa disciple Marie-Thérèse Morlet abandonne cette explication, mais ne propose rien d'autre dans son ouvrage consacré aux noms de personnes dans les noms de lieux [37].
  • François de Beaurepaire [1] choisit d'y voir le type Guillouin. Ce nom, également attesté sous les formes latinisées Giselwinus, Gisloenus, Gisluinus, etc. [38], est issu de l'anthroponyme germanique Gisleswin < Gisalwin, combinaison des éléments gisal- « otage » et -win « ami ».
  • Ernest Nègre se montre plus hésitant, et ne décide pas entre les types Guislain et Gillouin, « qui a pu être Guillouin en Normandie » [39]. Guislain est un nom de forme normano-picarde bien attesté sous les formes latinisées Gislanus, Gislenus [40], et issu du germanique Gislin, diminutif de Gislo, hypocoristique des noms en gisal- « otage ». Par contre, il fait de Guillouin une variante normande d'un type Gillouin rattaché à Gille(s) [41], ce qui est phonétiquement impossible.
  • René Lepelley se borne à dire « le village de Guillain », sans autres commentaires [42].

Le problème réside dans le fait que, du 13e au 17e siècle, l'anthroponyme est attesté sous deux formes distinctes : Guillain, Guilain < germanique Gislin d'une part, Guillouin(g), Guisloin < germanique Gisleswin de l'autre, avec la victoire de la première à la fin du 17e siècle. Il y a eu confusion entre les deux types, mais il ne semble pas possible de déterminer lequel est l'altération de l'autre.

Notons également que l'initiale Guill- pourrait aussi représenter, plutôt qu'un traitement normano-picard de Gisle-, le produit français de l'élément germanique wilja- « volonté », sous sa forme combinatoire habituelle will-. Ainsi Willin, diminutif de l'hypocoristique Willo, et également attesté sous la forme latinisée Wilennus [43], pourrait aussi bien convenir pour Guillain (qui n'est attesté que très tardivement avec un -s- interne). On retrouve ici la même problématique que pour l'élément initial de Guilberville. En ce qui concerne Guillouin en revanche, si ce nom pourrait aussi correspondre à un anthroponyme germanique théorique °Williwin, ce dernier ne semble attesté nulle part.

L'histoire de ce toponyme appelle plusieurs autres remarques :

Le Guislain et (la Maison) de Pierre sur la carte de Mariette de la Pagerie, 1689.
  • Du 14e au 17e siècle, Le Guislain est parfois mentionné sous le nom de Mesnil-Guillouin, formé avec l’ancien français maisnil, mesnil « habitation avec pièce de terre, demeure, maison, manoir ». L'alternance ancienne entre forme en Mesnil- et forme courte réduite au nom de personne seul se constate en effet pour un certain nombre de toponymes normands (phénomène peut-être plus fréquent dans l'Orne). On peut penser qu'ici, la proximité d'autres toponymes en Mesnil- (Le Mesnil-Herman, Le Mesnil-Opac, Le Mesnil-Raoult) a pu suggérer cette appellation alternative.
  • À l'extrême fin du 17e siècle, on voit apparaître l'étrange appellation de Guilain-de-Pierre, qui devient au siècle suivant Saint-Guislain-de-Pierre, puis simplement Saint-Guislain (abstraction faite des variantes graphiques). Ces différents noms sont le résultat de deux phénomènes différents :
    • Le premier correspond à la mauvaise lecture de la carte du diocèse de Coutances réalisée en 1689 par G. Mariette de La Pagerie [7] : on y voit en effet le nom de la paroisse noté Guilain, au-dessous duquel figure celui d'une ferme ou d'une maison indiqué par le symbole correspondant suivi de la mention de Pierre, à lire « (Maison / Ferme) de Pierre » (voir la carte ci-contre). Mais une lecture trop rapide de l'ensemble génère le nom fictif de Guilain de Pierre, qui fut repris et transformé par plusieurs cartographes du 18e siècle.
    • Le second correspond à l'attraction du type toponymique Saint-Guislain, bien attesté dans le nord de la France (Aisne, Nord), qui fait ainsi apparaître un faux hagiotoponyme durant tout le 18e siècle.
  • On notera enfin que le -s- interne de Guislain, qui n'est peut-être pas étymologique (selon la solution que l'on adopte), n'apparaît qu'au 17e siècle, et ne se fixe définitivement dans la graphie qu'au cours du 19e siècle.

Histoire

La commune comptait 529 habitants en 1838 et accueillait un marché de chevaux de trait et de bestiaux [26].

Géographie

Le Guislain est arrosé par l'Hambyotte, qui y prend sa source, et délimitée au sud-est par le ruisseau de la Girardière.

La commune est traversée par les routes départementales RD 27 et RD 51. La RD 29 marque la limite sud-ouest de la commune.

Démographie

Sous l'Ancien régime

Sous l'Ancien régime, le dénombrement des populations se fait généralement par feux, c'est-à-dire par foyers. Le nombre de personnes habitant sous un même toit variant beaucoup suivant celui d'ascendants et d'enfants [44], ces données sont donc relatives, mais donnent néanmoins une idée de l'évolution démographique.

Depuis la Révolution

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793.
À partir du 21e siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans, contrairement aux autres communes qui ont une enquête par sondage chaque année[45]. En 2021, la commune comptait 142 habitants.

Évolution de la population depuis 1793  modifier
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
461512522550529535462468443400
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
409395366370359341351335301295
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
280246287311296260246212229154
1982 1990 1999 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012
163141122115114117115117119121
2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021 -
122125128132135139143146142-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes. Depuis 2006 : population municipale.
Sources : Cassini [46] et INSEE [47]


Circonscriptions administratives avant la Révolution

  • Généralité : Caen.
  • Élection : Coutances en 1612/1636 et 1677, de Saint-Lô en 1713 et 1735.
  • Sergenterie : Moyon.

Circonscriptions administratives depuis la Révolution

Les maires

Liste des maires
Période Identité Parti Qualité Observations
.......-....... Henri Houssin de Saint Laurent
.......-....... Jean Bon Houssin
.......-1798 Henri Houssin de Saint Laurent
1798-....... Jean Bon Houssin
1800-1815 Henri Houssin de Saint Laurent
1815-1829 Jean Bon Houssin
1829-1832 Benjamin Houssin de Saint Laurent
1832-1835 Jean-Michel Lefranc dit l'Épine
1835-1863 Émile Houssin de Saint Laurent
1863-1870 Pierre Delauney décédé en exercice le 10 juin 1870
1870-1888 Jean-François Delafosse
1888-1899 Arsène Delafosse
1900-1900 Audécime Delafosse
1900-1908 Jules Durand
1908-1919 Émile Delafosse
1919-1923 Louis Lesouef
1923-1928 Octave Richard
1929-1963 Alfred Delafosse
1963-1995 Émile Leclerc
1995-actuel Michel L'Hullier agriculteur
Source  : liste établie par Jean Pouëssel et Jacky Brionne pour 601 communes et lieux de vie de la Manche. [48].


Mairie

Horaires d'ouverture
Jours Matin Après-midi Coordonnées de la mairie (Pour envoyer un mail et signaler une erreur cliquez ici)
Lundi - -
La mairie (2012).
La mairie (2012).

Adresse : Le Bourg
50410 Le Guislain

Tél./Fax : 02 33 46 98 86
Courriel : Contacter la mairie
Site internet : Pas de site officiel
Commentaire :
Source : Annuaire Service-Public (12 octobre 2020)

Mardi - -
Mercredi - -
Jeudi - 14 h - 17 h
Vendredi - -
Samedi - -


Religion

Circonscriptions ecclésiastiques avant la Révolution

Patronage

  • Dédicace de l'église paroissiale : Saint-Pierre.
  • Patron (présentation) : patronage laïque, le seigneur temporel [2],[28], celui de La Haye-Bellefond (dominus de Haya Hugonis) en 1332 [2]. Le pouillé de 1648 indique l'évêque de Coutances [5], ce qui est sans doute une erreur.
  • Fête patronale : ?

Circonscriptions ecclésiastiques actuelles

Lieux et monuments

Église Saint-Pierre.

Personnalités liées à la commune

Naissances

Économie

Notes et références

  1. 1,0 1,1 1,2 1,3 et 1,4 François de Beaurepaire, Les noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, Paris, 1986, p. 129.
  2. 2,0 2,1 et 2,2 Pouillé du Diocèse de Coutances, 1332, in Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903, p. 347E.
  3. Compte du Diocèse de Coutances, pour l’année 1351 ou 1352, in Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903, p. 371C.
  4. Jean Bigot sieur de Sommesnil, État des paroisses des élections de Normandie, 1612/1636 [BNF, ms. fr. 4620].
  5. 5,0 et 5,1 « Benefices du dioceze de Coutances », p. 9, in Pouillié general contenant les benefices de l’Archevesché de Rouen […], chez Gervais Alliot, Paris, 1648.
  6. Roles par généralités et élections des paroisses de France et de leur imposition aux tailles, 1677 [BNF, cinq cents Colbert, ms. 261 f° 229 à 275].
  7. 7,0 et 7,1 G. Mariette de La Pagerie, cartographe, Unelli, seu Veneli. Diocese de Coutances, divisé en ses quatre archidiaconés, et vint-deux doiennés ruraux avec les Isles de Iersay, Grenesey, Cers, Herms, Aurigny etc., chez N. Langlois, Paris, 1689 [BNF, collection d'Anville, cote 00261 I-IV].
  8. P. Mortier / H. Jaillot, Le Duché et Gouvernement de Normandie divisée en Haute et Basse Normandie, Amsterdam, 1695.
  9. Gerard Valk, Normannia Ducatus, tum Superior ad Ortum, tum Inferior ad Occasum, Praefectura Generalis […] Anglici Caesarea sive Jarsey…, Amsterdam, ~1700.
  10. 10,0 et 10,1 Dénombrement des généralités de 1713 [BNF, ms. fr. 11385, f° 1 à 132].
  11. Guillaume de l'Isle, Carte de Normandie, Paris, 1716.
  12. Bernard Jaillot, Le Gouvernement général de Normandie divisée en ses trois généralitez, Paris, 1719.
  13. 13,0 et 13,1 Nouveau dénombrement du royaume par generalités, elections, paroisses et feux […], t. II, Impr. Pierre Prault, Paris, 1735, p. 52b.
  14. Robert de Vaugondy, Carte du gouvernement de Normandie, Paris, 1758.
  15. Rigobert Bonne, Carte du Gouvernement de Normandie avec celui du Maine et Perche, 1771, recueillie in Jean Lattre, Atlas Moderne ou Collection de Cartes sur Toutes les Parties du Globe Terrestre, ~1775.
  16. P. Santini, Gouvernement de Normandie avec celui du Maine et Perche, Remondini, Venise, 1777.
  17. Carte de Cassini.
  18. Les Auteurs de l’Atlas National de France, Atlas National Portatif de la France, Bureau de l’Atlas National, Paris, 1792.
  19. Site Cassini.
  20. Bulletin des lois de la République française, Imprimerie Nationale, Paris.
  21. Dictionnaire universel, géographique, statistique, historique et politique de la France, impr. Baudouin, libr. Laporte, vol. II (COA-H), an XIII (1804), p. 643c.
  22. Louis Du Bois, Itinéraire descriptif, historique et monumental des cinq départements de la Normandie, Mancel, Caen, 1828, p. 471.
  23. Annuaire de la Manche (1829), Statistique de l'arrondissement de Saint-Lô, p. 156.
  24. J. G. Masselin, Dictionnaire universel de géographie physique, commerciale, historique et politique du Monde Ancien, du Moyen Age et des Temps Modernes comparées / Dictionnaire universel de géographie, t. I, Auguste Delalain, Paris, 1830, p. 585b.
  25. Dictionnaire géographique universel ou description de tous les lieux du globe sous le rapport de la géographie physique et politique, de l’histoire, de la statistique, du commerce, de l’industrie, etc., etc., Sociétés de Paris, Londres et Bruxelles pour les publications littéraires, Bruxelles, 1837, t. I, p. 820b.
  26. 26,0 et 26,1 Panorama pittoresque de la France […], par une société de gens de lettres, de géographes et d’artistes, Firmin Didot, Paris, t. V (section Manche), 1839, p. 7a.
  27. V. Lavasseur, Atlas National Illustré des 86 départements et des possessions de la France, A. Combette éditeur, Paris, 1854.
  28. 28,0 et 28,1 Abbé Auguste Lecanu, Histoire du diocèse de Coutances et d'Avranches depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours; suivie des actes des saints et d'un tableau historique des paroisses du diocèse, impr. de Salettes, Coutances, t. II, 1878, p. 396.
  29. Adolphe Joanne, Géographie du département de la Manche, Hachette, Paris, 1880, p. 60b.
  30. Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903.
  31. Nomenclature des hameaux, écarts et lieux-dits de la Manche, INSEE, 1954.
  32. Atlas de Normandie, Caen, 1962.
  33. Anne Vallez, Pierre Gouhier, Jean-Marie Vallez, Atlas Historique de Normandie II (économie, institutions, comportements), Université de Caen, Caen, 1972.
  34. Annuaire officiel des abonnés au téléphone.
  35. Carte IGN au 1 : 25 000.
  36. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Larousse, Paris, 1963, p. 338b.
  37. Marie-Thérèse Morlet, Les noms de personnes sur le territoire de l’ancienne Gaule du VIe au XIIe siècle, Paris, CNRS, t. III (les noms de personnes contenus dans les noms de lieux), 1985.
  38. Marie-Thérèse Morlet, Les noms de personnes sur le territoire de l’ancienne Gaule du VIe au XIIe siècle, Paris, CNRS, t. I (les noms issus du germanique continental et les créations gallo-germaniques), 1968, p. 111a.
  39. Ernest Nègre, Toponymie Générale de la France, Droz, Genève, t. III, 1991, p. 1695, § 29758.
  40. Marie-Thérèse Morlet, op. cit., p. 111b.
  41. L'auteur affirme avoir recueilli Gillouin à l'article Gille de l'ouvrage de Marie-Thérèse Morlet, Dictionnaire Étymologique des Noms de Famille, Perrin, Paris, 1991. Après vérification, nous constatons que ce nom n'y figure pas.
  42. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Caen, Presses Universitaires de Caen / Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, 1993, p. 141b.
  43. Ernst Förstemann, Altdeutches Namenbuch, t. I, Personennamen, Nordhausen, 1858, p. 1303.
  44. Une moyenne de 5 à 6 personnes semble cependant le chiffre le plus vraisemblable.
  45. Au début du 21e siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par la loi no 2002-276 du 27 février 2002, dite « loi de démocratie de proximité » relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V « des opérations de recensement », afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises. Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006.
  46. Population avant le recensement de 1962
  47. INSEE : Population depuis le recensement de 1962
  48. « 601 communes et lieux de vie de la Manche », René Gautier et 54 correspondants, éd. Eurocibles, 2014, p. 312

Lien externe